
Une délégation de la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples séjourne depuis le 9 janvier courant en Mauritanie, sur invitation du gouvernement mauritanien.
Présidé par Mme Reine Alapini Ganson, cette délégation a pu se rendre en Mauritanie profonde, notamment dans des localités habitées par d’anciens esclaves, ainsi que sur des sites où sont installés des anciens déportés mauritaniens au Séngal.
Faisant un constat général sur la situation des droits humains en Mauritanie, au cours d’une conférence de presse tenue lundi à Nouakchott, Mme Reine Alapini Ganson a indiqué que « la Mauritanie est en bonne dans sa lutte pour éradiquer les séquelles de l’esclavage et le régiment définitifs du passif humanitaire ».
Par rapport au passif humanitaire, la délégation de la CADHP a affirmé avoir rencontrés le collectif des veuves(COVIR), dont les membres ont affirmé, documents à l’appui, que le gouvernement met en place des actions concrètes pour s’acheminer vers un règlement définitif de cette question.
Ils ont également mentionner que la Mauritanie est signataire de plusieurs charte de droits humains, notamment des droits de la femme qu’elle doit encore harmoniser avec ses textes de droit internes.
Par ailleurs, Mme Alapini a tenu à éclairer l’opinion sur ce que sa délégation a fait au cours de son séjour par rapport à la « confiscation » par les autorités du passeport de Biram Ould Abeid soulignant : »Nous avons posé le cas de M. Biram aux autorités qui nous ont répondu que ce dernier est agent contractuel à la CNDH, mais cela ne lui donne pas droit à un passeport de service et que, comme tout autre citoyen mauritanien il aura un passeport ordinaire en bonne et du forme dés qu’il en exprime la demande aux autorités concernées ».
La commission devra signer, dans la journée de demain (mercredi) une « promotion » de droits humains en Mauritanie.
Source: ANI
Présidé par Mme Reine Alapini Ganson, cette délégation a pu se rendre en Mauritanie profonde, notamment dans des localités habitées par d’anciens esclaves, ainsi que sur des sites où sont installés des anciens déportés mauritaniens au Séngal.
Faisant un constat général sur la situation des droits humains en Mauritanie, au cours d’une conférence de presse tenue lundi à Nouakchott, Mme Reine Alapini Ganson a indiqué que « la Mauritanie est en bonne dans sa lutte pour éradiquer les séquelles de l’esclavage et le régiment définitifs du passif humanitaire ».
Par rapport au passif humanitaire, la délégation de la CADHP a affirmé avoir rencontrés le collectif des veuves(COVIR), dont les membres ont affirmé, documents à l’appui, que le gouvernement met en place des actions concrètes pour s’acheminer vers un règlement définitif de cette question.
Ils ont également mentionner que la Mauritanie est signataire de plusieurs charte de droits humains, notamment des droits de la femme qu’elle doit encore harmoniser avec ses textes de droit internes.
Par ailleurs, Mme Alapini a tenu à éclairer l’opinion sur ce que sa délégation a fait au cours de son séjour par rapport à la « confiscation » par les autorités du passeport de Biram Ould Abeid soulignant : »Nous avons posé le cas de M. Biram aux autorités qui nous ont répondu que ce dernier est agent contractuel à la CNDH, mais cela ne lui donne pas droit à un passeport de service et que, comme tout autre citoyen mauritanien il aura un passeport ordinaire en bonne et du forme dés qu’il en exprime la demande aux autorités concernées ».
La commission devra signer, dans la journée de demain (mercredi) une « promotion » de droits humains en Mauritanie.
Source: ANI