
Devant ce scénario le PLEJ, conscient du danger qui nous guette dans l'avenir, a condamné le second et réclame le retour du premier comme le seul espoir pour leguer aux générations futures une démocratie exemplaire tirant dorénavant son fondement dans l'opinion du peuple.
Ce danger régide dans la volonté affichée et exprimée des militaires de rester au pouvoir, et ce retour en arrière nourrira chez certains que seuls les militaires peuvent être à la tête du pouvoir, dans le maintien des groupes oligarchiques et de leur mainmise sur l'appareil politico-économique du pays et dans le risque de non résolution des problèmes essentiels et qui portent toujours atteintes à notre unité nationale.
Le parti rappelle que tous les maux dont souffre le pays sont dûs aux pouvoirs sucessifs des militaires, il a bien compris qu'on peut tromper une personne une fois mais pas tout le monde et en même temps.
Le PLEJ, par la voie de son Président BA Mamadou Alassane, qualifie les étas généraux qui viennent de se passer comme illégitimes et non sensés et que toutes réclamations faites ou modification apportée est un leurre et une tromperie.
Le parti appelle à tous les mauritaniens démocrates animés de bonne volonté, soucieux de l'avenir du pays et qui ont le sens de l'histoire de ne pas cautionner les militaires, de boycotter les élections prévues car le Président qui en sortira sera illégitime.
De surcroît il exprime son souhait à un retour à l'orde constitutionnel et à un dialogue constuctif entre les militaires et le pouvoir démocratiquement élu pour sortir de cette crise afin de permettre aux mauritaniens de vivre dans la stabilité politique et de lancer la Mauritanie sur la voie du développement économique et social car cette situation actuelle joue sur la conscience du peuple et en lui faisant perdre la confiance aux éventuels dirigeants et de tout espoir de stabilité politique, et du développement.
Enfin, le PLEJ dans ses discours réclame toujours l'instauration d'une démocratie consensuelle, seul le consensus peut nous sauver car la Mauritanie est une réalité que seule la démocratie de type occidental ne peut prévaloir pour le moment : Consensus entre la majortité et la minorité, entre les institutions, entre les militaires et le pouvoir, entre les administrations et les populations locales, etc.
Sans ce consensus, les problèmes subsisteront car il y aura l'abus de pouvoir et trop de pouvoirs tue le pouvoir.
DIALLO Mamoudou
PA au Maire de la
Commune de Maghama
Ce danger régide dans la volonté affichée et exprimée des militaires de rester au pouvoir, et ce retour en arrière nourrira chez certains que seuls les militaires peuvent être à la tête du pouvoir, dans le maintien des groupes oligarchiques et de leur mainmise sur l'appareil politico-économique du pays et dans le risque de non résolution des problèmes essentiels et qui portent toujours atteintes à notre unité nationale.
Le parti rappelle que tous les maux dont souffre le pays sont dûs aux pouvoirs sucessifs des militaires, il a bien compris qu'on peut tromper une personne une fois mais pas tout le monde et en même temps.
Le PLEJ, par la voie de son Président BA Mamadou Alassane, qualifie les étas généraux qui viennent de se passer comme illégitimes et non sensés et que toutes réclamations faites ou modification apportée est un leurre et une tromperie.
Le parti appelle à tous les mauritaniens démocrates animés de bonne volonté, soucieux de l'avenir du pays et qui ont le sens de l'histoire de ne pas cautionner les militaires, de boycotter les élections prévues car le Président qui en sortira sera illégitime.
De surcroît il exprime son souhait à un retour à l'orde constitutionnel et à un dialogue constuctif entre les militaires et le pouvoir démocratiquement élu pour sortir de cette crise afin de permettre aux mauritaniens de vivre dans la stabilité politique et de lancer la Mauritanie sur la voie du développement économique et social car cette situation actuelle joue sur la conscience du peuple et en lui faisant perdre la confiance aux éventuels dirigeants et de tout espoir de stabilité politique, et du développement.
Enfin, le PLEJ dans ses discours réclame toujours l'instauration d'une démocratie consensuelle, seul le consensus peut nous sauver car la Mauritanie est une réalité que seule la démocratie de type occidental ne peut prévaloir pour le moment : Consensus entre la majortité et la minorité, entre les institutions, entre les militaires et le pouvoir, entre les administrations et les populations locales, etc.
Sans ce consensus, les problèmes subsisteront car il y aura l'abus de pouvoir et trop de pouvoirs tue le pouvoir.
DIALLO Mamoudou
PA au Maire de la
Commune de Maghama