
Certaines localités du Sud de la Mauritanie ont enregistré des dégâts importants, causés par les fortes pluies torrentielles de ces dernières 72 heures. Des pluies torrentielles qui ont causé beaucoup de dégâts aux populations. Idem pour celles de la capitale Nouakchott qui prient pour que le ciel referme ses vannes.
De la pluie, les populations du Sud mauritanien, composées en majorité d’agriculteurs et d’éleveurs, en avaient bien besoin. Mais les cordes qui se sont abattues dans leurs localités depuis 72 heures ont rapidement transformé leur rêve en cauchemar. Bilan : un mort, des milliers de sinistrés, des habitations emportées par les flots, des routes et des barrages dévastés. Principales victimes, les populations des Willaya du Brakna (Mahta Lajar), du Tagant de l’Assaba et du Hodh El Ghargi (Tintane).
Au Tagant, notamment dans l’Aftout, des digues de protection ont été dressées entre les habitations menacées et les cours de ruissellement. Même constat à Maghta Lajar où les autorités administratives s’empressent pour sauver les habitations menacées et les boutiques encerclées par les eaux. Au Hodh El Gharbi, vu le niveau des eaux, une unité d'intervention de la gendarmerie équipée de matériels appropriés (zodiacs et autres) a été dépêchée sur les lieux pour parer à toute éventualité. En Assaba, en sus des pertes de bétail, les ponts ont été emportés par les eaux, conduisant à un arrêt du trafic interurbain.
A Nouakchott, les populations craignent le syndrome de 2009 au cours duquel des milliers de sans-abri avaient été enregistrés dans la capitale après les premières pluies. Une situation de crainte accentuée par la persistance d’un ciel qui refuse de fermer ses vannes depuis deux jours, créant un sentiment de panique dans certaines localités de la ville. Ces cités (Socogim Ps, Ksar, Sebkha, Dar Naim…), bâties dans des zones inondables, sont submergées par les eaux de pluies depuis 48 heures.
Mame Seydou DIOP
Source: walfad
De la pluie, les populations du Sud mauritanien, composées en majorité d’agriculteurs et d’éleveurs, en avaient bien besoin. Mais les cordes qui se sont abattues dans leurs localités depuis 72 heures ont rapidement transformé leur rêve en cauchemar. Bilan : un mort, des milliers de sinistrés, des habitations emportées par les flots, des routes et des barrages dévastés. Principales victimes, les populations des Willaya du Brakna (Mahta Lajar), du Tagant de l’Assaba et du Hodh El Ghargi (Tintane).
Au Tagant, notamment dans l’Aftout, des digues de protection ont été dressées entre les habitations menacées et les cours de ruissellement. Même constat à Maghta Lajar où les autorités administratives s’empressent pour sauver les habitations menacées et les boutiques encerclées par les eaux. Au Hodh El Gharbi, vu le niveau des eaux, une unité d'intervention de la gendarmerie équipée de matériels appropriés (zodiacs et autres) a été dépêchée sur les lieux pour parer à toute éventualité. En Assaba, en sus des pertes de bétail, les ponts ont été emportés par les eaux, conduisant à un arrêt du trafic interurbain.
A Nouakchott, les populations craignent le syndrome de 2009 au cours duquel des milliers de sans-abri avaient été enregistrés dans la capitale après les premières pluies. Une situation de crainte accentuée par la persistance d’un ciel qui refuse de fermer ses vannes depuis deux jours, créant un sentiment de panique dans certaines localités de la ville. Ces cités (Socogim Ps, Ksar, Sebkha, Dar Naim…), bâties dans des zones inondables, sont submergées par les eaux de pluies depuis 48 heures.
Mame Seydou DIOP
Source: walfad