
Ibrahima SARR, la lumière d’un pays et d’un peuple.
Le combat sans fin et demain sera, il était pourtant….
Votre vie, vous l’avez consacré à votre pays, votre peuple et votre langue.
La langue, l’égalité et la justice pour les Mauritaniens.
D’Oualata à la liberté, vous n’avez jamais reculé. Vous êtes resté le même et indifférent aux provocations des uns et des autres. L’homme est destiné, à un but et un idéal et Dieu lui trace une voie. Dieu vous a tracé une voie et vous ne pouvez en aucun dévier, c’est votre destin.
Portez le poids d’un peuple, vouloir répondre aux doléances, représenter une culture, prôner l’égalité de tous les Mauritaniens et combattre l’injustice ont été et demeureront votre objectif et votre combat.
Vouloir vous comparez à Nelson MANDELA, c’est vouloir gommer votre vécu car Mandela est un combattant comme vous et il n’a rien plus que vous. Il est juste une référence pour le peuple noir et les noirs sud africains en particulier.
Votre œuvre est immense pour le peuple noir et vous êtes une lumière qui fait des étincelles car vous auriez pu faire comme vos frères, fuir la Mauritanie à la recherche de la richesse mais non, vous avez choisi de vivre dans la pauvreté pour combattre l’injustice et se battre pour un état Mauritanien démocratique.
Les hommes ont des mémoires courtes surtout ceux de notre peuple. Ils ont oublié que vous étiez avant tout le défenseur d’une culture car dès votre jeune âge, vous avez senti le danger venir. Vos camarades, compagnons et amis avez ignoré la richesse pour l’amour de notre tradition, notre culture et notre langue. D’ailleurs Raphael Sambala linguistique Mozambicain avait déclaré que : « une langue, c’est une culture. Elle contient l’histoire d’un peuple et toute la connaissance transmise de génération en génération ». Une langue qui meurt est un ensemble de choses qui disparaît avec ».
Vous avez essayé de faire ce que vous avez pu en se contentant de faire des poèmes pulaar pour que cette langue puisse trouver sa place dans cette Mauritanie. A travers vos poèmes et les extraits de vos poèmes chantés par Baba MAAL, cette langue a eu une vaste dimension. La propagande a eu lieu, votre génération a fait ce qu’elle pouvait et cette chanson illustre bien votre combat : Bibbe leydi ngare ngastodden (…).
Vous vous êtes organisé avec vos amis au péril de vos vies, pour non seulement avoir défendu notre culture, mais aussi le droit et la dignité du peuple noir en Mauritanie.
De votre passage de l’UFD à AC, vous étiez cantonné au second rôle mais je me disais que c’était juste une question du temps et que j’étais persuadé qu’un jour vous serez sur la scène. Quand vous avez marqué une pause, je me suis dis que le rêve se réalise enfin et voila l’annonce d’AJD. Je cite : « l’AJD/MR, fidèle à sa ligne qui se résume à construire une nation d’abord réconcilié avec elle-même, s’appuyant sur ses propres sources humaines, culturelles, économiques et sociales et utilisant les connaissances scientifiques et techniques et ses relations internationales pour un développement harmonieux respectant l’unique religion du peuple, l’Islam ;….»
La marginalisation était notre sort depuis l’indépendance de la Mauritanie et il fallait en finir avec. La naissance de l’AJD a été une bonne chose car ce sont les fruits de votre lutte et le combat mené jusque là.
Les extrémistes, les tribalistes, les casteistes et les révisionnistes vous ont montré le doigt en vous taxant de Flamiste malgré votre passé et votre parcours politique.
Avec AJD, c’est une nouvelle orientation politique que vous avez choisie et cela ne vaut pas dire que vous avez laissé ce dont vous vous battez depuis la nuit des temps. Comme vous avez l’habitude de dire que AJD n’est pas un parti pour une ethnie mais c’est un parti politique comme les autres partis et tous Mauritaniens peut y adhérer.
Je n’appartiens a aucun parti politique Mauritanien. J’étais membre de l’UFD en 1992 et AC dès leur création et je me posais beaucoup de questions quant aux convictions des dirigeants de ces partis. Il n’y avait aucune ligne de conduite à part les cris, les doléances d’un peuple noir qui a souffert et continue à souffrir encore.
Je ne vous connais pas personnellement mais je rejoins totalement votre cause qui est la mienne. Nous nous étions rencontrés une fois mais vous ne devez pas vous souvenir de moi.
Nuire à votre personnalité, reviendrait à remettre en cause tout votre parcours et votre combat et ceux qui le font ne sont que les petits hommes sans Histoire, aucune œuvre et qui ont souvent un passé passif sans conviction ni idées constructives pour une Mauritanie dont nous aspirons un jour avoir.
Aboubacry N’DIAYE.
