
Avez-vous ressenti cette souffrance, celle des peuples frappés dans leur chair, ces peuples que l’histoire la plus ancrée dans la mémoire de l’homme nie, tant la bêtise y a pris une place irrémédiable.
Comment expliquer que des hommes d’espoir, des hommes que le combat pour la dignité de leurs frères a unis jusqu'à dans la mort en viennent à ces actes ou l’insulte le dispute au maudit, disons le clairement, ces hommes sont ils maudits, sont ils les fils d’un peuple maudit, voila l’insulte historique que seul un exil de démence ou dans la démence produit sur les chemins barbares de l’histoire humaine. Maudit et rien que ce mot maudit.
Comment comprendre, ou expliquer les mots qui parlent dans la toile Mauritanienne de France, ces maux qui nous blessent, ces rires idiots de l’âme même de la bêtise, ces larmes qui sont des satisfécits donnés à l’adversaire, à l’ennemie qui insulte à jamais le sang des hommes d’Inal, de Jreida, la démesure dirons nous, les sables ont abreuvés les chairs et les douleurs des mamans, noblesse dans la souffrance et foi en Allah, oui que dire à ces hommes et femmes d’exil, et comment et encore comment ô Dieu de miséricorde, comment expliquer, comment le comprendre.
Ould Taya avait –il raison de frapper les fils du fleuve, oui on peut le penser devant cette négation des valeurs et de la dignité, oui on peut le penser tant ces hommes qui se lâchent à la bêtise donnent un spectacle de mort, ils ne méritaient pas de vivre pensait Ould Taya en donnant l’ordre militaire de régler leurs comptes, sous cette forme que tant d’interlocuteurs de la bête confirment, « faites les disparaitre de ma vue » et que vaut devant cette phrase ordre de crime, ceux qui s’insultent au cœur de la douleur née de ce crime, né de l’antre de la bête, né de la barbarie du racisme et de l’ignominie, Ould Taya défendait selon ses vues son pouvoir et sa race, que défend les pourfendeurs de nos consciences , rien, leur orgueil, leur fierté , doutons de cela pour vivre un peu, pour échapper un peu à la bêtise, mais si cela en est le ciment alors mourrons tous tant que nous sommes et confirmons aux yeux de la terre humaine que Ould Taya avait raison, abandonnons nos actions devant le droit à Bruxelles ou ailleurs, chantons cette gloire parce que en vérité Ould Taya est notre sauveur.
Avons-nous écris ou dis une vérité qui blesse, alors osons blesser, osons crever cette abcès, cette pue qui emporte notre dignité, la dignité d’hommes de valeurs que la bêtise de l’orgueil et de la fierté vile endort et empoisonne, empoisonne certes, oui comment expliquer cette diatribe, ces envolées de nos amis de l’OCVIDH.
Est-ce cette rencontre entre le Président de cette association et le Général Aziz à Nouakchott sur laquelle nous avons des témoignages de l’intérieur, sur les mots prononcés, ils ont parlé de droit et de justice, pour les morts, pour les veuves , pour les vivants, ou alors est ce la manière dont cette rencontre a été organisée, acceptons même qu’il y ait une précipitation, une faute, mais cela justifie t elle à ce point ces déferlements de haines entre soldats, entre ex officiers. Osons penser que non, ou espérons que non, mais il semble que oui, alors si ce oui est vrai, acceptons nous ce oui, accepterons nous qu’une simple précipitation à aller à une rencontre, qu’un simple manque de coordination entre membres d’une association, tue et l’association, et les membres et toute notre histoire, mais qui sont ces hommes qui osent planter le couteau au dos de nos morts pour si peu, ils s’oublient, ils nous déshonorent, ils n’en n’ont pas le droit.
Leur raison sont sans fondement historique, et seul l’histoire compte pour un peuple brimé, seul l’histoire marque les chemins de demain, et ils insultent notre avenir commun, et s’ils sont par l’exil et par la bêtise déjà mort, alors qu’ils laissent à nos enfants le soin de sortir du rêve pour conquérir la réalité, leur vérité.
Parlons nous, analysons froidement, ils ont parlé avec le Général Aziz, mais Messoud est encore Président de l’assemblée, a t’il démissionné ? Non, Ahmed Ould Daddah a indirectement dialogué à Dakar avec le Général Aziz, son allié d’un moment, et son ennemi d’un soir pour un plateau ou seul une main plonge, et ce même Ahmed s’est présenté aux élections avec le Général Aziz. Que font ces hommes de la politique point, ils ont un point fixe, la conquête du pouvoir, et au-delà de la manière, c’est admis par la communauté des hommes que c’est un but noble, et nous que faisons-nous ? Parlons-en clairement, au combat, la vérité l’exige. Sidi Ould Abdallahi a signé la paix des braves, il dort sous les lambris à Lemden, alors pourquoi ? Entre nous la haine pousse et explose nos vies ?
