
Colonel Dia Adama
Le règlement du passif version COVIRE, sous la responsabilité du chargé du dossier le Colonel Dia Adama Oumar, connaît des tournures malveillantes, indignes d’un fils du Fouta. Ceci s’explique sur diverses raisons.
Les dirigeants en charge du dossier sont motivés par des objectifs individuels, égoïstes, partisans et claniques.
Notre fameux Secrétaire Général de COVIRE et de COREMI, Sidibé Abou, le manœuvrier des basses besognes, complice du chargé du passif humanitaire le Colonel Adama Oumar et objecteur de conscience de son « Président de COVIRE » Sy Abou Bocar, est loin d’être intéressé d’un règlement juste et équitable des violations des droits humains commises à l’encontre de la communauté noire. Durant tout le processus de traitement du dossier des veuves, Sidibé s’est auto-désigné représentant des victimes à toutes les rencontres officielles, ceci sous la bénédiction de ses maîtres perfides et opportunistes. En plus il n’a jamais manqué de tirer profit des maigres allocations accordées durant les missions soit disant financées par le chargé du passif humanitaire, ou des services pour le payement des réparations des veuves et de leurs diverses missions.
Tous ces comportements sont corroborés par des informations reçues des témoignages des déportés revenant au pays , qui ont allégués que Sidibé en fonction d’adjoint au commandant de compagnie de la gendarmerie à Rosso en 1989 , fait partie des négro-Mauritaniens trempés dans ces ignobles déguerpis des populations nomades (peulhs). C’est dans ce cadre que Dembél Jallo témoigne : « J’étais encore enfant, lors de notre déportation au Sénégal en 1989, j’ai vu Lieutenant Sidibé embarqué des noirs dans des pirogues après avoir dépouillé les femmes de leurs boucles d’oreille et objets précieux ; j’ai été même témoin où ce négro a déshabillé nu une femme en état de grossesse, comble de l’humiliation. Nos troupeaux restés en Mauritanie, le commandement de Sidibé était le dernier à en avoir le contrôle ». Ceci nous fait dire que Sidibé est un tortionnaire, ce qui justifie sa peur de suivre la demande de justice et de vérité des victimes pour le règlement du passif humanitaire.
Concernant ,le Président Sy Abou Bocar , c’est une victime à moitié qui n’a jamais été torturé , et un sevré de l’école MND, qui a gardé de cette organisation que ce qui est négatif. Son esprit affairiste le guide dans toutes ses actions. Il tente de corrompre tout son bureau et ses proches par ses petits gestes insignifiant d’appui financier pour régler les billets de transports des uns et des autres ou offrir à boire à chaque réunion pour acheter le silence complice de son bureau. A chaque analyse de la situation du pays et de l’évolution du dossier du passif humanitaire, Abou Sy prend la défense des positions officielles, au mépris des intérêts des victimes. Tout démontre que ce dernier ne cherchait que les occasions pour se hisser au perchoir, ainsi utiliser ce statut pour détourner les victimes de leurs revendications légitimes,contre des miettes de considération malencontreuse de l’administration . Mais il oublie l’adage qui dit : on peut mentir au peuple pour un moment, mais nous ne pouvons jamais mentir à tout le peuple à tout temps. La chute fatale est proche, prépares toi, Mr Abou Sy.
Mr le Colonel Adama Oumar Dia a été trompé par son éloquence. Ayant promis monts et merveilles aux victimes et populations de la vallée qu’il avait visitées avec le COVIRE, il avait oublié que le Général Président, n’agissait que selon ses intérêts du moment. Ainsi son manque de perspicacité qui l’a fait échoué de régler ce problème durant la transition du HCE, est la causalité qu’il est incapable de traiter consensuellement ce dossier, et que le Président Mohamed ould Abdel Aziz recherche un cadre plus adéquat à unifier toutes les parties.
Mr le Colonel, ton grade de Général que tu espérais à l’issue d’un règlement conforme aux visions du Général Président, tu l’as raté. Il faut chercher ailleurs ta promotion hors du sacrifice du dossier des veuves, au risque que tu ne connaisses le sort de Mohamed Lemine ould Deddah. Il n’est de l’ignorance de personne ta voracité des biens publics qui s’est manifesté à ton passage à l’intendance de l’armée nationale. Le Prince héritier des Halaybé s’est fourré le doigt à l’œil, qui t’aidera à le soigner ?
Lo Moussa Mama, Président de COREMI, tu es un homme intègre, éloignes toi de ce trio de traites à la solde dont on ne sait quelle cause ?
L’identité régionale de ce trio nous fait dire, pourquoi les personnalités humbles de ce groupe communautaire laissent ces gens ternir leurs images et crédibilités ?
A la prochaine sortie, vous aurez les autres facettes encore cachées de ces laudateurs.
