
J’ai lu votre courrier réponse à Hénoune , dans le C.R.I.D.E.M en date du 13/ 08/ 2010. De véritables inepties et incohérences à la mesure de votre parcours intellectuel.
Ce vocable ne vous sied pas, d’ailleurs, quand on sait que cet itinéraire est plutôt marqué par des stages de courte durée. A vrai dire, vous n’êtes qu’un autodidacte qui se nourrit de complexes, pressé de liquider par des moyens ignobles tous ceux qui venaient à découvrir vos fourberies. Incarnation du diable, vous voyez et semez le mal partout. Le dernier en date, la trahison que vous avez infligée à ADIL et à son chef. Oui le ridicule ne tue pas, heureusement pour vous.
Il est un fait établi et un secret de polichinelle qu’un homme comme vous ne peut incarner un quelconque idéal. Et ce, d’autant plus que la classe politique ne vous connait aucun projet de société digne d’un intellectuel élevé par ses visions et ses analyses conceptuelles qui ne souffrent d’aucune ambigüité.
Au lieu de cela, l’homme aux milles mensonges et reniements se complait dans des polémiques de basse facture, se distingue dans le faux et l’usage de faux, souffre d’un complexe congénital. Boydiel Ould Houmeid est tombé des nues, mais Bodiel Fall n’est pas tombé du ciel.
Ils sont nombreux ceux qui peuvent encore témoigner de votre passé récent et contester les grossièretés de votre cursus.
1- Boydiel amnésique et mégalomane
Il est une certitude pour l’opinion publique mauritanienne que Boydiel est mégalomane mais, de là à être amnésique de circonstance, il est à un paradoxe près. Il y’a des pas qu’on ne peut franchir impunément.
Contrairement aux prétentions contenues dans sa biographie publiée par Horizon N°4732 du 12 Mai 2008 et où il prétendait faire ses études supérieures à l’Ecole Nationale d’Administration de Paris ( ENA) et avoir été ministre des finances deux fois, Boydiel se rappelle soudainement qu’il s’était trompé. Au lieu de l’ENA, dans sa réponse à Hénoune (sa mauvaise conscience, désormais), il retrouve la bonne adresse. Il s’agit de l’Ecole Nationale des services du trésor qui forme pour 11 mois dont 3 de stage pratique.
Pour rappel Boydiel a été le seul mauritanien à être repêché à sa sortie de l’ENST. Le seul à ne pas pouvoir tenir à la rigueur de vraies études. Et il est de la promotion 1985-1986 et non de celle de 1983, comme il le prétend encore. Boydiel n’est pas et ne veut pas être comptable ? D’accord ! mais peut-il nier qu’à sa sortie de l’Ecole Nationale d’Administration de Nouakchott en 1973, avec comme rang : 13e / 16 de la promotion des contrôleurs du trésor suivant arrêté N° 517 du 25/ 09 / 73 portant classement général des élèves de 2e année et leur recrutement , il a servi comme comptable à l’Office National du cinéma ( ONC) avec comme Directeur Mohamed Ould Babeta (encore vivant), à l’Institut Pédagogique National ( IPN), au Ministère de l’Education National etc.
En outre parmi les promotionnaires de Boydiel, certains sont devenus inspecteurs puis administrateurs avant lui ( Deidya Ould Adawa, Ba Houdou Abdoul, Abdoulaye Samba Aly, Bocoum Oumar, d’autres sont restés inspecteurs (Dièye Abou, Thioub Abdel Kader, Ahmed Salem Jules, Mohamed Fall Ould Sidi) et contrôleurs le restant. Et neuf (9) de ces cadres sont encore vivants. Mais Boydiel se moque de qui ? Pense-t-il raconter une légende à ses petits fils en leur faisant croire, qu’il est né sans témoin et qu’il a fait ses études seul sans promotionnaires… ?
Dommage pour vous Mr Boydiel que les archives de la fonction publique n’aient pas disparu lors des évènements de 1989 que vous avez souhaités, recherchés et entretenus sans masque. N’eut été votre statut de collaborationniste, toujours enclin à la compromission, vous seriez à la retraire depuis 2008 et non en 2010. Faux jusqu’à la moelle, vous aviez réactivé vos réseaux clientélistes et népotistes en brandissant l’épouvantail. De grâce Boydiel , rendez vous à l’évidence que vous n’êtes plus que l’ombre de vous-même. Votre cuisante défaite pendant les législatives passées en dit long ou là encore, Mohamed Ould Boilil votre adversaire avait-il gagné grâce à votre soutien ? Retirez vous de la politique ; ce serait un grand service, pour une fois, rendu à la nation.
