
Ils ne peuvent pardonner au nom des Flam, Avomm, Ocvidh, Camme, les associations des réfugiés mauritaniens au Sénégal et au Mali qui ont souffert le martyr pendant ces années de braise. De quoi a peur la junte pour vouloir régler en catimini ce problème douloureux? Est-ce pour protéger les membres du HCE reconnus comme tortionnaires?
Les Imams du colonel ne peuvent bénir que la junte et ses marionnettes mais nous autres vraies victimes et rescapés de l´enfer Taya voulons pas de leurs maudites prières et savons comment faire prévaloir nos droits à la justice. Où étaient ces prétendus chefs religieux de la junte pendant les déportations et les massacres dans les camps du colonel Taya?
Nous n´avons pas lutté toutes ces années pour obtenir seulement des espèces sonnantes et trébuchantes et surtout dévaluées. Taya avait pourtant fait la même proposition que les généraux d´operette du HCE nous étalent aujourd´hui mais nous avions réfusé. Pourquoi? Notre lutte se situe ailleurs: contre l´impunité et la justice et non la recherche des réparations matérielles.
Que les criminels reconnaissent leurs crimes devant la nation et que toute la lumière soit faite sur ce génocide qui ne dit pas son nom ; que les tortionnaires et autres criminels soient jugés et c´est après seulement qu´on pourra parler d´amnisitie ou du pardon.
La lutte continue.
Mawndu Gaale
source: OCVIDH.ORG
Les Imams du colonel ne peuvent bénir que la junte et ses marionnettes mais nous autres vraies victimes et rescapés de l´enfer Taya voulons pas de leurs maudites prières et savons comment faire prévaloir nos droits à la justice. Où étaient ces prétendus chefs religieux de la junte pendant les déportations et les massacres dans les camps du colonel Taya?
Nous n´avons pas lutté toutes ces années pour obtenir seulement des espèces sonnantes et trébuchantes et surtout dévaluées. Taya avait pourtant fait la même proposition que les généraux d´operette du HCE nous étalent aujourd´hui mais nous avions réfusé. Pourquoi? Notre lutte se situe ailleurs: contre l´impunité et la justice et non la recherche des réparations matérielles.
Que les criminels reconnaissent leurs crimes devant la nation et que toute la lumière soit faite sur ce génocide qui ne dit pas son nom ; que les tortionnaires et autres criminels soient jugés et c´est après seulement qu´on pourra parler d´amnisitie ou du pardon.
La lutte continue.
Mawndu Gaale
source: OCVIDH.ORG