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Le bureau exécutif de l'AVOMM

"L'important n'est pas ce qu'on fait de nous, mais ce que nous faisons nous-mêmes de ce qu'on a fait de nous." Jean-Paul Sartre

"L'Association d'aides aux veuves et aux orphelins de mauritanie (AVOMM) qui nous rassemble, a été créée le 25/12/95 à PARIS par d'ex-militaires mauritaniens ayant fui la terreur, l'oppression, la barbarie du colonel Mawiya o/ sid'ahmed Taya ......
Ces rescapés des geôles de ould Taya, et de l'arbitraire, décidèrent, pour ne jamais oublier ce qui leur est arrivé, pour garder aussi la mémoire des centaines de martyrs, de venir en aide aux veuves, aux orphelins mais aussi d'engager le combat contre l'impunité décrétée par le pouvoir de Mauritanie."
E-mail : avommavomm@yahoo.fr

Bureau exécutif

*Ousmane SARR, président
*Demba Niang, secrétaire général
*Secrétaire général Adjt; Demba Fall
*Alousseyni SY, Chargé des relations extérieures
*Mme Rougui Dia, trésorière
*Chargé de l’organisation Mariame Diop
*adjoint Ngolo Diarra
*Mme Mireille Hamelin, chargée de la communication
*Chargé de mission Bathily Amadou Birama
Conseillers:
*Kane Harouna
*Hamdou Rabby SY










AVOMM

Mauritanie : la publication des 30 personnalités présumées corrompues dans le collimateur des observateurs


La publication de la liste des 30 personnalités mauritaniennes mises en cause à l’issue du conseil des ministres il y a plus d’une semaine, est critiquée comme étant illégale, notamment pour violation de la présomption d’innocence et du secret procédural.

C’est la première fois depuis l’existence de la Cour des comptes que son rapport suscite autant de commentaires et de débats. C’est encore une fois, l’éclairage du professeur mauritanien Ely Mustapha sur l’illégalité de la publication des 30 personnalités présumées corrompues, qui revient au cœur des débats. La publication constitue une sanction sociale avant l’heure, avec des effets durables sur l’image, la dignité et la vie privée des personnes concernées. À ce stade, il ne s’agit que de fautes de gestion, qui relèvent de sanctions administratives ou financières, mais pas encore de délits ou crimes reconnus par un tribunal. Cette affaire soulève un dilemme entre transparence et respect des droits fondamentaux.

Après plus d’ une semaine des révélations de la Cour des comptes, c’est la réparation de l’irréparable qui est pointée du doigt. Et au-delà, le professeur mauritanien pointe la condamnation de l’Etat pour atteinte grave et manifestement illégale aux libertés fondamentales.





Cherif Kane
Journaliste

Source : Kassataya
Mardi 4 Novembre 2025 - 20:42
Mardi 4 Novembre 2025 - 20:44
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