2-Une carrière politique marquée par la délation, l’excès de zèle et la négation de sa propre identité
En attendant, arrêter de chercher à vous redorer le blason, à laver votre conscience en vous appropriant le combat EL HOR et la cause harratine. Ne dites vous pas : « je fais partie des dirigeants du mouvement EL HOR qui le plus donné pour cette cause ; j’ai été emprisonné et jugé au célèbre procès de Rosso, j’ai été le seul dirigeant du mouvement à être arrêté en 1980 et incarcéré dans les locaux des sapeurs pompiers, suite à une manifestation à Teyarett qui dénonçait un cas d’esclavage ».
Ces propos valent ce qu’ils valent, ils attestent que vous parlez si fort quez personne ne croit à ce que vous dites. Aussi, votre mégalomanie vous pousse à nier l’apport des autres, pourtant plus populaires et plus honnêtes que vous ( Messoud Ould Boulkheir, Ahmed Salem Ould Samba, Sidi Ould Messoud, Elkehel Ould Mohamed Abd, Achour Ould Samba, Sghair Ould M’bareck pour ne parler que de la vieille garde.
Quant à la nouvelle garde, ce n’est un secret pour personne. Ils sont connus des mauritaniens en général, et de la classe politique nationale, en particulier. Ceux-ci et ceux-là ne disent pas : « j’ai fait partie…, j’ai été emprisonné ». Comme l’a si bien dit l’autre : « le tigre ne proclame pas sa tigritude, il bondit sur sa proie ».
Ceux-ci et ceux-là ne sont nullement complexés comme vous, près à brader toute une communauté pour place de sinécure.
N’est-ce pas cela qui explique votre compromission à toutes les situations, qui vous conférait la toute puissance ? Celle par laquelle vous déportiez ou empêchiez de déporter des mauritaniens avérés ou non, comme vous le dites, Honte à une telle mission et honte à ceux qui font de la politique dans le dos de leurs frères haratines et dans la division des mauritaniens.
Bilal
Source: Bilal
Ce vocable ne vous sied pas, d’ailleurs, quand on sait que cet itinéraire est plutôt marqué par des stages de courte durée. A vrai dire, vous n’êtes qu’un autodidacte qui se nourrit de complexes, pressé de liquider par des moyens ignobles tous ceux qui venaient à découvrir vos fourberies. Incarnation du diable, vous voyez et semez le mal partout. Le dernier en date, la trahison que vous avez infligée à ADIL et à son chef. Oui le ridicule ne tue pas, heureusement pour vous.
Il est un fait établi et un secret de polichinelle qu’un homme comme vous ne peut incarner un quelconque idéal. Et ce, d’autant plus que la classe politique ne vous connait aucun projet de société digne d’un intellectuel élevé par ses visions et ses analyses conceptuelles qui ne souffrent d’aucune ambigüité.
Au lieu de cela, l’homme aux milles mensonges et reniements se complait dans des polémiques de basse facture, se distingue dans le faux et l’usage de faux, souffre d’un complexe congénital. Boydiel Ould Houmeid est tombé des nues, mais Bodiel Fall n’est pas tombé du ciel.
Ils sont nombreux ceux qui peuvent encore témoigner de votre passé récent et contester les grossièretés de votre cursus.
1- Boydiel amnésique et mégalomane
Il est une certitude pour l’opinion publique mauritanienne que Boydiel est mégalomane mais, de là à être amnésique de circonstance, il est à un paradoxe près. Il y’a des pas qu’on ne peut franchir impunément.
Contrairement aux prétentions contenues dans sa biographie publiée par Horizon N°4732 du 12 Mai 2008 et où il prétendait faire ses études supérieures à l’Ecole Nationale d’Administration de Paris ( ENA) et avoir été ministre des finances deux fois, Boydiel se rappelle soudainement qu’il s’était trompé. Au lieu de l’ENA, dans sa réponse à Hénoune (sa mauvaise conscience, désormais), il retrouve la bonne adresse. Il s’agit de l’Ecole Nationale des services du trésor qui forme pour 11 mois dont 3 de stage pratique.
