
Chérif Ould Abdellahi, de son vrai nom Mohamed Abdellahi, n’est pas à présenter en Mauritanie tant son nom est cité en haut lieu parmi les grosses fortunes du pays. Il est à la tête de, MAOA, l’un des plus présents et des plus diversifiés sur le marché national, et magnat de l’import-export, Cherif détient une part considérable du marché d’approvisionnement en produits alimentaires.
Le groupe MAOA est particulièrement présent dans le domaine des pêches à travers la Société mauritanienne pour les activités de pêche, de services, de commerce, d’industrie et de représentation (SOMASCIR), implantée dans la capitale économique Nouadhibou.
Cette société pionnière mène des activités de capture du poisson, de traitement, de transformation, de congélation, de production de glace, de réparations navales, d’avitaillements, de stockage et d’exportation des produits de pêche.
Le groupe compte aussi l’une des principales sociétés importatrices de véhicules neufs, la CODIMEX qui approvisionne le marché national en marque TOYOTA.
Homme de bonne réputation, Cherif Ould Abdellahi est issu du même ensemble tribal que celui de l’ancien président Maaouya Ould Taya (1984 – 2005). Ce qui lui a valu d’être souvent indexé comme bénéficiaire de faveurs fiscales et sur le plan de l’octroi des marchés pendant la période de Taya.
On cite notamment dans ce cadre la cession par l’Etat au profit de l’homme de la Société mauritanienne d’assurances et de réassurances (SMAR), avec la totalité de ses avoirs, particulièrement son imposant immeuble situé en plein centre ville ainsi que sa cité résidentielle.
Aussi, Cheirf n’a pas échappé à l’affaire des « virements illicites » de la Banque centrale de Mauritanie vers des comptes personnels dans des banques privées entre 2001 et 2002. Il a été interrogé par le Commissariat des crimes économiques puis par le Parquet de Nouakchott. Ce dernier lui a enjoint l’ordre de rembourser les sommes encaissées.
Selon des informations concordantes, le principe du remboursement n’est pas contesté par l’homme d’affaires, mais le différend se situe au niveau des procédures de paiement fixées par la Banque centrale.
source : Agence de Presse Africaine
Le groupe MAOA est particulièrement présent dans le domaine des pêches à travers la Société mauritanienne pour les activités de pêche, de services, de commerce, d’industrie et de représentation (SOMASCIR), implantée dans la capitale économique Nouadhibou.
Cette société pionnière mène des activités de capture du poisson, de traitement, de transformation, de congélation, de production de glace, de réparations navales, d’avitaillements, de stockage et d’exportation des produits de pêche.
Le groupe compte aussi l’une des principales sociétés importatrices de véhicules neufs, la CODIMEX qui approvisionne le marché national en marque TOYOTA.
Homme de bonne réputation, Cherif Ould Abdellahi est issu du même ensemble tribal que celui de l’ancien président Maaouya Ould Taya (1984 – 2005). Ce qui lui a valu d’être souvent indexé comme bénéficiaire de faveurs fiscales et sur le plan de l’octroi des marchés pendant la période de Taya.
On cite notamment dans ce cadre la cession par l’Etat au profit de l’homme de la Société mauritanienne d’assurances et de réassurances (SMAR), avec la totalité de ses avoirs, particulièrement son imposant immeuble situé en plein centre ville ainsi que sa cité résidentielle.
Aussi, Cheirf n’a pas échappé à l’affaire des « virements illicites » de la Banque centrale de Mauritanie vers des comptes personnels dans des banques privées entre 2001 et 2002. Il a été interrogé par le Commissariat des crimes économiques puis par le Parquet de Nouakchott. Ce dernier lui a enjoint l’ordre de rembourser les sommes encaissées.
Selon des informations concordantes, le principe du remboursement n’est pas contesté par l’homme d’affaires, mais le différend se situe au niveau des procédures de paiement fixées par la Banque centrale.
source : Agence de Presse Africaine