
Une association de journalistes mauritaniens, le Rassemblement de la presse mauritanienne (RPM), a organisé, mercredi, un sit-in devant la représentation des Nations unies à Nouakchott, en guise de protestation contre l'agression et les massacres perpétrés par l'armée israélienne dans la Bande de Gaza, en Palestine.
Plusieurs dizaines de journalistes de la presse publique et privée ont participé à la manifestation au cours de laquelle le Secrétaire général de la RPM, Ahmed Ould Cheikh, a réclamé une rupture "immédiate et sans conditions" des relations diplomatiques entre la Mauritanie et Israël en signe de rejet "d'une politique barbare d'occupation et de spoliation de la part de l'entité sioniste".
Un autre manifestant, Ba Adama Moussa, a dénoncé, pour sa part, "le paradoxe de la politique des Nations unies, adeptes d'une démarche de deux poids, deux mesures, qui acceptent une action d'Israël fondée sur la violence et la brutalité, tout en rejetant les coups d'Etat en Afrique, même si les présidents renversés mènent leurs pays à la dérive, comme le cas de la Mauritanie".
Il a qualifié d'"inacceptable" le silence de l'ONU face au massacre des enfants et des femmes de Gaza.
Pana
Plusieurs dizaines de journalistes de la presse publique et privée ont participé à la manifestation au cours de laquelle le Secrétaire général de la RPM, Ahmed Ould Cheikh, a réclamé une rupture "immédiate et sans conditions" des relations diplomatiques entre la Mauritanie et Israël en signe de rejet "d'une politique barbare d'occupation et de spoliation de la part de l'entité sioniste".
Un autre manifestant, Ba Adama Moussa, a dénoncé, pour sa part, "le paradoxe de la politique des Nations unies, adeptes d'une démarche de deux poids, deux mesures, qui acceptent une action d'Israël fondée sur la violence et la brutalité, tout en rejetant les coups d'Etat en Afrique, même si les présidents renversés mènent leurs pays à la dérive, comme le cas de la Mauritanie".
Il a qualifié d'"inacceptable" le silence de l'ONU face au massacre des enfants et des femmes de Gaza.
Pana