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Le musicien sénégalais Baaba Maal, invité au sommet mondial sur les changements climatiques prévu du 7 au 18 décembre prochain à Copenhague, au Danemark, a déclaré au cours d'un entretien avec la PANA, qu'il entendait mettre l'accent, à cette occasion, sur les conséquences du réchauffement planétaire pour l'Afrique.
"Mon discours à cette rencontre sera de souligner que les plus grandes victimes de ce fléau se trouvent sur le continent africain. Ce sont surtout les Peulhs qui, depuis des siècles, vont à la recherche de pâturages pour nourrir leur cheptel. Leur vie est rythmée par la succession des saisons", a indiqué l'artiste Baaba Maal (lui même Peulh) lors de l'entretien accordé dimanche soir à la PANA.
"Du Niger au Cameroun, en passant par le Sénégal, le Mali, etc, les Peulhs sont les plus grandes victimes de ce fléau. Nous avons notre mot à dire, car nous ne sommes pas responsables de ce réchauffement planétaire dont nous subissons les plus grandes conséquences", a-t-il ajouté.
Nommé Emissaire du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) pour la jeunesse en 2004, Baaba Maal a indiqué par ailleurs, que pour atteindre les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD), "l'Afrique doit miser sur deux choses", à savoir : l'accès à la technologie et l'éducation.
La production de son nouvel album international intitulé "Télévision" entre dans le cadre de la promotion des OMD, a-t-il expliqué.
Source: PANA
"Mon discours à cette rencontre sera de souligner que les plus grandes victimes de ce fléau se trouvent sur le continent africain. Ce sont surtout les Peulhs qui, depuis des siècles, vont à la recherche de pâturages pour nourrir leur cheptel. Leur vie est rythmée par la succession des saisons", a indiqué l'artiste Baaba Maal (lui même Peulh) lors de l'entretien accordé dimanche soir à la PANA.
"Du Niger au Cameroun, en passant par le Sénégal, le Mali, etc, les Peulhs sont les plus grandes victimes de ce fléau. Nous avons notre mot à dire, car nous ne sommes pas responsables de ce réchauffement planétaire dont nous subissons les plus grandes conséquences", a-t-il ajouté.
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Source: PANA
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