Pourquoi nous, et toujours et encore nous, cette négraille vide et vile qui n’apprend rien et ne se donne rien pour enfin sortir de sa vilaine, de l’infamie, oui nous méritons notre honte, nous sommes notre honte, nous sommes l’arme qui explose la tête de notre enfant ; moussa à 5 ans, il vit à Montreuil, son père est Mauritanien, ha dit il à nos consciences futiles, la Mauritanie ou dis tu papa ? la Mauritanie, j’ai discuté hier avec un copain la Mauritanie c’est le pays de l’autre.
Et Demba mon fils, il observe son père qui revient de son boulot de gardien de bar ou de magasin, un père sans rire, ni sourire, un père comateux et sans avenir, tant on lui a pris sa naissance, sa vie et sa terre, un père qui a tué sa mère à force de s’insulter debout, à force de s’avilir debout, à force de rire au vide carnassier, au vide sans conscience de la terre froide de l’exil. Un homme qui a tué son passé et qui n’a pas d’avenir et pendant ce temps Demba se désole devant sa télévision. Il y’a là matière à réfléchir, l’exil est il un avenir, croyons que non, trouverons nous enfin un autre oasis pour nos enfants, ils sont de nationalité, mais le sont ils vraiment, le temps est au réveil, un reveil douleureux.
Analysons les faits, ou sont combats, Aziz est au enfin au palais ocre, Messoud à l’assemblée, Ahmed est dépassé et ne veut tirer sa révérence, et Sarr se cherche,
Et nos combats, pour un pays égalitaire, oublié sous les cochets vides de la formule démocratique ou perdure et encore et encore nos maux, et nos combats pour économie ouvert à tous et non à certains, oublié on se bat pour Sidi et Ahmed, oui nous sommes les mendiants, le pays où chaque noir à son maure, où chaque baron a ses petits chiens de cour, où sont nos combats, oubliées les tombes des soldats ensevelis, où sont nos combats, nulle part on nous donne un os et on s’y précipite, que regardons nous dans un gouvernement, ha combien de moire, là-bas ils se battent pour être le moire du gouvernement, ils se battent entre eux, se déchirent entre eux non pas pour plus de postes et des postes forts, non juste pour quelques postes acceptant ainsi la vérité construite qu’ils ne sont que 3% de la population comme l’affirmait un homme politique de première plan dans des cabinets obscurs français.
Où sont tes combats Diagana Mamadou Youssouf, où sont tes morts homme d’Inal, où sont tes valeurs Soumaré Abdelaziz ? Ne vous donnez pas à l’ignominie, vous êtes et nous le savons tous plus grand que cette bêtise, nous le savons, vous êtes plus nobles que ces mots sur la toile, nous le savons, vous le savez alors au nom de vos combats, de vos valeurs, réveillez vous enfin et ne répondez plus à l’appel de la bêtise.
L’histoire ne renonce pas, elle survit au temps, et à la bêtise, mais pas au silence de la noblesse, oui le silence nécessaire à la paix des justes, à la paix des soldats et à la douleur des veuves, ce silence est un salut fraternel aux morts de l’espérance, aux torturés de la mémoire, aux blessés de l’exil.
Et il n’y rien de plus pire que les peuple qui errent dans l’oubli, mais plus encore il n'y a rien de plus génocidaire pour les cœurs et les esprits que le viol des consciences, le viol de l’ami par l’ami, l’insulte de l’ami à l’ami, l’insulte du frère au frère, il n’y a rien de plus Ould Tayesque, pardon pour la contorsion, et plus odieux que ces mots dans la toile, ces échanges honteux entre membres de l’OCDIVH, pardon pour nos morts, pardon pour nos consciences stop et stop, à cette folie, indigne de l’humanité, indigne de soldats, indigne d’ex officiers, indigne pour les camarades tombés dans l’arène de l’histoire, indigne des droits au nom desquels vous donnez vos vies et vos consciences.
Stop à cette bêtise, il y’a d’autres champs de batailles, il y’a mille de raisons de vivre, milles raisons de mourir, l’histoire nous appelle, répondons debout au sens de l’espérance, à la vie dans la noblesse, oui ensemble répondons comme un à l’appel du combat, la restauration de nos droits de citoyens et de peuple.
