
Une ville aussi grande comme Kaédi délaissé devenue insalubre pendant la saison sèche et inondée d’eau en saison des pluies.
Il connaît que cette du zone du sud a besoin des infrastructures routières, scolaires et sanitaires puisque c’est un facteur irremplaçable dans le développement économique.
Tout le monde sait que ce phénomène frappe pratiquement tout le sud du pays, mais Aziz ne fait que marcher sur les traces des pieds de ces prédécesseurs et entouré par parfois par des gens extrémistes qui ne donnent guère des idées qui apaisent la distorsion entre les régions.
Ce qui est en peu frappant dans cette situation que les habitants de ces zones n’appliquent jamais la politique d’une voie unique pour sauvegarder l’intérêt local et commun.
Par ailleurs tous les gouvernements qui ce sont succédés n’ont fourni aucun effort pour lutter contre cette exode rural massif vers les grandes villes qui concerne pratiquement tout le milieu rural du pays.
La Mauritanie est un pays dont la densité de la population reste très déséquilibré et ce fléau qui ne fait qu’augmenter.
Il faut qu’il y ait une politique incitative pour lutter contre cet exode massif.
En ce qui concerne la cohésion nationale aucun résultat encourageant n’a été constaté depuis l’arrivée du président Aziz au pouvoir. Pire même puisque la situation s’est dégradé ces dernières années. Cette situation est extrêmement inquiétante pour l’avenir du pays qui est très fragile dans ce domaine.
Nous avons vécu un exemple frappant ces derniers jours avec la confrontation des étudiants à l’Université qui est un milieu extrêmement sensible.
Je savais que ce jour allait venir puisque cette tension sautait aux yeux depuis plus d’une décennie, nous avons tous vécu la même chose dans cette Université, c’était une bombe à retardement.
J’avais l’espoir que les choses allaient changer qu’à même en peu le coup le départ de Ould Taya, mais aujourd’hui cet espoir s’est complètement volatilisé.
Daouda Diop
Il connaît que cette du zone du sud a besoin des infrastructures routières, scolaires et sanitaires puisque c’est un facteur irremplaçable dans le développement économique.
Tout le monde sait que ce phénomène frappe pratiquement tout le sud du pays, mais Aziz ne fait que marcher sur les traces des pieds de ces prédécesseurs et entouré par parfois par des gens extrémistes qui ne donnent guère des idées qui apaisent la distorsion entre les régions.
Ce qui est en peu frappant dans cette situation que les habitants de ces zones n’appliquent jamais la politique d’une voie unique pour sauvegarder l’intérêt local et commun.
Par ailleurs tous les gouvernements qui ce sont succédés n’ont fourni aucun effort pour lutter contre cette exode rural massif vers les grandes villes qui concerne pratiquement tout le milieu rural du pays.
La Mauritanie est un pays dont la densité de la population reste très déséquilibré et ce fléau qui ne fait qu’augmenter.
Il faut qu’il y ait une politique incitative pour lutter contre cet exode massif.
En ce qui concerne la cohésion nationale aucun résultat encourageant n’a été constaté depuis l’arrivée du président Aziz au pouvoir. Pire même puisque la situation s’est dégradé ces dernières années. Cette situation est extrêmement inquiétante pour l’avenir du pays qui est très fragile dans ce domaine.
Nous avons vécu un exemple frappant ces derniers jours avec la confrontation des étudiants à l’Université qui est un milieu extrêmement sensible.
Je savais que ce jour allait venir puisque cette tension sautait aux yeux depuis plus d’une décennie, nous avons tous vécu la même chose dans cette Université, c’était une bombe à retardement.
J’avais l’espoir que les choses allaient changer qu’à même en peu le coup le départ de Ould Taya, mais aujourd’hui cet espoir s’est complètement volatilisé.
Daouda Diop