
Le marché des transferts d’argents est en plein essor et les montants envoyés au Sénégal sont aujourd’hui une grande source de revenus pour la population du pays. Dans le secteur formel il existe en France et en Europe en général quatre opérateurs de mandants de transferts d’argents internationaux : western union, money gram, money express et la poste.
Aujourd’hui, le secteur informel appelé « fax » dépasse largement les quatre opérateurs connus dans les transferts d’argents. Les sénégalais de l’extérieur utilisent couramment ce canal qu’ils disent moins coûteux et plus rapides pour envoyer à leurs familles de l’argent.
Le « fax » dont la transaction est simplifiée mais non sécurisée se fait comme suit : l’expéditeur se présente dans un foyer avec le montant à envoyer moyennant une commission de 5 à 10 euros selon les montants à expédier, l’expéditeur donne le nom du destinataire au pays et les coordonnées téléphoniques .Aussitôt la personne est mis au courant par un simple coup de file le destinataire se pointe au lieu du représentant du « fax » pour retirer l’argent. Ce marché très juteux est utilisé aujourd’hui par 50 pour cent des sénégalais de l’extérieur mais surtout dans les foyers en France. Ce système de transferts est plus utilisé par les ressortissant de Tambacounda et du Fouta et se développement de partout dans le monde ou se trouve les immigrés sénégalais. Dakar et Louga aussi sont touchés par ce fléau malgré la proximité des bureaux de poste.
Que faire pour arrêter ce phénomène qui tue la poste et l’économie sénégalaise ?
Le village des ressortissants de Ndoulmadji Dembé en France a mis des garde-fous au sein de leur association pour combattre ce système cela a permis de faire vivre leur bureau de poste.
Aucun ressortissant du village de Ndoulmadji Dembé n’ose envoyer de l’argent par le fameux « fax » au niveau de leur village ni des villages environs, des sanctions sévères sont prévues dans les lois de leur association. Un exemple à suivre pour toutes les associations villageoises basées à l’extérieur pour le développement du Sénégal. La poste sénégalaise doit impérativement créer des points de transactions au niveau des villages reculés et très distants des bureaux de poste. Mais aussi faire des enquêtes au niveau des immigrés en collaboration avec le ministère des sénégalais de l’extérieur et les mouvements associatifs pour pallier ce système abusif que profitent individuellement certaines personnes sans payer les taxes et qui s’enrichissent au dos des sénégalais……..
Mamadou LY
Aujourd’hui, le secteur informel appelé « fax » dépasse largement les quatre opérateurs connus dans les transferts d’argents. Les sénégalais de l’extérieur utilisent couramment ce canal qu’ils disent moins coûteux et plus rapides pour envoyer à leurs familles de l’argent.
Le « fax » dont la transaction est simplifiée mais non sécurisée se fait comme suit : l’expéditeur se présente dans un foyer avec le montant à envoyer moyennant une commission de 5 à 10 euros selon les montants à expédier, l’expéditeur donne le nom du destinataire au pays et les coordonnées téléphoniques .Aussitôt la personne est mis au courant par un simple coup de file le destinataire se pointe au lieu du représentant du « fax » pour retirer l’argent. Ce marché très juteux est utilisé aujourd’hui par 50 pour cent des sénégalais de l’extérieur mais surtout dans les foyers en France. Ce système de transferts est plus utilisé par les ressortissant de Tambacounda et du Fouta et se développement de partout dans le monde ou se trouve les immigrés sénégalais. Dakar et Louga aussi sont touchés par ce fléau malgré la proximité des bureaux de poste.
Que faire pour arrêter ce phénomène qui tue la poste et l’économie sénégalaise ?
Le village des ressortissants de Ndoulmadji Dembé en France a mis des garde-fous au sein de leur association pour combattre ce système cela a permis de faire vivre leur bureau de poste.
Aucun ressortissant du village de Ndoulmadji Dembé n’ose envoyer de l’argent par le fameux « fax » au niveau de leur village ni des villages environs, des sanctions sévères sont prévues dans les lois de leur association. Un exemple à suivre pour toutes les associations villageoises basées à l’extérieur pour le développement du Sénégal. La poste sénégalaise doit impérativement créer des points de transactions au niveau des villages reculés et très distants des bureaux de poste. Mais aussi faire des enquêtes au niveau des immigrés en collaboration avec le ministère des sénégalais de l’extérieur et les mouvements associatifs pour pallier ce système abusif que profitent individuellement certaines personnes sans payer les taxes et qui s’enrichissent au dos des sénégalais……..
Mamadou LY