
Un colloque consacré à l’étude de la réserve générale porté par la Mauritanie sur la convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard de la femme (CEDEF), est organisé, durant les journée du 13 au 14 juin par le Forum de la Pensée Islamique et du Dialogue des Civilisation.
L’ouverture de ce colloque abrité par le centre de la promotion féminine de Nouakchott a été marquée par la présence des ministres de la justice, de l’orientation islamique, des affaires sociales de l’enfance et de la famille, ainsi que le commissaire aux droits de l’homme, à l’action humanitaire et aux relations avec la société civile.
L’étude de la convention sur discrimination contre la femme, composé d’une trentaine d’article de loi est soumise à l’examen de plus de vingt oulémas, qui auront, à la fin de leurs travaux, à émettre les recommandations liées aux réserves portées contre chaque partie de cette convention.
Prenant la parole à cette occasion, l’érudit Hamden Ould Tah président du Forum de la Pensée Islamique et du Dialogue des Civilisation, a souligné : « Comment peut-on répondre, par rapport à telle ou telle loi ? Quels sont les points dans lesquels se situent les divergences avec la loi islamique ? C’est là où réside le gros du travail qu’auront à effectuer les oulémas au cours de ce colloque ». Il s’agit, poursuivra Hamden , d’une loi qui concerne non seulement le monde islamique , mais aussi le monde entier, notamment les chrétiens. Ces derniers ont porté plus de réserves concernant que n’ont portées les musulmans eux-mêmes.
Dans son discours d’ouverture, Mme Moulaty Mint Elmoctar , ministre des affaires sociales de l’enfance et de la famille a rappelé qu’un premier rapport concernant cette convention a été discuté en 2007 et que la Mauritanie suit avec intérêt les recommandations issues de ce rapport. Aujourd’hui, a –telle souligné, nous allons étudier, ensemble, la possibilité de la levée de la réserve générale portée par la Mauritanie à cette convention.
La Mauritanie a ratifié, en 2000 cette convention visant l’élimination des toutes les formes d'incriminations contre les femmes, mais en y émettant des réserves par rapport à certains points d’ombre, notamment au niveau des articles 15 et 16 de la CEDEF où de franches contradictions avec la loi islamique ont été relevées.
Source: ANI
L’ouverture de ce colloque abrité par le centre de la promotion féminine de Nouakchott a été marquée par la présence des ministres de la justice, de l’orientation islamique, des affaires sociales de l’enfance et de la famille, ainsi que le commissaire aux droits de l’homme, à l’action humanitaire et aux relations avec la société civile.
L’étude de la convention sur discrimination contre la femme, composé d’une trentaine d’article de loi est soumise à l’examen de plus de vingt oulémas, qui auront, à la fin de leurs travaux, à émettre les recommandations liées aux réserves portées contre chaque partie de cette convention.
Prenant la parole à cette occasion, l’érudit Hamden Ould Tah président du Forum de la Pensée Islamique et du Dialogue des Civilisation, a souligné : « Comment peut-on répondre, par rapport à telle ou telle loi ? Quels sont les points dans lesquels se situent les divergences avec la loi islamique ? C’est là où réside le gros du travail qu’auront à effectuer les oulémas au cours de ce colloque ». Il s’agit, poursuivra Hamden , d’une loi qui concerne non seulement le monde islamique , mais aussi le monde entier, notamment les chrétiens. Ces derniers ont porté plus de réserves concernant que n’ont portées les musulmans eux-mêmes.
Dans son discours d’ouverture, Mme Moulaty Mint Elmoctar , ministre des affaires sociales de l’enfance et de la famille a rappelé qu’un premier rapport concernant cette convention a été discuté en 2007 et que la Mauritanie suit avec intérêt les recommandations issues de ce rapport. Aujourd’hui, a –telle souligné, nous allons étudier, ensemble, la possibilité de la levée de la réserve générale portée par la Mauritanie à cette convention.
La Mauritanie a ratifié, en 2000 cette convention visant l’élimination des toutes les formes d'incriminations contre les femmes, mais en y émettant des réserves par rapport à certains points d’ombre, notamment au niveau des articles 15 et 16 de la CEDEF où de franches contradictions avec la loi islamique ont été relevées.
Source: ANI