
À peine que je termine de donner respectueusement mon point de vue sur l’interview de Samba THIAM, président des FLAM, que j’apprécie d’ailleurs énormément pour avoir allumé la flamme pendant de nombreuse années, quelques irresponsables sans maturité politique, ni le sens du respect l’opinion des autres se sont irrité violement derrière des pseudos anonymes, signe de faiblesse et de mesquinerie.
Un certain flamiste a réagit avec, non sans aucun respect, sans aucune qualité humaine, pour contredire les vérités inébranlables, évidentes et dérangeantes que j’ai livré. J’ai envie de faire comprendre à ce Flamiste que j’ai le droit de donner mon point de vue sur n’importe quelle question et je l’ai fait avec élégance et dans les règles de l’art. Sans attaquer personne. Car ce ne sont pas les personnes qui m’intéressent mais les idées, l’échange. C’est tout simplement ma contribution dans le débat (forum) politique de mon pays qui intéresse les lecteurs passionnés et pensifs qui jugent quotidiennement et objectivement les intervenants intéressés dans un cadre respect réciproque. Il n’est pas nécessaire d’être cartésien pour comprendre que «le bon sens est la chose du monde la mieux partagée». Aucune loi ne m’oblige à penser de la même manière que les autres. Et surtout quand les autres pensent mal.
Entre 2004 et 2006, j’ai écrit beaucoup pour soutenir les FLAM, mais maintenant, ma conscience ne me permet plus. Car la situation politique actuelle ne me laisse pas reconnaitre dans le programme des FLAM. Je me suis évolué pour adhérer et militer dans des formations politiques beaucoup plus avancées en termes d’idéologie, de stratégie et réalisations politiques. D’ailleurs, je ne suis pas le seul. Tous les fondateurs et premiers militants de ce mouvement radical ont émigrés vers des formations politiques utiles et légitimes, pour opérer sur le terrain. Tous ont abandonné les idées rétrogrades minées de toutes sortes de barrières et de cortèges de malheurs qui freinent le zèle et la raison, qui devraient nous fournir de phare pour discerner entre le bien et le mal et d’agir en conséquence.
Je ne suis pas un jeune militant mais certes un militant d’AJD/MR. Mais pas n’importe quel militant car je ne discute pas avec n’importe qui. j’évite les sales gueules. J’ai erreur d’utiliser le «je» mais les circonstances du moment me l’obligent. Si être FLAMISTE veut dire revendiquer son droit légitime et correctement en Mauritanie, je suis flamiste tel que l’ont fait les grands hommes qui ont été et sont toujours utiles à mon peuple.
À l’inverse si être flamiste veut dire critiquer pour critiquer, dénigrer les autres sans raisons, je suis pour que ce flamiste soit chassé de la Mauritanie, car les mauritaniens sont démocrates et respectueux par nature. Exception faite aux dictateurs chassés. Je n’utiliserai pas vos mots car mon éducation ne me le permet pas. Mon code social et moral m’interdit de dire des gros mots. Je suis poli et je déteste l’impoli. Ma réponse est simplement de dire que « So mbabba fetiima a fettitima on poti». Je veux tout simplement être un participant au débat constructif, le tout dans un cadre d’esprit tolérance et de respect mutuel. J’ai peur du négativisme. Rien n’est aussi triste et cinique que d’écrire sous l’anonymat en refusant de dévoiler sa face, comme si on nier son existence. Autant dire du bien sur les autres et garder de bons rapports avec ses frères plutôt que de les cuisiner et se faire un ennemi de plus.
Nous les peulhs de la Mauritanie, nous avons coutume de dire «fewju ko mbawda saa leliima danoda». Il est possible de faire un débat constructif sans manquer du respect à quiconque que ce soit. Je comprends que les FLAM avaient obtenu la promesse de SIDIOCA pour revenir en Mauritanie en mars 2009, malheureusement pour vous il est chassé avant l’échéance. C’est Aziz qui l’a renversé pas moi.
