
Démenti de la déclaration de Alassane Hamidou Diallo (2118044 – koninkepellitdo@yahoo.fr ,) publié le 30 Décembre 2010 à 14 h 27)
SIDIBE ABOU S’EXPLIQUE
Je ne répondrais pas aux coups de l’âne….
Néanmoins, pour lever toute équivoque, j’apporte un démenti formel à cette déclaration mensongère et diffamatoire, indigne des défenseurs des droits de l’homme qui dénote de leur part une malhonnêteté inqualifiable. En vérité, les propos avancés n’auront pour finalité que de ternir l’image de la communauté à laquelle l’auteur se targue d’appartenir. Quelle honte !
En réalité les véritables auteurs de cette honteuse calomnie sont connus à travers leur style et les idées développés dans la présente déclaration ; (mais donnons au temps le temps de faire la part des choses en les démasquant au grand jour).
C’est là une preuve de la véritable défaite qu’ils viennent d’essuyer en faisant montre de leur faiblesse, se cachant derrière des innocents, de personnages fictifs, de fausses adresses et de faux numéros de téléphone, pour tenter de noyer le poisson dans l’eau, mais peine perdue heureusement !
A supposer que ce soit vrai, n’eût-il pas fallu laver notre linge sale en famille au nom de notre religion, de notre culture et de notre dignité ? Car ce n’est pas contre moi que cette insulte s’adresse mais contre tous les négros, y compris les victimes.
Dans le deuxième paragraphe de sa litanie l’auteur anonyme déclare : ‘’Tous ces comportements sont corroborés par des informations reçues de témoignages des déportés revenants au pays, qui ont allégué que Sidibé Abou, en fonction d’adjoint au Commandant de Compagnie de la gendarmerie de Rosso en 1989, fait partie des négros - mauritaniens trempés dans ces ignobles déguerpis des populations nomades (peuls), c’est dans ce cadre que Dembél Jallo témoigne :
J’étais encore enfant, lors de notre déportation au Sénégal en 1989, j’ai vu Lt Sidibé embarquer des noirs dans des pirogues après avoir dépouillé les femmes de leurs boucles d’oreilles et objets précieux ; j’ai été même témoin où ce négro a déshabillé nu une femme en état de grossesse, comble d’humiliation. Nos troupeaux restés en Mauritanie, le commandement de Sidibé était le dernier en avoir le contrôle. Ceci nous fait dire que Sidibé est un tortionnaire, ce qui justifie sa peur de suivre la demande de justice et de vérité des victimes pour le règlement du Passif Humanitaire. (Fin de citation).
Ce que l’auteur ne savait pas en inventant pareils mensonges, c’est que durant cette sombre période, Lieutenant Abou Sidibé était manu militari déporté lui-même dans son propre pays à Ouad Naqga, une localité située à 50 km à l’Est de la Capitale, Nouakchott. L’auteur et ses acolytes auraient donc mieux fait de faire des vérifications pour mieux peaufiner leur mensonge afin de le rendre plus vraisemblable.
C’était un mardi noir, 1er jour du déclanchement pratique des évènements, je fus dépêché à l’aube à Ouad Naga pour réactualiser les plans de défense de cette localité englobant le site d’Idini, mais en réalité je n’étais pas dupe car il s’agissait d’une détention ferme d’un mois au secret.
Libéré en faveur d’une intervention, je fus muté à la réserve commandement à Nouakchott jusqu’au mois de janvier 1990 où je fus redéployé à Néma. Ainsi donc de cet instant cité par ce sombre personnage, jusqu’à mon arrestation à Néma en novembre 1990, je n’ai jamais servi ni à Rosso particulièrement, ni dans la vallée en général. Mes états signalétiques et de services sont heureusement là pour me disculper.
C’est du faux et usage de faux !
Ce mensonge en flagrance facilement vérifiable rend tous les aspects de la déclaration faux et ne méritent pas de notre part un commentaire.
Ces genres de manœuvres ne surprennent plus personne et ne sont pas étrangers de la part de leurs auteurs car elles proviennent :
- des adversaires du règlement consensuel du Passif Humanitaire ;
- des politiciens véreux totalement déboussolés ;
- et des mécontents qui cherchent à se positionner.
Leur principal objectif est de disloquer le Bureau COVIRE en armant les assemblées générales et en se focalisant sur le passif humanitaire qui accuse un retard dans son règlement.
Je ne peux terminer sans mentionner que je porterais plainte contre ces marionnettes si toutefois elles avaient le courage tant soit peu de sortir de l’ombre, car leur lâcheté les contraint à user de faux noms, de faux numéros de téléphone et utilisent le net où chacun est libre de manger la chair de son proche, sans se dévoiler.
Cette plainte une fois instruite, nous permettra de démasquer ces bandits de grands chemins.
Alors, vivement, je vous invite à vous faire connaître et à sortir de l’ombre, vous soi-disant :
1. Alassane Hamidou Diallo
2. Djiby Diallo
3. Modiba Sall
Affaire à suivre…
source: SY Abou
Covire
Alassane Hamidou Diallo avait écrit Le dessous de cartes..