Pour rappel Boydiel a été le seul mauritanien à être repêché à sa sortie de l’ENST. Le seul à ne pas pouvoir tenir à la rigueur de vraies études. Et il est de la promotion 1985-1986 et non de celle de 1983, comme il le prétend encore. Boydiel n’est pas et ne veut pas être comptable ? D’accord ! mais peut-il nier qu’à sa sortie de l’Ecole Nationale d’Administration de Nouakchott en 1973, avec comme rang : 13e / 16 de la promotion des contrôleurs du trésor suivant arrêté N° 517 du 25/ 09 / 73 portant classement général des élèves de 2e année et leur recrutement , il a servi comme comptable à l’Office National du cinéma ( ONC) avec comme Directeur Mohamed Ould Babeta (encore vivant), à l’Institut Pédagogique National ( IPN), au Ministère de l’Education National etc.
En outre parmi les promotionnaires de Boydiel, certains sont devenus inspecteurs puis administrateurs avant lui ( Deidya Ould Adawa, Ba Houdou Abdoul, Abdoulaye Samba Aly, Bocoum Oumar, d’autres sont restés inspecteurs (Dièye Abou, Thioub Abdel Kader, Ahmed Salem Jules, Mohamed Fall Ould Sidi) et contrôleurs le restant. Et neuf (9) de ces cadres sont encore vivants. Mais Boydiel se moque de qui ? Pense-t-il raconter une légende à ses petits fils en leur faisant croire, qu’il est né sans témoin et qu’il a fait ses études seul sans promotionnaires… ?
Dommage pour vous Mr Boydiel que les archives de la fonction publique n’aient pas disparu lors des évènements de 1989 que vous avez souhaités, recherchés et entretenus sans masque. N’eut été votre statut de collaborationniste, toujours enclin à la compromission, vous seriez à la retraire depuis 2008 et non en 2010. Faux jusqu’à la moelle, vous aviez réactivé vos réseaux clientélistes et népotistes en brandissant l’épouvantail. De grâce Boydiel , rendez vous à l’évidence que vous n’êtes plus que l’ombre de vous-même. Votre cuisante défaite pendant les législatives passées en dit long ou là encore, Mohamed Ould Boilil votre adversaire avait-il gagné grâce à votre soutien ? Retirez vous de la politique ; ce serait un grand service, pour une fois, rendu à la nation.
2-Une carrière politique marquée par la délation, l’excès de zèle et la négation de sa propre identité
En attendant, arrêter de chercher à vous redorer le blason, à laver votre conscience en vous appropriant le combat EL HOR et la cause harratine. Ne dites vous pas : « je fais partie des dirigeants du mouvement EL HOR qui le plus donné pour cette cause ; j’ai été emprisonné et jugé au célèbre procès de Rosso, j’ai été le seul dirigeant du mouvement à être arrêté en 1980 et incarcéré dans les locaux des sapeurs pompiers, suite à une manifestation à Teyarett qui dénonçait un cas d’esclavage ».
Ces propos valent ce qu’ils valent, ils attestent que vous parlez si fort quez personne ne croit à ce que vous dites. Aussi, votre mégalomanie vous pousse à nier l’apport des autres, pourtant plus populaires et plus honnêtes que vous ( Messoud Ould Boulkheir, Ahmed Salem Ould Samba, Sidi Ould Messoud, Elkehel Ould Mohamed Abd, Achour Ould Samba, Sghair Ould M’bareck pour ne parler que de la vieille garde.
Quant à la nouvelle garde, ce n’est un secret pour personne. Ils sont connus des mauritaniens en général, et de la classe politique nationale, en particulier. Ceux-ci et ceux-là ne disent pas : « j’ai fait partie…, j’ai été emprisonné ». Comme l’a si bien dit l’autre : « le tigre ne proclame pas sa tigritude, il bondit sur sa proie ».
Ceux-ci et ceux-là ne sont nullement complexés comme vous, près à brader toute une communauté pour place de sinécure.
N’est-ce pas cela qui explique votre compromission à toutes les situations, qui vous conférait la toute puissance ? Celle par laquelle vous déportiez ou empêchiez de déporter des mauritaniens avérés ou non, comme vous le dites, Honte à une telle mission et honte à ceux qui font de la politique dans le dos de leurs frères haratines et dans la division des mauritaniens.
Bilal
Source: Bilal