Ne me prenez pas pour cible, ni pour proie car je suis un lecteur qui réagit.
Ibrahima THIAM
thiam2_ibra@yahoo.fr
Un certain flamiste a réagit avec, non sans aucun respect, sans aucune qualité humaine, pour contredire les vérités inébranlables, évidentes et dérangeantes que j’ai livré. J’ai envie de faire comprendre à ce Flamiste que j’ai le droit de donner mon point de vue sur n’importe quelle question et je l’ai fait avec élégance et dans les règles de l’art. Sans attaquer personne. Car ce ne sont pas les personnes qui m’intéressent mais les idées, l’échange. C’est tout simplement ma contribution dans le débat (forum) politique de mon pays qui intéresse les lecteurs passionnés et pensifs qui jugent quotidiennement et objectivement les intervenants intéressés dans un cadre respect réciproque. Il n’est pas nécessaire d’être cartésien pour comprendre que «le bon sens est la chose du monde la mieux partagée». Aucune loi ne m’oblige à penser de la même manière que les autres. Et surtout quand les autres pensent mal.
Entre 2004 et 2006, j’ai écrit beaucoup pour soutenir les FLAM, mais maintenant, ma conscience ne me permet plus. Car la situation politique actuelle ne me laisse pas reconnaitre dans le programme des FLAM. Je me suis évolué pour adhérer et militer dans des formations politiques beaucoup plus avancées en termes d’idéologie, de stratégie et réalisations politiques. D’ailleurs, je ne suis pas le seul. Tous les fondateurs et premiers militants de ce mouvement radical ont émigrés vers des formations politiques utiles et légitimes, pour opérer sur le terrain. Tous ont abandonné les idées rétrogrades minées de toutes sortes de barrières et de cortèges de malheurs qui freinent le zèle et la raison, qui devraient nous fournir de phare pour discerner entre le bien et le mal et d’agir en conséquence.
Je ne suis pas un jeune militant mais certes un militant d’AJD/MR. Mais pas n’importe quel militant car je ne discute pas avec n’importe qui. j’évite les sales gueules. J’ai erreur d’utiliser le «je» mais les circonstances du moment me l’obligent. Si être FLAMISTE veut dire revendiquer son droit légitime et correctement en Mauritanie, je suis flamiste tel que l’ont fait les grands hommes qui ont été et sont toujours utiles à mon peuple.
À l’inverse si être flamiste veut dire critiquer pour critiquer, dénigrer les autres sans raisons, je suis pour que ce flamiste soit chassé de la Mauritanie, car les mauritaniens sont démocrates et respectueux par nature. Exception faite aux dictateurs chassés. Je n’utiliserai pas vos mots car mon éducation ne me le permet pas. Mon code social et moral m’interdit de dire des gros mots. Je suis poli et je déteste l’impoli. Ma réponse est simplement de dire que « So mbabba fetiima a fettitima on poti». Je veux tout simplement être un participant au débat constructif, le tout dans un cadre d’esprit tolérance et de respect mutuel. J’ai peur du négativisme. Rien n’est aussi triste et cinique que d’écrire sous l’anonymat en refusant de dévoiler sa face, comme si on nier son existence. Autant dire du bien sur les autres et garder de bons rapports avec ses frères plutôt que de les cuisiner et se faire un ennemi de plus.
Nous les peulhs de la Mauritanie, nous avons coutume de dire «fewju ko mbawda saa leliima danoda». Il est possible de faire un débat constructif sans manquer du respect à quiconque que ce soit. Je comprends que les FLAM avaient obtenu la promesse de SIDIOCA pour revenir en Mauritanie en mars 2009, malheureusement pour vous il est chassé avant l’échéance. C’est Aziz qui l’a renversé pas moi.
Ne me prenez pas pour cible, ni pour proie car je suis un lecteur qui réagit.
Ibrahima THIAM
thiam2_ibra@yahoo.fr