Source: Aboubacry N’DIAYE pr avomm.com
Le combat sans fin et demain sera, il était pourtant….
Votre vie, vous l’avez consacré à votre pays, votre peuple et votre langue.
La langue, l’égalité et la justice pour les Mauritaniens.
D’Oualata à la liberté, vous n’avez jamais reculé. Vous êtes resté le même et indifférent aux provocations des uns et des autres. L’homme est destiné, à un but et un idéal et Dieu lui trace une voie. Dieu vous a tracé une voie et vous ne pouvez en aucun dévier, c’est votre destin.
Portez le poids d’un peuple, vouloir répondre aux doléances, représenter une culture, prôner l’égalité de tous les Mauritaniens et combattre l’injustice ont été et demeureront votre objectif et votre combat.
Vouloir vous comparez à Nelson MANDELA, c’est vouloir gommer votre vécu car Mandela est un combattant comme vous et il n’a rien plus que vous. Il est juste une référence pour le peuple noir et les noirs sud africains en particulier.
Votre œuvre est immense pour le peuple noir et vous êtes une lumière qui fait des étincelles car vous auriez pu faire comme vos frères, fuir la Mauritanie à la recherche de la richesse mais non, vous avez choisi de vivre dans la pauvreté pour combattre l’injustice et se battre pour un état Mauritanien démocratique.
Les hommes ont des mémoires courtes surtout ceux de notre peuple. Ils ont oublié que vous étiez avant tout le défenseur d’une culture car dès votre jeune âge, vous avez senti le danger venir. Vos camarades, compagnons et amis avez ignoré la richesse pour l’amour de notre tradition, notre culture et notre langue. D’ailleurs Raphael Sambala linguistique Mozambicain avait déclaré que : « une langue, c’est une culture. Elle contient l’histoire d’un peuple et toute la connaissance transmise de génération en génération ». Une langue qui meurt est un ensemble de choses qui disparaît avec ».
Vous avez essayé de faire ce que vous avez pu en se contentant de faire des poèmes pulaar pour que cette langue puisse trouver sa place dans cette Mauritanie. A travers vos poèmes et les extraits de vos poèmes chantés par Baba MAAL, cette langue a eu une vaste dimension. La propagande a eu lieu, votre génération a fait ce qu’elle pouvait et cette chanson illustre bien votre combat : Bibbe leydi ngare ngastodden (…).
Vous vous êtes organisé avec vos amis au péril de vos vies, pour non seulement avoir défendu notre culture, mais aussi le droit et la dignité du peuple noir en Mauritanie.
De votre passage de l’UFD à AC, vous étiez cantonné au second rôle mais je me disais que c’était juste une question du temps et que j’étais persuadé qu’un jour vous serez sur la scène. Quand vous avez marqué une pause, je me suis dis que le rêve se réalise enfin et voila l’annonce d’AJD. Je cite : « l’AJD/MR, fidèle à sa ligne qui se résume à construire une nation d’abord réconcilié avec elle-même, s’appuyant sur ses propres sources humaines, culturelles, économiques et sociales et utilisant les connaissances scientifiques et techniques et ses relations internationales pour un développement harmonieux respectant l’unique religion du peuple, l’Islam ;….»
La marginalisation était notre sort depuis l’indépendance de la Mauritanie et il fallait en finir avec. La naissance de l’AJD a été une bonne chose car ce sont les fruits de votre lutte et le combat mené jusque là.
Les extrémistes, les tribalistes, les casteistes et les révisionnistes vous ont montré le doigt en vous taxant de Flamiste malgré votre passé et votre parcours politique.
Avec AJD, c’est une nouvelle orientation politique que vous avez choisie et cela ne vaut pas dire que vous avez laissé ce dont vous vous battez depuis la nuit des temps. Comme vous avez l’habitude de dire que AJD n’est pas un parti pour une ethnie mais c’est un parti politique comme les autres partis et tous Mauritaniens peut y adhérer.
Je n’appartiens a aucun parti politique Mauritanien. J’étais membre de l’UFD en 1992 et AC dès leur création et je me posais beaucoup de questions quant aux convictions des dirigeants de ces partis. Il n’y avait aucune ligne de conduite à part les cris, les doléances d’un peuple noir qui a souffert et continue à souffrir encore.
Je ne vous connais pas personnellement mais je rejoins totalement votre cause qui est la mienne. Nous nous étions rencontrés une fois mais vous ne devez pas vous souvenir de moi.
Nuire à votre personnalité, reviendrait à remettre en cause tout votre parcours et votre combat et ceux qui le font ne sont que les petits hommes sans Histoire, aucune œuvre et qui ont souvent un passé passif sans conviction ni idées constructives pour une Mauritanie dont nous aspirons un jour avoir.
Aboubacry N’DIAYE.
Source: Aboubacry N’DIAYE pr avomm.com