
Selon des sources proches des détenus présumés salafiste de la prison centrale de Nouakchott, ces derniers observent une grève de la faim depuis le samedi, premier jour du ramadan, en réaction à ce qu’ils ont appelé « le manquement des autorités responsables de la prison à leur engagement par rapport à une entente au tour de la question du repas du « fitr » ou rupture du jeun.
Ces mêmes sources ont affirmé que le régisseur de la prison s’est engé à fournir aux détenus une quantité de 12 kilogrammes de viandes pour le fitr et le dîner et ce pour un nombre de 60 prisonniers constituant la communauté des locataires de cette maison d’arrêt. Surpris en retrouvant cette quantité réduite à 6 kg, ils ont décidé de s’abstenir de prendre les plats du fitr et du dîner d’hier soir. Ils ont souligné que les autorités pénitentiaires ont manqué à toutes les clauses de l’accord bilatéral conclu à l’issue de leur dernière grève de la faim, les privant de pratiquer le sort après deux semaines.
Selon ces mêmes sources, les prisonniers présumés salafiste entendent mener une grève illimitée de la faim, jusqu’à la satisfaction de leurs doléances.
Source: ANI
Ces mêmes sources ont affirmé que le régisseur de la prison s’est engé à fournir aux détenus une quantité de 12 kilogrammes de viandes pour le fitr et le dîner et ce pour un nombre de 60 prisonniers constituant la communauté des locataires de cette maison d’arrêt. Surpris en retrouvant cette quantité réduite à 6 kg, ils ont décidé de s’abstenir de prendre les plats du fitr et du dîner d’hier soir. Ils ont souligné que les autorités pénitentiaires ont manqué à toutes les clauses de l’accord bilatéral conclu à l’issue de leur dernière grève de la faim, les privant de pratiquer le sort après deux semaines.
Selon ces mêmes sources, les prisonniers présumés salafiste entendent mener une grève illimitée de la faim, jusqu’à la satisfaction de leurs doléances.
Source: ANI