
Comme à son habitude, le site internet « Taqadoumy » vient dans une de ses sorties maladroites de s’en prendre à l’actuel ministre des finances, M. Kane Ousmane. L’intéressé, jugeant probablement, comme la majorité des Mauritaniens, que le site en question a fini par perdre toute crédibilité, à force de s’en prendre à la vie privée et publique des gens sans l’ombre d’une preuve, a choisi de ne pas répondre à des accusations rocambolesques frisant le ridicule.
Car comment croire que des gens sensés, de surcroit journalistes « experts » en investigation, aient pu avaler de telles couleuvres ! et ainsi avancer à l’opinion de telles insanités ? Jugez-par vous-mêmes !
« Courant 2007, le gouverneur de la Banque Centrale de Mauritanie (BCM) Ousmane Kane, avait fait passer un marché d’équipement, destiné à embellir la façade du siège, pour un coût de 6 milliards d'ouguiyas. Ahmed Ould Moulaye Ahmed, directeur administratif et financier (DAF) de la BCM au moment des faits, avait estimé la dépense disproportionnée par référence à la nature des travaux ; aussi, s’y oppose-t-il fermement. » dixit Taqadoumy.
En réalité de telles invraisemblances ne méritent pas qu’on s’y arrêtent tant elles puent la manipulation, l’hypocrisie, la malveillance, la volonté de faire du mal…
Elles visent à ternir l’image d’un centralien au talent reconnu ailleurs ! et qui a quitté le poste envié et juteux de vice-président de la banque mondiale pour servir son pays. Et ce n’est pas à un ingénieur lauréat d’une aussi auguste institution qu’on apprendra l’ordre des grandeurs : une façade pour 6 milliards d’ouguiyas ! De telles aberrations sont apparemment l’apanage de ce site qui ne quitte que rarement ces derniers jours la rubrique judiciaire.
Cela est d’autant plus impardonnable que les protagonistes de l’affaire sont là vivants et ne daigneront pas d’apporter leur témoignage. La question qui se pose est pour qui profite le crime ?
Les faits sont têtus : M. Kane Ousmane est un grand cadre de ce pays. Il l’a servi honnêtement par le passé (à la Banque Centrale de Mauritanie ; à la SNIM…) et n’a donc de leçon à recevoir de personne. Politiquement, il est bien assis ; bénéficiant de la confiance du Président de la République, il fait montre d’un rare dévouement à son travail. Socialement, ce fils de Tekane, issu d’une noble lignée, est apprécié et respecté pour son altruisme et son sacrifice au profit des siens.
Sur le plan comportemental, l’homme, avec son éternel sourire, est aimé par l’ensemble de ses concitoyens qui ont eu à faire appel à ses services pour une raison ou pour une autre.
Alors l’attaquer ainsi frontalement sans raison, ne fait qu’augmenter son audience. Au gouvernement où il occupe de fait le numéro deux, sa réputation d’intégrité et de grande compétence est unanimement reconnue et ne souffre aucune réserve.
Les auteurs ou commanditaires de l’article, truffé de non sens, rendent en fait un grand service à M. Kane Ousmane et promeuvent, sans le vouloir bien sûr, l’action d’une personnalité politique au parcours sans faute.
En conclusion, l’on ne peut que déplorer la propension qu’ont certains, journalistes ou pas, de s’attaquer à tout cadre propre de ce pays, pour un besoin dans leur propre personne (hajatoun vi nevsi yacoub). Ces personnes doivent comprendre que les choses ont radicalement changé et que dans la Mauritanie nouvelle, il n’y a plus de place pour ces attitudes négatives.
Bamba Ould Mohamed
cridem.org
Car comment croire que des gens sensés, de surcroit journalistes « experts » en investigation, aient pu avaler de telles couleuvres ! et ainsi avancer à l’opinion de telles insanités ? Jugez-par vous-mêmes !
« Courant 2007, le gouverneur de la Banque Centrale de Mauritanie (BCM) Ousmane Kane, avait fait passer un marché d’équipement, destiné à embellir la façade du siège, pour un coût de 6 milliards d'ouguiyas. Ahmed Ould Moulaye Ahmed, directeur administratif et financier (DAF) de la BCM au moment des faits, avait estimé la dépense disproportionnée par référence à la nature des travaux ; aussi, s’y oppose-t-il fermement. » dixit Taqadoumy.
En réalité de telles invraisemblances ne méritent pas qu’on s’y arrêtent tant elles puent la manipulation, l’hypocrisie, la malveillance, la volonté de faire du mal…
Elles visent à ternir l’image d’un centralien au talent reconnu ailleurs ! et qui a quitté le poste envié et juteux de vice-président de la banque mondiale pour servir son pays. Et ce n’est pas à un ingénieur lauréat d’une aussi auguste institution qu’on apprendra l’ordre des grandeurs : une façade pour 6 milliards d’ouguiyas ! De telles aberrations sont apparemment l’apanage de ce site qui ne quitte que rarement ces derniers jours la rubrique judiciaire.
Cela est d’autant plus impardonnable que les protagonistes de l’affaire sont là vivants et ne daigneront pas d’apporter leur témoignage. La question qui se pose est pour qui profite le crime ?
Les faits sont têtus : M. Kane Ousmane est un grand cadre de ce pays. Il l’a servi honnêtement par le passé (à la Banque Centrale de Mauritanie ; à la SNIM…) et n’a donc de leçon à recevoir de personne. Politiquement, il est bien assis ; bénéficiant de la confiance du Président de la République, il fait montre d’un rare dévouement à son travail. Socialement, ce fils de Tekane, issu d’une noble lignée, est apprécié et respecté pour son altruisme et son sacrifice au profit des siens.
Sur le plan comportemental, l’homme, avec son éternel sourire, est aimé par l’ensemble de ses concitoyens qui ont eu à faire appel à ses services pour une raison ou pour une autre.
Alors l’attaquer ainsi frontalement sans raison, ne fait qu’augmenter son audience. Au gouvernement où il occupe de fait le numéro deux, sa réputation d’intégrité et de grande compétence est unanimement reconnue et ne souffre aucune réserve.
Les auteurs ou commanditaires de l’article, truffé de non sens, rendent en fait un grand service à M. Kane Ousmane et promeuvent, sans le vouloir bien sûr, l’action d’une personnalité politique au parcours sans faute.
En conclusion, l’on ne peut que déplorer la propension qu’ont certains, journalistes ou pas, de s’attaquer à tout cadre propre de ce pays, pour un besoin dans leur propre personne (hajatoun vi nevsi yacoub). Ces personnes doivent comprendre que les choses ont radicalement changé et que dans la Mauritanie nouvelle, il n’y a plus de place pour ces attitudes négatives.
Bamba Ould Mohamed
cridem.org