
les putschistes!!
Quelques minutes avant leur entrée dans la grande salle, Monsieur Ould Laghdaf, déambulant dans la salle de Presse, lançait à l'endroit de la Presse qu'il restait 'confiant quant à la capacité de l'union Européenne de comprendre l'attachement de la majorité au mouvement rectificatif du 06 août'. Une réponse donnée à un journaliste qui s'inquiétait de le voir sortir de son grand oral la mine défaite.
Monsieur le premier ministre, 'vous nous semblez bien optimiste ?, lui avait lancé ce journaliste.
Le Commissaire Européen au dévéloppement et à l'aide humanitaire, Monsieur Louis Michel et Monsieur Joyandet Alain secrétaire d'Etat chargé de la Coopération et de la Franophonie en souhaitant la bienvenue à la délégation proputschiste diront, ' compte tenu des agendas chargés de quelques uns parmi nous, nous n'auraons que la matinée à consacrer à l'objet du jour', dira le commissiaire Européen après les saluations d'usage.
Confiance tout de suite entamée chez les mandataires des soldats ususrpateurs, sauf, bien sûr, chez le courageux Ahmedou Tidjani BALL, garde des sceaux de la junte des putschistes qui voulût rétorquer ! Vite douché par Joyandet, qui le somma de se présenter. Ahmedou Tidjani BALL, n'ayant même pas terminé de bredouiller son titre, fût coupé net par le Secrétaire D'Etat français qui demanda à Ould laghaF d'exposer à leur auguste jury les raisons de l'entêtement du soldat Ould Abdel Aziz de céder aux injonctions de la communauté internationale.
Logorrhées puis loghorrhées et encore loghorrées, semblait penser le Commissaire Européen qui n'arrêtait pas de cligner des yeux. Après une bonne heure de supputations, la délagation Européenne pria les mauritaniens qui n'en pouvaient plus de gesticuler sur les moelleux sièges de la Banque Mondiale de prendre une pause.
Au retour l'estocade :
'Les propositions et engagements de la partie mauritanienne n'incluent pas une libération immédiate et sans conditions du président légitime et restent dans un cadre fondamentalement non-constitutionnel et illégitime sans perspectives de retour à l'ordre constitutionnel dans le court terme',
'A ce stade, l'Union européenne a besoin d'entendre le président', ajoute Monsieur Joyandet, 'Vous avez un mois au delà, si aucune solution satisfaisante n'est trouvée, des sanctions seront prises par l'UE', termine le Commissaire européen.
En attendant , 'les activités de coopération en cours seront limitées aux actions à caractère humanitaire ou bénéficiant directement aux populations et à la mise en oeuvre et aux paiements relatifs aux contrats déjà en exécution qui ne peuvent pas être interrompus', conclut la présidence française.
La douche froide.
Dehors, à quelques métres, comble de la bétise, on pouvait lire sur une banderole male repliée ' Oui au Putch, Aziz président', une baderole négligemment tenue par deux non Mauritaniens payés 100 euros chacun pour l'effet du nombre. D'autres non Mauritaniens étaient également présents, le supporter officiel de l'équipe nationale de football tunisienne avec son ourd (voir photo), un ressortissant du village sénégalais de Thilony, qui a montré à Camara Sédiba les 100 euros qu'il venait de toucher des mains des services de l'ambassade de Mauritanie en France. Subterfuges qui n'ont, du reste, pas échappées à la presse internationale venu couvrir l'événement.
Parmi les soutiens de la Mauritanie du putschisme, il y avait donc, le personnel des Ambassades, consulats Mauritaniens de France et Belgique et leurs familles. On pouvait voir également quelques fonctionnaires mauritaniens de la SNIM et de l'Unesco venus avec leurs familles, quelques privilégiées bidhaniyat(femmes maures) du système venus aux frais de l'Etat pour des soins(Khady FALL et sa rachitique petite soeur Fatima FALL ; la marabout) ; deux journaleux-agents de renseignements (Ould Hormattalah le parricide et cousin de Ould Daddah, et l'inamovible éternel saffagh Ould Nennih). Cette mauvaise sauce était agrémentée de la négraille fétide constituée par les anciens petits soldats Kane Alhousseynou, Diacko Abdoul karim, Ndongo Mamadou le ventripotent et le petit PRDS Yongane. Cette petite négraille dansait le Toumbarma à la gloire du soldat Ould Abdel Aziz aux sons d'un Ourd tunisien. A en croire les rumeurs, il ne s'est trouvé aucun giiw (griot) Maure pour soutenir le putschisme. Ould Abdel aziz serait-il issu d'un khaïmeh Saghira (Petite tente en hassaniya) ?
Autre régistre et vrai contraste,
A l'angle opposée (Alma Marceau) des pro-putschistes, il y avait le sit-in des anti-putschistes(FLAM, AVOMM et FNDD-France), véritables chouchous de la Presse. Plus audibles et plus cohérents du point de vue de certains journalistes, les antipustchistes ont distribué plus de deux milles déclarations rappelant la nécessité de sanctionner le criminel petit soldat ould aziz et sa bande de putschistes. Promeneurs, curieux et travailleurs en pause-déjeuner, se sont rués sur les tracts publiés pour la circonstance et nous les ont arrachés. Nous rappelons que de nombeux fonctionnaires de la Banque Mondiale sont venus nous demander les déclarations du FNDD et des Forces de libération africaines de Mauritanie.
