
Aux moments où la Junte sévissait contre la liberté de mouvement et de parole du Présidents de la République en lui interdisant l'accès à la Capitale après la fin, sous la pression de la Communauté Internationale, de sa période de résidence surveillée, le Front exposait le cas des prisonniers politiques devant Amnesty International. Une délégation du Front, menée par le Représentant Spécial en France du Président de la République, Monsieur Assane SOUMARE, et composée, en plus de ce dernier, de MM. Sédiba CAMARA, Coordinateur du FNDD-France, Mohamadou Youssef DIAGANA membre dirigeant de FNDD-France et Baba OULD JIDDOU, membre dirigeant de For-Mauritania, a été reçue, hier par Mesdames Janine ESCRIOU et Claude TRAUTTMAN, chargées des Actions de l’Afrique de l’Ouest à AMNESTY INTERNATIONAL, au siège parisien de l'Organisation.
Le Représentant Spécial du Président de la République fit un exposé détaillé de la situation des Droits de l'Homme en Mauritanie. Le contraste entre les 15 mois de gestion démocratique et les six mois de dictature militaire n'a pas été difficile à saisir par l'auditoire. Retour des réfugiés après une large concertation et un discours historique qui situe les responsabilités et reconnait les victimes dans leur statut de victime méritant la compassion et la solidarité de la Nation, criminalisation des pratique de l'esclavage et institution d'un délit spécifique à ces pratiques, liberté étendue de la presse, absence du moindre prisonnier d'opinion, telle sont quelques une des caractéristiques des 15 mois de la gestion du Président élu. Depuis 6 mois, les libertés de manifester et de se réunir sont suspendues, une chasse aux sorcières, sous divers prétextes aussi fallacieux les uns que les autres, emplit les prisons de détenus d'opinion. Depuis le "délit de mensonge" en passant par le très caractéristique des dictature militaire "délit d'atteinte au moral des Armées", la Junte emprisonne à tour de bras.
Monsieur Soumaré évoquera les cas les plus emblématique de la triste période que nous vivons à savoir ceux du Premier Ministre Ould Elwagf, des Ministres Mostapha Ould Hamoud, Moustapha Ould Hamoud, Isselmou Ould Abdel Kader, du Conseiller Sidi Mohamed Ould Biyé, de l'ancien Directeur d'Air Mauritanie Isselmou Ould Khattri et du Capitaine Sidi Ould Deich.
Les deux Responsable des Actions en Afrique de l'Ouest prirent la parole à tour de rôle pour exprimer l'intérêt qui est ce lui de leur organisation au cas de la Mauritanie. Pays complexe qui concentre nombre de contradictions génératrices de tensions en tous genres si elles ne sont pas traitées avec tact et doigté. Ce tact et ce doigté ne peuvent être trouvés en dehors des régimes démocratiques. Elles rappelleront que le Pays avait fait l'objet de deux importants rapports, le premier, sur l'esclavage, est paru en 2002 et le second sur la torture paru le 3 décembre 2008. Elles prirent bonne note des informations transmises et assurent leurs hôtes qu'elles seront utilisées à bon escient.
Il convient de rappeler que le responsable des affaires africaines au sein d'Amnesty International, Monsieur Gaetan MOOTOO, avait rendu visite au Président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahidu temps où il fut assigné à résidence à Lemden.
For-mauritania
Le Représentant Spécial du Président de la République fit un exposé détaillé de la situation des Droits de l'Homme en Mauritanie. Le contraste entre les 15 mois de gestion démocratique et les six mois de dictature militaire n'a pas été difficile à saisir par l'auditoire. Retour des réfugiés après une large concertation et un discours historique qui situe les responsabilités et reconnait les victimes dans leur statut de victime méritant la compassion et la solidarité de la Nation, criminalisation des pratique de l'esclavage et institution d'un délit spécifique à ces pratiques, liberté étendue de la presse, absence du moindre prisonnier d'opinion, telle sont quelques une des caractéristiques des 15 mois de la gestion du Président élu. Depuis 6 mois, les libertés de manifester et de se réunir sont suspendues, une chasse aux sorcières, sous divers prétextes aussi fallacieux les uns que les autres, emplit les prisons de détenus d'opinion. Depuis le "délit de mensonge" en passant par le très caractéristique des dictature militaire "délit d'atteinte au moral des Armées", la Junte emprisonne à tour de bras.
Monsieur Soumaré évoquera les cas les plus emblématique de la triste période que nous vivons à savoir ceux du Premier Ministre Ould Elwagf, des Ministres Mostapha Ould Hamoud, Moustapha Ould Hamoud, Isselmou Ould Abdel Kader, du Conseiller Sidi Mohamed Ould Biyé, de l'ancien Directeur d'Air Mauritanie Isselmou Ould Khattri et du Capitaine Sidi Ould Deich.
Les deux Responsable des Actions en Afrique de l'Ouest prirent la parole à tour de rôle pour exprimer l'intérêt qui est ce lui de leur organisation au cas de la Mauritanie. Pays complexe qui concentre nombre de contradictions génératrices de tensions en tous genres si elles ne sont pas traitées avec tact et doigté. Ce tact et ce doigté ne peuvent être trouvés en dehors des régimes démocratiques. Elles rappelleront que le Pays avait fait l'objet de deux importants rapports, le premier, sur l'esclavage, est paru en 2002 et le second sur la torture paru le 3 décembre 2008. Elles prirent bonne note des informations transmises et assurent leurs hôtes qu'elles seront utilisées à bon escient.
Il convient de rappeler que le responsable des affaires africaines au sein d'Amnesty International, Monsieur Gaetan MOOTOO, avait rendu visite au Président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahidu temps où il fut assigné à résidence à Lemden.
For-mauritania