
L'Assemblée Nationale de Mauritanie a examiné et adopté, à une large majorité, la loi portant libéralisation de l'espace audiovisuel, dans la nuit du jeudi au vendredi, a appris Sahara Médias de sources parlementaires.
Massivement présents au cours des débats (environ 70 élus), les membres de la chambre basse du parlement ont également été nombreux à prendre la parole. Ce qui dénote de l'importance du sujet, relèvent les observateurs.
Tous les députés de la majorité et ceux du Pacte National pour la Démocratie et le Développement (PNDD-ADIL) ont voté en faveur du texte. Ainsi, les opérateurs privés mauritaniens auront bientôt accès à l'espace audiovisuel avec l'opportunité de créer des entreprises disposant de la propriété de chaînes de radios et télévisions.
Adoptée par le gouvernement en octobre 2006, sous le règne du Conseil Militaire pour la Justice et la Démocratie (transition CMJD), cette loi a connu un important retard avant la mise en chantier du processus d'adoption par le parlement.
La libéralisation de l'espace audiovisuel en vue de son ouverture aux opérateurs privés figure en bonne place parmi les engagements du gouvernement auprès de l'Union Européenne (UE), premier partenaire au développement du pays, dans le cadre décaissements du 10éme FED, notent les observateurs.
Un autre engagement concerne la transformation des médias d'état en service public ouvert à toute la société (classe politique et société civile).
Source : Sahara Medias
via cridem.org
Massivement présents au cours des débats (environ 70 élus), les membres de la chambre basse du parlement ont également été nombreux à prendre la parole. Ce qui dénote de l'importance du sujet, relèvent les observateurs.
Tous les députés de la majorité et ceux du Pacte National pour la Démocratie et le Développement (PNDD-ADIL) ont voté en faveur du texte. Ainsi, les opérateurs privés mauritaniens auront bientôt accès à l'espace audiovisuel avec l'opportunité de créer des entreprises disposant de la propriété de chaînes de radios et télévisions.
Adoptée par le gouvernement en octobre 2006, sous le règne du Conseil Militaire pour la Justice et la Démocratie (transition CMJD), cette loi a connu un important retard avant la mise en chantier du processus d'adoption par le parlement.
La libéralisation de l'espace audiovisuel en vue de son ouverture aux opérateurs privés figure en bonne place parmi les engagements du gouvernement auprès de l'Union Européenne (UE), premier partenaire au développement du pays, dans le cadre décaissements du 10éme FED, notent les observateurs.
Un autre engagement concerne la transformation des médias d'état en service public ouvert à toute la société (classe politique et société civile).
Source : Sahara Medias
via cridem.org