
« C’est triste quand on sait que nous sommes tous responsables de cette situation : de l’analphabète au super-cadre, du planton au haut responsable. Nous avons créé, entretenu, encouragé pour les uns, tandis que les autres n’ont pas décrié, dénoncé s’ils n’ont pas applaudi. »
Les seuls responsables sont ceux qui ont gouverné ce pays. Aucun analphabète n’est responsable de la mauvaise gestion des ministères ou des bourses attribuées par complaisance aux fils des khamas kébirs. Aucun berger de Bellel-ournguel n’est responsable des foutaises des sociétés d’état lui qui les ignore.
« Ce n’est pas le fait de la colonisation, ni celui des pays voisins, ni celui des multinationales, ce sont les Mauritaniens qui sont responsables de ce qui leur est arrivé. »
La colonisation aussi à sa part de responsabilité dans ce qui nous arrive, elle a fait croire que la Mauritanie appartenait à une seule composante nationale.
« La lutte contre la gabegie sera une exigence sociale »
La lutte contre la gabegie ne peut pas être un programme politique, surtout quand on invite les voleurs à dîner au palais présidentiel pour acheter la paix des gros commerçants maures d’ Atar, ce n’est pas ainsi qu’on donne un bon exemple en matière de lutte contre la gabegie.
« Il faut voir les usagers des services publics refuser de payer un tribut en contrepartie d’un droit. Les voir se plaindre et manifester ce refus, tout faire pour que cela aille au niveau supérieur. »
Le niveau supérieur est plus corrompu.
« Je ne demande pas personnellement d’être chanté, je le refuse d’ailleurs »
On attend que vous le disiez publiquement aux médias d’état qui passent leur temps à chanter vos louanges en refusant leurs accès à l’opposition pourtant républicaine.
« Je veux rompre avec les accueils fastes et célébrant la personne du Président. »
Faites le tout de suite, ce serait un bon début.
« Aujourd’hui nous devons libérer le citoyen de ce joug, lui permettre de recouvrer sa dignité. »
C’est surtout les commerçants et les politiciens qui sont exploités, ici.
« Je serai heureux le jour où les gens ne viendront pas me voir pour me demander une licence de pêche, un passe-droit, une faveur, mais pour me poser des problèmes d’ordre communautaires, d’ordre nationaux. »
Si les gens vous demandent des passe-droits, refusez ou jetez les en prison et ils comprendront.
«… Pour cela il a besoin d’un système éducatif à même de lui offrir ce à quoi il aspire. »
Un système éducatif viable sans éthique au sommet de l’état n’apportera rien, car les voleurs sont tous des super diplômés et non des analphabètes ou des mal formés.
« Nous avons besoin de spécialistes en médecine, d’ingénieurs, de techniciens dans tous les domaines, même dans les petits métiers. »
Pourtant les cadres chôment dans le pays.
« Le seul domaine où l’on semble avoir un semblant d’autosuffisance est celui des porteurs. »
Oui, surtout noirs porteurs d'eau !
« Pendant cinquante ans nous avons été prisonniers de polémiques autour de la question des langues… »
La question des langues nationales posent la question essentielle de la cohabitation et sans le règlement de ce problème nous n’irons nulle part ailleurs que dans la case sous développement.
« Il ne faut pas se tromper : si l’éducation marche, tout marchera. »
L’éducation ne marchera jamais en niant la question des langues, donc de la cohabitation, du racisme et de l’esclavage.
« En définitive quand je regarde l’héritage que nous avons eu, je me dis que tout est prioritaire. C’est pourquoi je ne veux pas qu’on perde encore du temps à chercher ce qui dot être fait en premier. Pourquoi ne pas tout engager en même temps, aller finalement se battre sur tous les fronts du sous-développement et de l’arriération ? »
Qu’attendez-vous, donnez le ton car vous êtes encore dans la communication.
« Le dialogue dont j’ai parlé ne signifie pas fatalement la participation comme il ne signifie absolument pas un retour en arrière. »
On piétine.
« Le cadre pourrait être celui d’une ou de plusieurs journées de réflexion qui pourraient se tenir à la demande soit de la Majorité soit de l’Opposition. »
Vous ne respecterez pas leurs résolutions…
On peut passer sous silence les questions inutiles de Oumeir.
« Je crois qu’il est plus juste de laisser les ministres s’adapter à la personnalité du Président, à son rythme pour chercher à harmoniser l’action en vue de la réalisation des objectifs prédéfinis. »
En démocratie véritable, le ministre n’a pas à s’adapter à la personnalité du président de la république, il doit appliquer une feuille de route, un programme politique en toute confiance sous le contrôle du chef de gouvernement et du parlement.