A chacun un salut militant
Demba DIANKHONTE
Comment expliquer que des hommes d’espoir, des hommes que le combat pour la dignité de leurs frères a unis jusqu'à dans la mort en viennent à ces actes ou l’insulte le dispute au maudit, disons le clairement, ces hommes sont ils maudits, sont ils les fils d’un peuple maudit, voila l’insulte historique que seul un exil de démence ou dans la démence produit sur les chemins barbares de l’histoire humaine. Maudit et rien que ce mot maudit.
Comment comprendre, ou expliquer les mots qui parlent dans la toile Mauritanienne de France, ces maux qui nous blessent, ces rires idiots de l’âme même de la bêtise, ces larmes qui sont des satisfécits donnés à l’adversaire, à l’ennemie qui insulte à jamais le sang des hommes d’Inal, de Jreida, la démesure dirons nous, les sables ont abreuvés les chairs et les douleurs des mamans, noblesse dans la souffrance et foi en Allah, oui que dire à ces hommes et femmes d’exil, et comment et encore comment ô Dieu de miséricorde, comment expliquer, comment le comprendre.
Ould Taya avait –il raison de frapper les fils du fleuve, oui on peut le penser devant cette négation des valeurs et de la dignité, oui on peut le penser tant ces hommes qui se lâchent à la bêtise donnent un spectacle de mort, ils ne méritaient pas de vivre pensait Ould Taya en donnant l’ordre militaire de régler leurs comptes, sous cette forme que tant d’interlocuteurs de la bête confirment, « faites les disparaitre de ma vue » et que vaut devant cette phrase ordre de crime, ceux qui s’insultent au cœur de la douleur née de ce crime, né de l’antre de la bête, né de la barbarie du racisme et de l’ignominie, Ould Taya défendait selon ses vues son pouvoir et sa race, que défend les pourfendeurs de nos consciences , rien, leur orgueil, leur fierté , doutons de cela pour vivre un peu, pour échapper un peu à la bêtise, mais si cela en est le ciment alors mourrons tous tant que nous sommes et confirmons aux yeux de la terre humaine que Ould Taya avait raison, abandonnons nos actions devant le droit à Bruxelles ou ailleurs, chantons cette gloire parce que en vérité Ould Taya est notre sauveur.
Avons-nous écris ou dis une vérité qui blesse, alors osons blesser, osons crever cette abcès, cette pue qui emporte notre dignité, la dignité d’hommes de valeurs que la bêtise de l’orgueil et de la fierté vile endort et empoisonne, empoisonne certes, oui comment expliquer cette diatribe, ces envolées de nos amis de l’OCVIDH.
Est-ce cette rencontre entre le Président de cette association et le Général Aziz à Nouakchott sur laquelle nous avons des témoignages de l’intérieur, sur les mots prononcés, ils ont parlé de droit et de justice, pour les morts, pour les veuves , pour les vivants, ou alors est ce la manière dont cette rencontre a été organisée, acceptons même qu’il y ait une précipitation, une faute, mais cela justifie t elle à ce point ces déferlements de haines entre soldats, entre ex officiers. Osons penser que non, ou espérons que non, mais il semble que oui, alors si ce oui est vrai, acceptons nous ce oui, accepterons nous qu’une simple précipitation à aller à une rencontre, qu’un simple manque de coordination entre membres d’une association, tue et l’association, et les membres et toute notre histoire, mais qui sont ces hommes qui osent planter le couteau au dos de nos morts pour si peu, ils s’oublient, ils nous déshonorent, ils n’en n’ont pas le droit.
Leur raison sont sans fondement historique, et seul l’histoire compte pour un peuple brimé, seul l’histoire marque les chemins de demain, et ils insultent notre avenir commun, et s’ils sont par l’exil et par la bêtise déjà mort, alors qu’ils laissent à nos enfants le soin de sortir du rêve pour conquérir la réalité, leur vérité.
Parlons nous, analysons froidement, ils ont parlé avec le Général Aziz, mais Messoud est encore Président de l’assemblée, a t’il démissionné ? Non, Ahmed Ould Daddah a indirectement dialogué à Dakar avec le Général Aziz, son allié d’un moment, et son ennemi d’un soir pour un plateau ou seul une main plonge, et ce même Ahmed s’est présenté aux élections avec le Général Aziz. Que font ces hommes de la politique point, ils ont un point fixe, la conquête du pouvoir, et au-delà de la manière, c’est admis par la communauté des hommes que c’est un but noble, et nous que faisons-nous ? Parlons-en clairement, au combat, la vérité l’exige. Sidi Ould Abdallahi a signé la paix des braves, il dort sous les lambris à Lemden, alors pourquoi ? Entre nous la haine pousse et explose nos vies ?
