
Selon une source parlementaire de l'Union pour la Majorité Présidentielle (UMP, parti au pouvoir en France), l'Élysée demande la tenue, le 20 octobre à Paris, des consultations entre l'Union Européenne (UE) et la Mauritanie, au titre du processus de sanctions contre un état coupable de violation de l'article 96 de l'accord de Cotonou sur la bonne gouvernance et les droits de l'Homme. Le transfert se justifie par la présidence française du Conseil de l'UE.
La France a officiellement informé le gouvernement mauritanien de cette requête mais la réponse tarde ; néanmoins, un élu pro-putsch de l'Assemblée Nationale, estime que la tenue de la réunion à Bruxelles est une chose normale car les plus importantes institutions européennes y siègent. De surcroît, depuis le coup d'état du 6 août, les concertations sur la Mauritanie se sont déroulées dans la capitale du royaume de Belgique.
"Si l'on ajoute à cela la partialité de la France dans la crise mauritanienne, il n'y a aucune raison à ce que la réunion ne se tienne pas à Bruxelles, comme c'était prévu" précise le député.
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Source: Taqadoumy
(M) avomm
La France a officiellement informé le gouvernement mauritanien de cette requête mais la réponse tarde ; néanmoins, un élu pro-putsch de l'Assemblée Nationale, estime que la tenue de la réunion à Bruxelles est une chose normale car les plus importantes institutions européennes y siègent. De surcroît, depuis le coup d'état du 6 août, les concertations sur la Mauritanie se sont déroulées dans la capitale du royaume de Belgique.
"Si l'on ajoute à cela la partialité de la France dans la crise mauritanienne, il n'y a aucune raison à ce que la réunion ne se tienne pas à Bruxelles, comme c'était prévu" précise le député.
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Source: Taqadoumy
(M) avomm