
Dans le cadre de son projet « Sur la route de l’esclavage », l’UNESCO a commandé à l’Institut britannique Wilberforce une étude comparative sur l’esclavage historique et l’esclavage contemporain. Intitulée « Unfinished Business », cette étude est la première du genre. La situation décrite dans ce rapport et les conclusions qu’il tire sont préoccupantes.
L’esclavage contemporain se décline en diverses pratiques : trafic humain, servitude sexuelle, travail des enfants ou forces plus anciennes d’esclavage… Si l’esclavage a officiellement pris fin il y a deux siècles avec la fin de la traite des Noirs, il occupe encore une place bien obscure dans nos sociétés modernes.
Si l’Inde, la Mauritanie et Singapour sont en particulier désignés par ce rapport, il rappelle que 360.000 personnes sont en situation d’esclavage dans des pays industrialisés. Le rapport fait notamment état de la Grande-Bretagne, où nombre d’immigrés vivent dans une situation grave d’exploitation.
Les conclusions de ce rapport présentent également une stratégie générale à observer ainsi que des recommandations afin de répondre à ce fléau toujours présent. Comme le souligne l’UNESCO et les auteurs de cette étude, « il faut connaître son passé pour comprendre le présent et construire un meilleur avenir. »
Source : Rapport "Unfinished Business"
http://www.unesco.org/culture/pdf/UnfinishedBusinessReport2008.pdf
L’esclavage contemporain se décline en diverses pratiques : trafic humain, servitude sexuelle, travail des enfants ou forces plus anciennes d’esclavage… Si l’esclavage a officiellement pris fin il y a deux siècles avec la fin de la traite des Noirs, il occupe encore une place bien obscure dans nos sociétés modernes.
Si l’Inde, la Mauritanie et Singapour sont en particulier désignés par ce rapport, il rappelle que 360.000 personnes sont en situation d’esclavage dans des pays industrialisés. Le rapport fait notamment état de la Grande-Bretagne, où nombre d’immigrés vivent dans une situation grave d’exploitation.
Les conclusions de ce rapport présentent également une stratégie générale à observer ainsi que des recommandations afin de répondre à ce fléau toujours présent. Comme le souligne l’UNESCO et les auteurs de cette étude, « il faut connaître son passé pour comprendre le présent et construire un meilleur avenir. »
Source : Rapport "Unfinished Business"
http://www.unesco.org/culture/pdf/UnfinishedBusinessReport2008.pdf