La lutte continue.
Secrétariat à la Presse et à la Communication
FLAM-Europe de l'Ouest
Monsieur le premier ministre, 'vous nous semblez bien optimiste ?, lui avait lancé ce journaliste.
Le Commissaire Européen au dévéloppement et à l'aide humanitaire, Monsieur Louis Michel et Monsieur Joyandet Alain secrétaire d'Etat chargé de la Coopération et de la Franophonie en souhaitant la bienvenue à la délégation proputschiste diront, ' compte tenu des agendas chargés de quelques uns parmi nous, nous n'auraons que la matinée à consacrer à l'objet du jour', dira le commissiaire Européen après les saluations d'usage.
Confiance tout de suite entamée chez les mandataires des soldats ususrpateurs, sauf, bien sûr, chez le courageux Ahmedou Tidjani BALL, garde des sceaux de la junte des putschistes qui voulût rétorquer ! Vite douché par Joyandet, qui le somma de se présenter. Ahmedou Tidjani BALL, n'ayant même pas terminé de bredouiller son titre, fût coupé net par le Secrétaire D'Etat français qui demanda à Ould laghaF d'exposer à leur auguste jury les raisons de l'entêtement du soldat Ould Abdel Aziz de céder aux injonctions de la communauté internationale.
Logorrhées puis loghorrhées et encore loghorrées, semblait penser le Commissaire Européen qui n'arrêtait pas de cligner des yeux. Après une bonne heure de supputations, la délagation Européenne pria les mauritaniens qui n'en pouvaient plus de gesticuler sur les moelleux sièges de la Banque Mondiale de prendre une pause.
Au retour l'estocade :
'Les propositions et engagements de la partie mauritanienne n'incluent pas une libération immédiate et sans conditions du président légitime et restent dans un cadre fondamentalement non-constitutionnel et illégitime sans perspectives de retour à l'ordre constitutionnel dans le court terme',
'A ce stade, l'Union européenne a besoin d'entendre le président', ajoute Monsieur Joyandet, 'Vous avez un mois au delà, si aucune solution satisfaisante n'est trouvée, des sanctions seront prises par l'UE', termine le Commissaire européen.
En attendant , 'les activités de coopération en cours seront limitées aux actions à caractère humanitaire ou bénéficiant directement aux populations et à la mise en oeuvre et aux paiements relatifs aux contrats déjà en exécution qui ne peuvent pas être interrompus', conclut la présidence française.
La douche froide.
Dehors, à quelques métres, comble de la bétise, on pouvait lire sur une banderole male repliée ' Oui au Putch, Aziz président', une baderole négligemment tenue par deux non Mauritaniens payés 100 euros chacun pour l'effet du nombre. D'autres non Mauritaniens étaient également présents, le supporter officiel de l'équipe nationale de football tunisienne avec son ourd (voir photo), un ressortissant du village sénégalais de Thilony, qui a montré à Camara Sédiba les 100 euros qu'il venait de toucher des mains des services de l'ambassade de Mauritanie en France. Subterfuges qui n'ont, du reste, pas échappées à la presse internationale venu couvrir l'événement.
Parmi les soutiens de la Mauritanie du putschisme, il y avait donc, le personnel des Ambassades, consulats Mauritaniens de France et Belgique et leurs familles. On pouvait voir également quelques fonctionnaires mauritaniens de la SNIM et de l'Unesco venus avec leurs familles, quelques privilégiées bidhaniyat(femmes maures) du système venus aux frais de l'Etat pour des soins(Khady FALL et sa rachitique petite soeur Fatima FALL ; la marabout) ; deux journaleux-agents de renseignements (Ould Hormattalah le parricide et cousin de Ould Daddah, et l'inamovible éternel saffagh Ould Nennih). Cette mauvaise sauce était agrémentée de la négraille fétide constituée par les anciens petits soldats Kane Alhousseynou, Diacko Abdoul karim, Ndongo Mamadou le ventripotent et le petit PRDS Yongane. Cette petite négraille dansait le Toumbarma à la gloire du soldat Ould Abdel Aziz aux sons d'un Ourd tunisien. A en croire les rumeurs, il ne s'est trouvé aucun giiw (griot) Maure pour soutenir le putschisme. Ould Abdel aziz serait-il issu d'un khaïmeh Saghira (Petite tente en hassaniya) ?
Autre régistre et vrai contraste,
A l'angle opposée (Alma Marceau) des pro-putschistes, il y avait le sit-in des anti-putschistes(FLAM, AVOMM et FNDD-France), véritables chouchous de la Presse. Plus audibles et plus cohérents du point de vue de certains journalistes, les antipustchistes ont distribué plus de deux milles déclarations rappelant la nécessité de sanctionner le criminel petit soldat ould aziz et sa bande de putschistes. Promeneurs, curieux et travailleurs en pause-déjeuner, se sont rués sur les tracts publiés pour la circonstance et nous les ont arrachés. Nous rappelons que de nombeux fonctionnaires de la Banque Mondiale sont venus nous demander les déclarations du FNDD et des Forces de libération africaines de Mauritanie.
La lutte continue.
Secrétariat à la Presse et à la Communication
FLAM-Europe de l'Ouest