
Nous aurions alors peut-être encore un AOD vaillant sans acte pris ni autre recyclage de RV, nous aurions alors un Messoud sans sa trahison historique qui le mena vers le candidat des militaires, nous aurions alors mille raisons de mourir peut-être mais rejoindre le concert des peuples grands, des peuples fiers ! Mais Aziz est passé par là, Aziz fit partir le Tyran et il ne toucha pas à son système ; on peut donc dire qu’Aziz nous a volé la révolution.
Les Tayistes, le système qui aujourd’hui veulent sa peau doivent le remercier car sans lui aujourd’hui combien d’hommes d’affaires, qui font les beaux aujourd’hui, seraient encore là ? Je les imagine perdant leur arrogance et leur insolence, perdant ce regard plein d’impunité et de suffisance courant ici et là pour trouver refuge dans un pays voisin. Je ne parle pas de tous les autres mafieux !
Remerciez Aziz de nous avoir volé la révolution !
Aujourd’hui, il nous dit qu’il veut construire ce pays mais il veut le faire seul comme si ce pays était sa propriété ou celle de l’armée. Qu’il se détrompe ! Il n’est assis sur rien ! Le jour où la situation économique sera définitivement pourrie et qu’en face on aura encore droit à la rhétorique de l’ingratitude avec une justice à deux vitesses, une IGE politisée… alors toutes les forces politiques économiques créeront l’atmosphère délétère réclamant sa sortie de route. Alors plus personne ne pourra le garder car le système n’aime pas les tensions. Ses propres amis dont il dit avec fierté ne pas en avoir lui diront de rester là où il sera dans un prochain voyage.
Qui le plaindra alors ici ? Ses soutiens qu’ils méprisent après les avoir utilisés comme des kleenex ? Tu parles ! Qui le plaindra ? Personne ! Car on ne peut pas paraître pingre, ingrat et méchant à la fois. C’est trop surtout quand on n’a jamais rien fait pour mériter tant de biens sinon passer sur le dos d’un mentor ou d’un ami.
Alors nous disons à Aziz : rends-nous les fruits de notre révolution volée, rends-nous les promesses électorales ou bientôt nous aussi nous te dirons sans regret « dégage ! ». Si les forces vives n’ont pas moyens d’affronter les forces militaires, elles auront toujours les moyens d’inviter les militaires à changer de tête pour survivre…
Publié par vlane
Les Tayistes, le système qui aujourd’hui veulent sa peau doivent le remercier car sans lui aujourd’hui combien d’hommes d’affaires, qui font les beaux aujourd’hui, seraient encore là ? Je les imagine perdant leur arrogance et leur insolence, perdant ce regard plein d’impunité et de suffisance courant ici et là pour trouver refuge dans un pays voisin. Je ne parle pas de tous les autres mafieux !
Remerciez Aziz de nous avoir volé la révolution !
Aujourd’hui, il nous dit qu’il veut construire ce pays mais il veut le faire seul comme si ce pays était sa propriété ou celle de l’armée. Qu’il se détrompe ! Il n’est assis sur rien ! Le jour où la situation économique sera définitivement pourrie et qu’en face on aura encore droit à la rhétorique de l’ingratitude avec une justice à deux vitesses, une IGE politisée… alors toutes les forces politiques économiques créeront l’atmosphère délétère réclamant sa sortie de route. Alors plus personne ne pourra le garder car le système n’aime pas les tensions. Ses propres amis dont il dit avec fierté ne pas en avoir lui diront de rester là où il sera dans un prochain voyage.
Qui le plaindra alors ici ? Ses soutiens qu’ils méprisent après les avoir utilisés comme des kleenex ? Tu parles ! Qui le plaindra ? Personne ! Car on ne peut pas paraître pingre, ingrat et méchant à la fois. C’est trop surtout quand on n’a jamais rien fait pour mériter tant de biens sinon passer sur le dos d’un mentor ou d’un ami.
Alors nous disons à Aziz : rends-nous les fruits de notre révolution volée, rends-nous les promesses électorales ou bientôt nous aussi nous te dirons sans regret « dégage ! ». Si les forces vives n’ont pas moyens d’affronter les forces militaires, elles auront toujours les moyens d’inviter les militaires à changer de tête pour survivre…
Publié par vlane