A quelques jours seulement de la présidentielle pour le 18 juillet 2009, les tensions montent à chaque rendez-vous mais avec un urgent communiqué rendu publique hier jeudi par lequel le Comité de suivi de l'Accord de Dakar qui a exhorté les antagonistes dans la crise à respecter les aspirations du peuple et à oeuvrer pour un engagement constructif en faveur de la réconciliation; tout semble annoncer qu'un retour à l'ordre constitutionnel normal n'est pas difficile même si les trois pôles toujours opposés, doivent se retrouver demain, à Dakar, pour une autre réunion avec le Groupe de Contact International sur la Mauritanie.
Aujourd'hui à Nouakchott comme dans les autres wilayas du pays, tous les mauritaniens se disent fatigués des conséquences d'une crise politique qui persiste. De même, les trois pôles dans la crise se disent ennuyés, n'en déplaise à certaines velléités séparatistes qui doutent encore de la portée trop significative du Haut conseil d’Etat et du renoncement du Président Ould Cheikh Abdellahi comme solution à la crise.
Mais aussi, depuis que Son excellence, Ba Amadou dit Mbaré, Président de la République par intérim a pris les commandes du pouvoir conformément à l'ordonnance du Hce, des changements radicaux ont été observés.
Des actions de sensibilisation en vue d'un retour à l'ordre constitutionnel ont été mises en œuvre à travers la diffusion à la Radio Mauritanie et la TVM de nombreux messages qui encouragent la réconciliation.
C'est ainsi que la grille et la ligne éditoriale ont complètement changé par rapport au ton propagandiste que ces enjeux du pouvoir avaient toujours véhiculé par le biais des animateurs qui n'ouvraient habituellement leurs micros qu'à ceux qui appuient le régime en place.
Cette volonté de réconciliation de haut niveau est actuellement partagée aussi dans les places publiques, les bureaux, les maisons et dans les mosquées où d'ailleurs, les imams prêchent avant la prière du vendredi le pardon et la réconciliation.
D'ailleurs, sur instruction du Président par intérim, le Gouvernement de Moulaye Ould Mohamed Laghdaf qui semble marcher présentement sur une corde, multiplie des activités de sensibilisation, de mobilisation et de soutien en faveur d'une réelle sortie de crise.
Enfin, le Président, Ba amadou Mbaré, a déclaré en ce sens, selon une source de proximité, 'les élections doivent se tenir à la date prévue et, que tout citoyen épris de paix devrait nécessairement éviter tout dérapage'
Ahmed Ould Bettar
Source: pointschauds
Aujourd'hui à Nouakchott comme dans les autres wilayas du pays, tous les mauritaniens se disent fatigués des conséquences d'une crise politique qui persiste. De même, les trois pôles dans la crise se disent ennuyés, n'en déplaise à certaines velléités séparatistes qui doutent encore de la portée trop significative du Haut conseil d’Etat et du renoncement du Président Ould Cheikh Abdellahi comme solution à la crise.
Mais aussi, depuis que Son excellence, Ba Amadou dit Mbaré, Président de la République par intérim a pris les commandes du pouvoir conformément à l'ordonnance du Hce, des changements radicaux ont été observés.
Des actions de sensibilisation en vue d'un retour à l'ordre constitutionnel ont été mises en œuvre à travers la diffusion à la Radio Mauritanie et la TVM de nombreux messages qui encouragent la réconciliation.
C'est ainsi que la grille et la ligne éditoriale ont complètement changé par rapport au ton propagandiste que ces enjeux du pouvoir avaient toujours véhiculé par le biais des animateurs qui n'ouvraient habituellement leurs micros qu'à ceux qui appuient le régime en place.
Cette volonté de réconciliation de haut niveau est actuellement partagée aussi dans les places publiques, les bureaux, les maisons et dans les mosquées où d'ailleurs, les imams prêchent avant la prière du vendredi le pardon et la réconciliation.
D'ailleurs, sur instruction du Président par intérim, le Gouvernement de Moulaye Ould Mohamed Laghdaf qui semble marcher présentement sur une corde, multiplie des activités de sensibilisation, de mobilisation et de soutien en faveur d'une réelle sortie de crise.
Enfin, le Président, Ba amadou Mbaré, a déclaré en ce sens, selon une source de proximité, 'les élections doivent se tenir à la date prévue et, que tout citoyen épris de paix devrait nécessairement éviter tout dérapage'
Ahmed Ould Bettar
Source: pointschauds