Alassane Hamidou Diallo,211 80 44
koninkepellitdo@yahoo.fr
Les dirigeants en charge du dossier sont motivés par des objectifs individuels, égoïstes, partisans et claniques.
Notre fameux Secrétaire Général de COVIRE et de COREMI, Sidibé Abou, le manœuvrier des basses besognes, complice du chargé du passif humanitaire le Colonel Adama Oumar et objecteur de conscience de son « Président de COVIRE » Sy Abou Bocar, est loin d’être intéressé d’un règlement juste et équitable des violations des droits humains commises à l’encontre de la communauté noire. Durant tout le processus de traitement du dossier des veuves, Sidibé s’est auto-désigné représentant des victimes à toutes les rencontres officielles, ceci sous la bénédiction de ses maîtres perfides et opportunistes. En plus il n’a jamais manqué de tirer profit des maigres allocations accordées durant les missions soit disant financées par le chargé du passif humanitaire, ou des services pour le payement des réparations des veuves et de leurs diverses missions.
Tous ces comportements sont corroborés par des informations reçues des témoignages des déportés revenant au pays , qui ont allégués que Sidibé en fonction d’adjoint au commandant de compagnie de la gendarmerie à Rosso en 1989 , fait partie des négro-Mauritaniens trempés dans ces ignobles déguerpis des populations nomades (peulhs). C’est dans ce cadre que Dembél Jallo témoigne : « J’étais encore enfant, lors de notre déportation au Sénégal en 1989, j’ai vu Lieutenant Sidibé embarqué des noirs dans des pirogues après avoir dépouillé les femmes de leurs boucles d’oreille et objets précieux ; j’ai été même témoin où ce négro a déshabillé nu une femme en état de grossesse, comble de l’humiliation. Nos troupeaux restés en Mauritanie, le commandement de Sidibé était le dernier à en avoir le contrôle ». Ceci nous fait dire que Sidibé est un tortionnaire, ce qui justifie sa peur de suivre la demande de justice et de vérité des victimes pour le règlement du passif humanitaire.
Concernant ,le Président Sy Abou Bocar , c’est une victime à moitié qui n’a jamais été torturé , et un sevré de l’école MND, qui a gardé de cette organisation que ce qui est négatif. Son esprit affairiste le guide dans toutes ses actions. Il tente de corrompre tout son bureau et ses proches par ses petits gestes insignifiant d’appui financier pour régler les billets de transports des uns et des autres ou offrir à boire à chaque réunion pour acheter le silence complice de son bureau. A chaque analyse de la situation du pays et de l’évolution du dossier du passif humanitaire, Abou Sy prend la défense des positions officielles, au mépris des intérêts des victimes. Tout démontre que ce dernier ne cherchait que les occasions pour se hisser au perchoir, ainsi utiliser ce statut pour détourner les victimes de leurs revendications légitimes,contre des miettes de considération malencontreuse de l’administration . Mais il oublie l’adage qui dit : on peut mentir au peuple pour un moment, mais nous ne pouvons jamais mentir à tout le peuple à tout temps. La chute fatale est proche, prépares toi, Mr Abou Sy.
Mr le Colonel Adama Oumar Dia a été trompé par son éloquence. Ayant promis monts et merveilles aux victimes et populations de la vallée qu’il avait visitées avec le COVIRE, il avait oublié que le Général Président, n’agissait que selon ses intérêts du moment. Ainsi son manque de perspicacité qui l’a fait échoué de régler ce problème durant la transition du HCE, est la causalité qu’il est incapable de traiter consensuellement ce dossier, et que le Président Mohamed ould Abdel Aziz recherche un cadre plus adéquat à unifier toutes les parties.
Mr le Colonel, ton grade de Général que tu espérais à l’issue d’un règlement conforme aux visions du Général Président, tu l’as raté. Il faut chercher ailleurs ta promotion hors du sacrifice du dossier des veuves, au risque que tu ne connaisses le sort de Mohamed Lemine ould Deddah. Il n’est de l’ignorance de personne ta voracité des biens publics qui s’est manifesté à ton passage à l’intendance de l’armée nationale. Le Prince héritier des Halaybé s’est fourré le doigt à l’œil, qui t’aidera à le soigner ?
Lo Moussa Mama, Président de COREMI, tu es un homme intègre, éloignes toi de ce trio de traites à la solde dont on ne sait quelle cause ?
L’identité régionale de ce trio nous fait dire, pourquoi les personnalités humbles de ce groupe communautaire laissent ces gens ternir leurs images et crédibilités ?
A la prochaine sortie, vous aurez les autres facettes encore cachées de ces laudateurs.
Alassane Hamidou Diallo,211 80 44
koninkepellitdo@yahoo.fr