
C’est par le président des pauvres que les populations avaient affectueusement surnommé le Chef de l’Etat Mohamed Ould Abdel Aziz. Aujourd’hui, certains soutiennent que le président de la République a oublié les pauvres et les laisser pour compte.
Faux ! rétorquent ceux qui le soutiennent en premier desquels se trouve le Directeur de publication du journal Le Véridique. En effet, jamais Ould Abdel Aziz n’a été si proches des personnes démunies qu’aujourd’hui.
La preuve par quatre est là pour démontrer qu’il ne s’agit guère de démagogie ou de politique populiste mais bien d’une vision claire pour l’avènement d’une Mauritanie nouvelle.
Il y a des signes qui ne passent guère inaperçus. C’est le cas de l’intérêt que le président de la République porte aux personnes souffrantes dans les hôpitaux. Combien de fois s’est-il rendu auprès du chevet de ces dernières au cours de visites inopinées ; des déplacements qui, à chaque fois, ont été l’occasion d’améliorer les prestations de ces structures sanitaires que ce soit avec l’acquisition de scanners, de baisse des tarifs de certaines prestations ou encore de l’ouverture d’un nouveau service des urgences. Cela évidement profite en premier lieu aux personnes démunies.
Autre signe de l’intérêt porté à cette frange de la population : la construction de centaines de kilomètres de voies bitumées dans les quartiers à forte concentrations de personnes pauvres comme à Dar Naim, à Hay Sakine, à Dar Beidah, à Riadh, à El Vellouja, etc. Ces routes goudronnées ne facilitent-elles pas le désenclavement de ces quartiers pauvres jusque-là coupés du reste de la ville comme pour cacher cette misère ?
Auparavant, certes on construisait des routes dans la capitale mais à chaque fois, et ce n’est pas un hasard, cela se faisait dans les quartiers chics de Tevragh Zeina, de E-Nord comme pour préserver les puissants 4X4, parfois mal acquis, des habitants de ces riches quartiers. La différence est de taille entre construire une route qui profite à un petit nombre de privilégiés et une autre dont bénéficieront des centaines de petits bonhommes.
Aimer les pauvres, c’est également déclencher une bataille sans merci contre la gabegie et les prévaricateurs, c’est aussi rationaliser le train de vie de l’Etat afin que le gain obtenu, qui parait-il s’élève à des milliards d’ouguiyas, soit affecter à d’autres réalisations dont profiteront en premier lieu les personnes jusque-là laisser pour compte.
Par ailleurs, Ould Abdel Aziz se déplace lui-même dans les quartiers populaires pour voir de visu dans quelles conditions vivent leurs habitants. Plusieurs personnes que Le Véridique a rencontré ont soutenu l’avoir vu en pleine nuit se déplacer discrètement pour s’enquérir lui-même de la situation de ses compatriotes avec qui ils discutent de tous les problèmes auxquels ils son confrontés.
Ceux qui soutiennent que Ould Abdel Aziz a oublié les pauvres sont ceux-là mêmes qui faisaient de la situation des démunis un fonds de commerce comme certains hommes politiques qui se réclamaient comme les portes paroles de ces derniers. En fait, Ould Abdel Aziz a tout simplement coupé l’herbe sous les pieds de ces derniers.
Mohamed Salem Ould Haiba
source : Le Véridique
Faux ! rétorquent ceux qui le soutiennent en premier desquels se trouve le Directeur de publication du journal Le Véridique. En effet, jamais Ould Abdel Aziz n’a été si proches des personnes démunies qu’aujourd’hui.
La preuve par quatre est là pour démontrer qu’il ne s’agit guère de démagogie ou de politique populiste mais bien d’une vision claire pour l’avènement d’une Mauritanie nouvelle.
Il y a des signes qui ne passent guère inaperçus. C’est le cas de l’intérêt que le président de la République porte aux personnes souffrantes dans les hôpitaux. Combien de fois s’est-il rendu auprès du chevet de ces dernières au cours de visites inopinées ; des déplacements qui, à chaque fois, ont été l’occasion d’améliorer les prestations de ces structures sanitaires que ce soit avec l’acquisition de scanners, de baisse des tarifs de certaines prestations ou encore de l’ouverture d’un nouveau service des urgences. Cela évidement profite en premier lieu aux personnes démunies.
Autre signe de l’intérêt porté à cette frange de la population : la construction de centaines de kilomètres de voies bitumées dans les quartiers à forte concentrations de personnes pauvres comme à Dar Naim, à Hay Sakine, à Dar Beidah, à Riadh, à El Vellouja, etc. Ces routes goudronnées ne facilitent-elles pas le désenclavement de ces quartiers pauvres jusque-là coupés du reste de la ville comme pour cacher cette misère ?
Auparavant, certes on construisait des routes dans la capitale mais à chaque fois, et ce n’est pas un hasard, cela se faisait dans les quartiers chics de Tevragh Zeina, de E-Nord comme pour préserver les puissants 4X4, parfois mal acquis, des habitants de ces riches quartiers. La différence est de taille entre construire une route qui profite à un petit nombre de privilégiés et une autre dont bénéficieront des centaines de petits bonhommes.
Aimer les pauvres, c’est également déclencher une bataille sans merci contre la gabegie et les prévaricateurs, c’est aussi rationaliser le train de vie de l’Etat afin que le gain obtenu, qui parait-il s’élève à des milliards d’ouguiyas, soit affecter à d’autres réalisations dont profiteront en premier lieu les personnes jusque-là laisser pour compte.
Par ailleurs, Ould Abdel Aziz se déplace lui-même dans les quartiers populaires pour voir de visu dans quelles conditions vivent leurs habitants. Plusieurs personnes que Le Véridique a rencontré ont soutenu l’avoir vu en pleine nuit se déplacer discrètement pour s’enquérir lui-même de la situation de ses compatriotes avec qui ils discutent de tous les problèmes auxquels ils son confrontés.
Ceux qui soutiennent que Ould Abdel Aziz a oublié les pauvres sont ceux-là mêmes qui faisaient de la situation des démunis un fonds de commerce comme certains hommes politiques qui se réclamaient comme les portes paroles de ces derniers. En fait, Ould Abdel Aziz a tout simplement coupé l’herbe sous les pieds de ces derniers.
Mohamed Salem Ould Haiba
source : Le Véridique