Depuis la sortie de leur cassette qui est, un véritable succès musical, les talentueux musiciens de DIAM MIN TEKKY sont devenus la cible des autorités. La vente de leur cassette a été interdite et les jeunes mélomanes sont pourchassés pour avoir acheté les produits de DIAM MIN TEKKY.
Du coté des fans et de la famille des artistes on garde le sang froid même si on s’inquiète pour la vie de l’un des artistes qui se trouve en ce moment a Kaédi, dans le Sud de la Mauritanie ou le dernier produit de DIAM MIN TEKKY continue a faire des ravages.
Aux Etats-Unis, les organisations de défenses des Droits Humains s’activent pour que le droit des chanteurs à s’exprimer librement soit entièrement respecté par les autorités de Nouakchott.
L’Organisation pour la Démocratie et la Justice en Afrique de l’Ouest (Organization for Democracy and Justice in West Africa) s’est saisie du dossier et a alerte toutes les organisations des droits humains sur les menaces qui pesent sur les jeunes chanteurs Negro-Mauritaniens Selon le Secrétaire General de cette organisation, Monsieur Saihou Mballo : « le charge des questions des droits humains de notre organisation a téléphoné l’Ambassade de la Mauritanie qui est a Washington, DC pour prendre les nouvelles des jeunes artistes, mais un certain M. Afmed Jaffar nous a dit tout simplement qu’il n’est pas encore au fait de la situation. Cependant, notre organisation s’inquiète de l’Etat de la liberté d’expression dans ce pays. »
Du coté des ressortissants de la Mauritanie à New York, on déplore la situation et on remet en cause les avancées démocratiques en Mauritanie.
Pour le leader du comité Mauritanien pour la défense des Droits de l’Homme, Mansour Kane, « c’est toute la communauté qui est ainsi attaquée. Ces jeunes musiciens disent haut et fort ce que tout le monde en Mauritanie pense. Il faut se mobiliser pour qu’ils puissent vendre leur cassette en paix. »
Abda Wone
Journaliste
+1 631 428 7524
Du coté des fans et de la famille des artistes on garde le sang froid même si on s’inquiète pour la vie de l’un des artistes qui se trouve en ce moment a Kaédi, dans le Sud de la Mauritanie ou le dernier produit de DIAM MIN TEKKY continue a faire des ravages.
Aux Etats-Unis, les organisations de défenses des Droits Humains s’activent pour que le droit des chanteurs à s’exprimer librement soit entièrement respecté par les autorités de Nouakchott.
L’Organisation pour la Démocratie et la Justice en Afrique de l’Ouest (Organization for Democracy and Justice in West Africa) s’est saisie du dossier et a alerte toutes les organisations des droits humains sur les menaces qui pesent sur les jeunes chanteurs Negro-Mauritaniens Selon le Secrétaire General de cette organisation, Monsieur Saihou Mballo : « le charge des questions des droits humains de notre organisation a téléphoné l’Ambassade de la Mauritanie qui est a Washington, DC pour prendre les nouvelles des jeunes artistes, mais un certain M. Afmed Jaffar nous a dit tout simplement qu’il n’est pas encore au fait de la situation. Cependant, notre organisation s’inquiète de l’Etat de la liberté d’expression dans ce pays. »
Du coté des ressortissants de la Mauritanie à New York, on déplore la situation et on remet en cause les avancées démocratiques en Mauritanie.
Pour le leader du comité Mauritanien pour la défense des Droits de l’Homme, Mansour Kane, « c’est toute la communauté qui est ainsi attaquée. Ces jeunes musiciens disent haut et fort ce que tout le monde en Mauritanie pense. Il faut se mobiliser pour qu’ils puissent vendre leur cassette en paix. »
Abda Wone
Journaliste
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