
Je tiens à vous dire que je ne suis pas contre l’idée du cinquantenaire le 28 novembre 2010 mais c’est la forme qui me dérange
J’espère que vous serez d’accord avec moi : si je vous dis que le bilan de nos 50 ans d’indépendance est largement négatif : si c’est oui doit-on faire la fête ?
- N’est-il pas plus sage de profiter de ce 28 novembre et en faire le jour de notre indépendance au vrai sens du mot ?
En invitant nos techniciens compétents dans leurs domaines de se réunir pour trouver des solutions:
- Sur l’auto suffisance alimentaire, le problème du logement, le chômage des jeunes, l’éducation etc.
- Ne pouvons nous pas faire de ce 28 novembre un jour historique pour tous les Mauritaniens en sacrifiant cette fête et en faire une journée de débat et de réconciliation nationale en exposant publiquement sans tabou devant le peuple tous les problèmes qui nous divisent, les régler ensemble dans le calme et nous dire plus jamais ça.
Par exemple
- Créer une place au centre ville appelée la place des martyres avec la liste des 28 soldats nécros Mauritaniens pendus le 28 novembre 1990, pour qu’enfin les familles puissent faire leur deuil
- Régler définitivement le problème de l’esclavage
- Régler définitivement le problème des réfugiés et le passif humanitaire
- Régler définitivement le problème de la parité en définissant clairement la place de la femme dans notre société mauritanienne
- Donner plus de considération, de responsabilité à la Jeunesse qui est majoritaire dans ce pays et dont les 50 prochaines années les concernent
- Revoir la constitution pour régler définitivement le problème de l’Egalite des chances, des langues nationales, de l’unité nationale etc.…
- Pourquoi ne pas inviter tous les chefs de parti et fouiller dans leurs tiroirs et de nous ressortir leur programme peut être on pourrait y trouver certaines bonnes propositions et en faire un seul programme ou toutes les composantes mauritaniennes s’y reconnaitrons car ce sera le programme du peuple
- Ne pouvons-nous pas faire de ce 28 novembre le jour d’un nouveau départ ou tous les Mauritaniens partiront avec les mêmes chances et la même volonté de se tenir la main pour ne former qu’un bloc et construire la Mauritanie ?
J’étais vraiment heureux d’apprendre que AZIZ a rejeté le devis de la commission d’organisation du cinquantenaire qui envoisine la somme d’1 milliard 400 million UM, je l’encourage d’aller encore plus loin qu’il prenne son courage à deux mains pour régler définitivement le fléau Mauritanien qui nous mine depuis 50 ans non seulement cela fera de lui l’homme qui a marqué l’histoire de la Mauritanie et le pays pourra enfin repartir sur de bonnes bases avec la bénédiction de tout un peuple
Mes chers frères et sœurs sacrifions cette fête pour préparer les 50 prochaines fêtes ou tous les Mauritaniens (les veuves, les familles de victimes, la jeunesse, les femmes, les anciens soit disant esclaves, les Arabes et les Négro Mauritaniens) se tiendront la main, former un seul grand cercle pour protéger ensemble notre pays et préserver ensemble nos intérêts c’est ce jour et seulement ce jour que nous aurons le droit de parler de fête nationale.
Malal SECK
Nouakchott (Mauritanie)
Source: le site de AJD/MR
J’espère que vous serez d’accord avec moi : si je vous dis que le bilan de nos 50 ans d’indépendance est largement négatif : si c’est oui doit-on faire la fête ?
- N’est-il pas plus sage de profiter de ce 28 novembre et en faire le jour de notre indépendance au vrai sens du mot ?
En invitant nos techniciens compétents dans leurs domaines de se réunir pour trouver des solutions:
- Sur l’auto suffisance alimentaire, le problème du logement, le chômage des jeunes, l’éducation etc.
- Ne pouvons nous pas faire de ce 28 novembre un jour historique pour tous les Mauritaniens en sacrifiant cette fête et en faire une journée de débat et de réconciliation nationale en exposant publiquement sans tabou devant le peuple tous les problèmes qui nous divisent, les régler ensemble dans le calme et nous dire plus jamais ça.
Par exemple
- Créer une place au centre ville appelée la place des martyres avec la liste des 28 soldats nécros Mauritaniens pendus le 28 novembre 1990, pour qu’enfin les familles puissent faire leur deuil
- Régler définitivement le problème de l’esclavage
- Régler définitivement le problème des réfugiés et le passif humanitaire
- Régler définitivement le problème de la parité en définissant clairement la place de la femme dans notre société mauritanienne
- Donner plus de considération, de responsabilité à la Jeunesse qui est majoritaire dans ce pays et dont les 50 prochaines années les concernent
- Revoir la constitution pour régler définitivement le problème de l’Egalite des chances, des langues nationales, de l’unité nationale etc.…
- Pourquoi ne pas inviter tous les chefs de parti et fouiller dans leurs tiroirs et de nous ressortir leur programme peut être on pourrait y trouver certaines bonnes propositions et en faire un seul programme ou toutes les composantes mauritaniennes s’y reconnaitrons car ce sera le programme du peuple
- Ne pouvons-nous pas faire de ce 28 novembre le jour d’un nouveau départ ou tous les Mauritaniens partiront avec les mêmes chances et la même volonté de se tenir la main pour ne former qu’un bloc et construire la Mauritanie ?
J’étais vraiment heureux d’apprendre que AZIZ a rejeté le devis de la commission d’organisation du cinquantenaire qui envoisine la somme d’1 milliard 400 million UM, je l’encourage d’aller encore plus loin qu’il prenne son courage à deux mains pour régler définitivement le fléau Mauritanien qui nous mine depuis 50 ans non seulement cela fera de lui l’homme qui a marqué l’histoire de la Mauritanie et le pays pourra enfin repartir sur de bonnes bases avec la bénédiction de tout un peuple
Mes chers frères et sœurs sacrifions cette fête pour préparer les 50 prochaines fêtes ou tous les Mauritaniens (les veuves, les familles de victimes, la jeunesse, les femmes, les anciens soit disant esclaves, les Arabes et les Négro Mauritaniens) se tiendront la main, former un seul grand cercle pour protéger ensemble notre pays et préserver ensemble nos intérêts c’est ce jour et seulement ce jour que nous aurons le droit de parler de fête nationale.
Malal SECK
Nouakchott (Mauritanie)
Source: le site de AJD/MR