SIDIBE ABOU S’EXPLIQUE
Je ne répondrais pas aux coups de l’âne….
Néanmoins, pour lever toute équivoque, j’apporte un démenti formel à cette déclaration mensongère et diffamatoire, indigne des défenseurs des droits de l’homme qui dénote de leur part une malhonnêteté inqualifiable. En vérité, les propos avancés n’auront pour finalité que de ternir l’image de la communauté à laquelle l’auteur se targue d’appartenir. Quelle honte !
En réalité les véritables auteurs de cette honteuse calomnie sont connus à travers leur style et les idées développés dans la présente déclaration ; (mais donnons au temps le temps de faire la part des choses en les démasquant au grand jour).
C’est là une preuve de la véritable défaite qu’ils viennent d’essuyer en faisant montre de leur faiblesse, se cachant derrière des innocents, de personnages fictifs, de fausses adresses et de faux numéros de téléphone, pour tenter de noyer le poisson dans l’eau, mais peine perdue heureusement !
A supposer que ce soit vrai, n’eût-il pas fallu laver notre linge sale en famille au nom de notre religion, de notre culture et de notre dignité ? Car ce n’est pas contre moi que cette insulte s’adresse mais contre tous les négros, y compris les victimes.
Dans le deuxième paragraphe de sa litanie l’auteur anonyme déclare : ‘’Tous ces comportements sont corroborés par des informations reçues de témoignages des déportés revenants au pays, qui ont allégué que Sidibé Abou, en fonction d’adjoint au Commandant de Compagnie de la gendarmerie de Rosso en 1989, fait partie des négros - mauritaniens trempés dans ces ignobles déguerpis des populations nomades (peuls), c’est dans ce cadre que Dembél Jallo témoigne :
J’étais encore enfant, lors de notre déportation au Sénégal en 1989, j’ai vu Lt Sidibé embarquer des noirs dans des pirogues après avoir dépouillé les femmes de leurs boucles d’oreilles et objets précieux ; j’ai été même témoin où ce négro a déshabillé nu une femme en état de grossesse, comble d’humiliation. Nos troupeaux restés en Mauritanie, le commandement de Sidibé était le dernier en avoir le contrôle. Ceci nous fait dire que Sidibé est un tortionnaire, ce qui justifie sa peur de suivre la demande de justice et de vérité des victimes pour le règlement du Passif Humanitaire. (Fin de citation).
Ce que l’auteur ne savait pas en inventant pareils mensonges, c’est que durant cette sombre période, Lieutenant Abou Sidibé était manu militari déporté lui-même dans son propre pays à Ouad Naqga, une localité située à 50 km à l’Est de la Capitale, Nouakchott. L’auteur et ses acolytes auraient donc mieux fait de faire des vérifications pour mieux peaufiner leur mensonge afin de le rendre plus vraisemblable.
C’était un mardi noir, 1er jour du déclanchement pratique des évènements, je fus dépêché à l’aube à Ouad Naga pour réactualiser les plans de défense de cette localité englobant le site d’Idini, mais en réalité je n’étais pas dupe car il s’agissait d’une détention ferme d’un mois au secret.
Libéré en faveur d’une intervention, je fus muté à la réserve commandement à Nouakchott jusqu’au mois de janvier 1990 où je fus redéployé à Néma. Ainsi donc de cet instant cité par ce sombre personnage, jusqu’à mon arrestation à Néma en novembre 1990, je n’ai jamais servi ni à Rosso particulièrement, ni dans la vallée en général. Mes états signalétiques et de services sont heureusement là pour me disculper.
C’est du faux et usage de faux !
Ce mensonge en flagrance facilement vérifiable rend tous les aspects de la déclaration faux et ne méritent pas de notre part un commentaire.
Ces genres de manœuvres ne surprennent plus personne et ne sont pas étrangers de la part de leurs auteurs car elles proviennent :
- des adversaires du règlement consensuel du Passif Humanitaire ;
- des politiciens véreux totalement déboussolés ;
- et des mécontents qui cherchent à se positionner.
Leur principal objectif est de disloquer le Bureau COVIRE en armant les assemblées générales et en se focalisant sur le passif humanitaire qui accuse un retard dans son règlement.
Je ne peux terminer sans mentionner que je porterais plainte contre ces marionnettes si toutefois elles avaient le courage tant soit peu de sortir de l’ombre, car leur lâcheté les contraint à user de faux noms, de faux numéros de téléphone et utilisent le net où chacun est libre de manger la chair de son proche, sans se dévoiler.
Cette plainte une fois instruite, nous permettra de démasquer ces bandits de grands chemins.
Alors, vivement, je vous invite à vous faire connaître et à sortir de l’ombre, vous soi-disant :
1. Alassane Hamidou Diallo
2. Djiby Diallo
3. Modiba Sall
Affaire à suivre…
source: SY Abou
Covire
Alassane Hamidou Diallo avait écrit Le dessous de cartes..