
Il m'a été donné de relever un certain nombre de contre vérités, des affirmations mensongères et des chiffres relevant de la pure désinformation intéressée sur la situation de l’esclavage comme décrite dans votre communiqué. A ce titre, j’aimerais vous préciser ainsi qu’aux personnes que vous tentez d’induire en erreur, que dans notre cher pays la Mauritanie il est fallacieux et infondé de dire qu’il y a plus de 500.000 esclaves.
Je considère qu’il s’agit là d’une manœuvre pernicieuse afin de brouiller les partenaires de notre pays au cours de la table ronde qui se tient à Bruxelles le 22 et 23 Juin 2010.
S’il est admis que l’on ne peut pas dire qu’il n’y a plus d’esclaves en Mauritanie, car le processus qui a été engagé depuis la promulgation de l’ordonnance 81234 du 9 Novembre 1981 par le Président Monsieur Mohamed Khouna Haidalla. n’est pas encore achevé.
A mon humble avis toute appréciation relative à l’esclavage en Mauritanie devrait prendre en compte les progrès réalisés depuis plus de 20 ans. Il ne s’agit pas ici de remettre en cause votre droit à l’expression, mais la nécessité d’observer une plus grande objectivité pour un problème aussi sensible que les autorités tentent d’éradiquer en dépit des pesanteurs d’une société archaïque.
Aussi, je trouve contre productif votre proposition de faire dépendre l’aide au développement à la Mauritanie des résultats de la lutte contre l’esclavage, et la considère comme fantaisiste et dangereuse dans la mesure où c’est une invite au boycott avec toutes ses conséquences qui ne manqueront pas de plomber l’économie du pays avec ses répercussions sur les programmes de réinsertion destinés à cette frange de la population.
Par ailleurs, il serait honnête de préciser qu’en Mauritanie il n’y a pas de militant des droits de l’homme actuellement inquiété, au contraire il sont présentement à Bruxelles alors que des O.N.G sélectionnée à la main comme vous vous plaisez à appeler les ONG non affiliées aux partis politique n’ont même pas pu obtenir de visas.
Comme quoi il est plus facile aux soit disant militants des droits de l’homme d’obtenir un visa avec beaucoup de facilité, ce qui ne manque pas de soulever des interrogations sur les modalités d’octroi de visa pour l’EU.
L’U.E ne peut pas s’engager à donner des directives pour défendre les « soit disant militants des droit de l’homme » alors que ces derniers ne respectent pas les lois en vigueur dans leur pays.
Mais le summum de la bêtise est sans doute cette aberration venant de personnes qui sont sensés défendre la dignité de leur pays et qui consiste à demander une enquête indépendante pour déterminer l’ampleur de l’esclavage.
Il y a ici un appel à l’immixtion dans les affaires intérieures de la Mauritanie, ce qui est intolérable.
Capitaine Breyka ould M’Barek
Je considère qu’il s’agit là d’une manœuvre pernicieuse afin de brouiller les partenaires de notre pays au cours de la table ronde qui se tient à Bruxelles le 22 et 23 Juin 2010.
S’il est admis que l’on ne peut pas dire qu’il n’y a plus d’esclaves en Mauritanie, car le processus qui a été engagé depuis la promulgation de l’ordonnance 81234 du 9 Novembre 1981 par le Président Monsieur Mohamed Khouna Haidalla. n’est pas encore achevé.
A mon humble avis toute appréciation relative à l’esclavage en Mauritanie devrait prendre en compte les progrès réalisés depuis plus de 20 ans. Il ne s’agit pas ici de remettre en cause votre droit à l’expression, mais la nécessité d’observer une plus grande objectivité pour un problème aussi sensible que les autorités tentent d’éradiquer en dépit des pesanteurs d’une société archaïque.
Aussi, je trouve contre productif votre proposition de faire dépendre l’aide au développement à la Mauritanie des résultats de la lutte contre l’esclavage, et la considère comme fantaisiste et dangereuse dans la mesure où c’est une invite au boycott avec toutes ses conséquences qui ne manqueront pas de plomber l’économie du pays avec ses répercussions sur les programmes de réinsertion destinés à cette frange de la population.
Par ailleurs, il serait honnête de préciser qu’en Mauritanie il n’y a pas de militant des droits de l’homme actuellement inquiété, au contraire il sont présentement à Bruxelles alors que des O.N.G sélectionnée à la main comme vous vous plaisez à appeler les ONG non affiliées aux partis politique n’ont même pas pu obtenir de visas.
Comme quoi il est plus facile aux soit disant militants des droits de l’homme d’obtenir un visa avec beaucoup de facilité, ce qui ne manque pas de soulever des interrogations sur les modalités d’octroi de visa pour l’EU.
L’U.E ne peut pas s’engager à donner des directives pour défendre les « soit disant militants des droit de l’homme » alors que ces derniers ne respectent pas les lois en vigueur dans leur pays.
Mais le summum de la bêtise est sans doute cette aberration venant de personnes qui sont sensés défendre la dignité de leur pays et qui consiste à demander une enquête indépendante pour déterminer l’ampleur de l’esclavage.
Il y a ici un appel à l’immixtion dans les affaires intérieures de la Mauritanie, ce qui est intolérable.
Capitaine Breyka ould M’Barek