Pourquoi nous, et toujours et encore nous, cette négraille vide et vile qui n’apprend rien et ne se donne rien pour enfin sortir de sa vilaine, de l’infamie, oui nous méritons notre honte, nous sommes notre honte, nous sommes l’arme qui explose la tête de notre enfant ; moussa à 5 ans, il vit à Montreuil, son père est Mauritanien, ha dit il à nos consciences futiles, la Mauritanie ou dis tu papa ? la Mauritanie, j’ai discuté hier avec un copain la Mauritanie c’est le pays de l’autre.
Et Demba mon fils, il observe son père qui revient de son boulot de gardien de bar ou de magasin, un père sans rire, ni sourire, un père comateux et sans avenir, tant on lui a pris sa naissance, sa vie et sa terre, un père qui a tué sa mère à force de s’insulter debout, à force de s’avilir debout, à force de rire au vide carnassier, au vide sans conscience de la terre froide de l’exil. Un homme qui a tué son passé et qui n’a pas d’avenir et pendant ce temps Demba se désole devant sa télévision. Il y’a là matière à réfléchir, l’exil est il un avenir, croyons que non, trouverons nous enfin un autre oasis pour nos enfants, ils sont de nationalité, mais le sont ils vraiment, le temps est au réveil, un reveil douleureux.
Analysons les faits, ou sont combats, Aziz est au enfin au palais ocre, Messoud à l’assemblée, Ahmed est dépassé et ne veut tirer sa révérence, et Sarr se cherche,
Et nos combats, pour un pays égalitaire, oublié sous les cochets vides de la formule démocratique ou perdure et encore et encore nos maux, et nos combats pour économie ouvert à tous et non à certains, oublié on se bat pour Sidi et Ahmed, oui nous sommes les mendiants, le pays où chaque noir à son maure, où chaque baron a ses petits chiens de cour, où sont nos combats, oubliées les tombes des soldats ensevelis, où sont nos combats, nulle part on nous donne un os et on s’y précipite, que regardons nous dans un gouvernement, ha combien de moire, là-bas ils se battent pour être le moire du gouvernement, ils se battent entre eux, se déchirent entre eux non pas pour plus de postes et des postes forts, non juste pour quelques postes acceptant ainsi la vérité construite qu’ils ne sont que 3% de la population comme l’affirmait un homme politique de première plan dans des cabinets obscurs français.
Où sont tes combats Diagana Mamadou Youssouf, où sont tes morts homme d’Inal, où sont tes valeurs Soumaré Abdelaziz ? Ne vous donnez pas à l’ignominie, vous êtes et nous le savons tous plus grand que cette bêtise, nous le savons, vous êtes plus nobles que ces mots sur la toile, nous le savons, vous le savez alors au nom de vos combats, de vos valeurs, réveillez vous enfin et ne répondez plus à l’appel de la bêtise.
L’histoire ne renonce pas, elle survit au temps, et à la bêtise, mais pas au silence de la noblesse, oui le silence nécessaire à la paix des justes, à la paix des soldats et à la douleur des veuves, ce silence est un salut fraternel aux morts de l’espérance, aux torturés de la mémoire, aux blessés de l’exil.
Et il n’y rien de plus pire que les peuple qui errent dans l’oubli, mais plus encore il n'y a rien de plus génocidaire pour les cœurs et les esprits que le viol des consciences, le viol de l’ami par l’ami, l’insulte de l’ami à l’ami, l’insulte du frère au frère, il n’y a rien de plus Ould Tayesque, pardon pour la contorsion, et plus odieux que ces mots dans la toile, ces échanges honteux entre membres de l’OCDIVH, pardon pour nos morts, pardon pour nos consciences stop et stop, à cette folie, indigne de l’humanité, indigne de soldats, indigne d’ex officiers, indigne pour les camarades tombés dans l’arène de l’histoire, indigne des droits au nom desquels vous donnez vos vies et vos consciences.
Stop à cette bêtise, il y’a d’autres champs de batailles, il y’a mille de raisons de vivre, milles raisons de mourir, l’histoire nous appelle, répondons debout au sens de l’espérance, à la vie dans la noblesse, oui ensemble répondons comme un à l’appel du combat, la restauration de nos droits de citoyens et de peuple.
A chacun un salut militant
Demba DIANKHONTE