
J’ai lu sur un site quelconque que Monsieur Gawsou voudrait porter plainte contre SARR. Qu’il le fasse au TPI s’il le veut. Ce Gawsou sorti du chapeau de son héro comme l’appelle quelqu’un, finira bien par comprendre qu'il s'est engagé dans un combat perdu d'avance.
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DIAGANA est un individu qui n’a jamais eu le courage d’assumer ses ambitions. Il passe son temps à tonner sur les choux. DIAGANA veut tout diriger, mais ne prend jamais de risques. Aussi prétend-il toujours ne jamais être intéressé par la fonction principale de l’organisation à laquelle il adhère où qu’il crée. Non par humilité mais par pure lâcheté. Je m’explique :
- En 1996, lors de la création de AVOMM, il déclare d’emblée ne qu’il n’a pas beausoup de temps et ne veut pas faire partie du bureau. Tous les membres fondateurs sont en vie et en France. Ils ne me contrediront pas. Une fois que l’organisation a démarré et que tout a commencé à marché, il trouve le temps d’intégrer le bureau. Il manipule d’abord quelques membres pour destituer l’ancien président qui n’est autre que ce même Soumaré (premier coup bas), installe son ami Dia à la tête de l’association, se positionne comme Secrétaire général et s’apprète à conquérir le poste de président. En 2000, le duo est poussé à la démission.
- Avec l’aide de Soumaré et de Sy, l’OCVIDH voit le jour. DIAGANA, fidèle à sa tactique ne prend pas la direction, il ne sait pas si ce va marcher ou se casser la gueule. Son ami DIA est envoyé au front pour servir de cobbaye. L’aventure est une réussite par la volonté et l’investissement de chacun des membres fondateurs. Le terrain étant complètement déblayé, DIAGANA peut enfin sortir de son trou et se mettre en avant. Deux années de sacrifices des quatres membres fondateurs en font encore un succès. Pendant ces quatre premières années d’existance de l’OCVIDH, tous les quatre se sont donnés corps et âme. Mais dès que son mandat est terminé, Il disparaît du terrain avec son ami Dia. Il trouvait toujours une raison (sociale ou professionnelle) pour expliquer son indisponibilité (deuxième coup bas).
- Quatre ans sans être à la tête de quelque chose, devait paître long DIAGANA. Alos il crée la CAMME. Toujours fidèle à stratégie, le bureau est confié estprovisoirement confié à un nouvel arrivant, Kébé (le député). Se rendant vite compte que KEBE n’était pas aussi malléable qu’il l’avait pensé, DIAGANA le fait remplacer par son cobbaye peu de temps après. L’homme qui n’avait pas une minute à consacrer à l’OCVIDH, s’active cependant sur le net et sur le terrain pour la CAMME. Ils feront tout leur possible pour ralentir la pauvre OCVIDH, allant même juqu’à appliquer chez la CAMME des décisions prises au sein du BE de l’OCVIDH. L’expérience de la CAMME est un échec. Alors, il saute sur la première occasion pour revenir à l’OCVIDH et trouve curieusement un temps illimité à lui consacrer. Il entamme le projet de destitution de Soumaré (troisième coup bas). Mais cette fois, l’organision étant bien en place, il n’a pas besoin du cobbaye, il s’octroie directement la présidence. Il ne pensait pas rencontrer les difficultés actuelles, sinon il aurait envoyé Gawsou ou quelqu’un d’autre au casse pipe.
Ceux sont là des faits bruts, à chacun de se faire son opinion personnelle sur cet homme.
Yéro SY
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DIAGANA est un individu qui n’a jamais eu le courage d’assumer ses ambitions. Il passe son temps à tonner sur les choux. DIAGANA veut tout diriger, mais ne prend jamais de risques. Aussi prétend-il toujours ne jamais être intéressé par la fonction principale de l’organisation à laquelle il adhère où qu’il crée. Non par humilité mais par pure lâcheté. Je m’explique :
- En 1996, lors de la création de AVOMM, il déclare d’emblée ne qu’il n’a pas beausoup de temps et ne veut pas faire partie du bureau. Tous les membres fondateurs sont en vie et en France. Ils ne me contrediront pas. Une fois que l’organisation a démarré et que tout a commencé à marché, il trouve le temps d’intégrer le bureau. Il manipule d’abord quelques membres pour destituer l’ancien président qui n’est autre que ce même Soumaré (premier coup bas), installe son ami Dia à la tête de l’association, se positionne comme Secrétaire général et s’apprète à conquérir le poste de président. En 2000, le duo est poussé à la démission.
- Avec l’aide de Soumaré et de Sy, l’OCVIDH voit le jour. DIAGANA, fidèle à sa tactique ne prend pas la direction, il ne sait pas si ce va marcher ou se casser la gueule. Son ami DIA est envoyé au front pour servir de cobbaye. L’aventure est une réussite par la volonté et l’investissement de chacun des membres fondateurs. Le terrain étant complètement déblayé, DIAGANA peut enfin sortir de son trou et se mettre en avant. Deux années de sacrifices des quatres membres fondateurs en font encore un succès. Pendant ces quatre premières années d’existance de l’OCVIDH, tous les quatre se sont donnés corps et âme. Mais dès que son mandat est terminé, Il disparaît du terrain avec son ami Dia. Il trouvait toujours une raison (sociale ou professionnelle) pour expliquer son indisponibilité (deuxième coup bas).
- Quatre ans sans être à la tête de quelque chose, devait paître long DIAGANA. Alos il crée la CAMME. Toujours fidèle à stratégie, le bureau est confié estprovisoirement confié à un nouvel arrivant, Kébé (le député). Se rendant vite compte que KEBE n’était pas aussi malléable qu’il l’avait pensé, DIAGANA le fait remplacer par son cobbaye peu de temps après. L’homme qui n’avait pas une minute à consacrer à l’OCVIDH, s’active cependant sur le net et sur le terrain pour la CAMME. Ils feront tout leur possible pour ralentir la pauvre OCVIDH, allant même juqu’à appliquer chez la CAMME des décisions prises au sein du BE de l’OCVIDH. L’expérience de la CAMME est un échec. Alors, il saute sur la première occasion pour revenir à l’OCVIDH et trouve curieusement un temps illimité à lui consacrer. Il entamme le projet de destitution de Soumaré (troisième coup bas). Mais cette fois, l’organision étant bien en place, il n’a pas besoin du cobbaye, il s’octroie directement la présidence. Il ne pensait pas rencontrer les difficultés actuelles, sinon il aurait envoyé Gawsou ou quelqu’un d’autre au casse pipe.
Ceux sont là des faits bruts, à chacun de se faire son opinion personnelle sur cet homme.
Yéro SY