Vous avez tous compris, pour longtemps les ministres et nos cadres devront continuer à être les griots du président s’ils veulent garder leurs postes, l’interview de Aziz ne nous a rien apporté, mention faible, même s’il faut l’encourager à continuer à parler pour l’aider à progresser car chez nous les conseillers officiels ne sont pas souvent écoutés.
** Règlement du passif humanitaire ! Le passif humanitaire ! Le passif humanitaire !
avomm.com
Les seuls responsables sont ceux qui ont gouverné ce pays. Aucun analphabète n’est responsable de la mauvaise gestion des ministères ou des bourses attribuées par complaisance aux fils des khamas kébirs. Aucun berger de Bellel-ournguel n’est responsable des foutaises des sociétés d’état lui qui les ignore.
« Ce n’est pas le fait de la colonisation, ni celui des pays voisins, ni celui des multinationales, ce sont les Mauritaniens qui sont responsables de ce qui leur est arrivé. »
La colonisation aussi à sa part de responsabilité dans ce qui nous arrive, elle a fait croire que la Mauritanie appartenait à une seule composante nationale.
« La lutte contre la gabegie sera une exigence sociale »
La lutte contre la gabegie ne peut pas être un programme politique, surtout quand on invite les voleurs à dîner au palais présidentiel pour acheter la paix des gros commerçants maures d’ Atar, ce n’est pas ainsi qu’on donne un bon exemple en matière de lutte contre la gabegie.
« Il faut voir les usagers des services publics refuser de payer un tribut en contrepartie d’un droit. Les voir se plaindre et manifester ce refus, tout faire pour que cela aille au niveau supérieur. »
Le niveau supérieur est plus corrompu.
« Je ne demande pas personnellement d’être chanté, je le refuse d’ailleurs »
On attend que vous le disiez publiquement aux médias d’état qui passent leur temps à chanter vos louanges en refusant leurs accès à l’opposition pourtant républicaine.
« Je veux rompre avec les accueils fastes et célébrant la personne du Président. »
Faites le tout de suite, ce serait un bon début.
« Aujourd’hui nous devons libérer le citoyen de ce joug, lui permettre de recouvrer sa dignité. »
C’est surtout les commerçants et les politiciens qui sont exploités, ici.
« Je serai heureux le jour où les gens ne viendront pas me voir pour me demander une licence de pêche, un passe-droit, une faveur, mais pour me poser des problèmes d’ordre communautaires, d’ordre nationaux. »
Si les gens vous demandent des passe-droits, refusez ou jetez les en prison et ils comprendront.
«… Pour cela il a besoin d’un système éducatif à même de lui offrir ce à quoi il aspire. »
Un système éducatif viable sans éthique au sommet de l’état n’apportera rien, car les voleurs sont tous des super diplômés et non des analphabètes ou des mal formés.
« Nous avons besoin de spécialistes en médecine, d’ingénieurs, de techniciens dans tous les domaines, même dans les petits métiers. »
Pourtant les cadres chôment dans le pays.
« Le seul domaine où l’on semble avoir un semblant d’autosuffisance est celui des porteurs. »
Oui, surtout noirs porteurs d'eau !
« Pendant cinquante ans nous avons été prisonniers de polémiques autour de la question des langues… »
La question des langues nationales posent la question essentielle de la cohabitation et sans le règlement de ce problème nous n’irons nulle part ailleurs que dans la case sous développement.
« Il ne faut pas se tromper : si l’éducation marche, tout marchera. »
L’éducation ne marchera jamais en niant la question des langues, donc de la cohabitation, du racisme et de l’esclavage.
« En définitive quand je regarde l’héritage que nous avons eu, je me dis que tout est prioritaire. C’est pourquoi je ne veux pas qu’on perde encore du temps à chercher ce qui dot être fait en premier. Pourquoi ne pas tout engager en même temps, aller finalement se battre sur tous les fronts du sous-développement et de l’arriération ? »
Qu’attendez-vous, donnez le ton car vous êtes encore dans la communication.
« Le dialogue dont j’ai parlé ne signifie pas fatalement la participation comme il ne signifie absolument pas un retour en arrière. »
On piétine.
« Le cadre pourrait être celui d’une ou de plusieurs journées de réflexion qui pourraient se tenir à la demande soit de la Majorité soit de l’Opposition. »
Vous ne respecterez pas leurs résolutions…
On peut passer sous silence les questions inutiles de Oumeir.
« Je crois qu’il est plus juste de laisser les ministres s’adapter à la personnalité du Président, à son rythme pour chercher à harmoniser l’action en vue de la réalisation des objectifs prédéfinis. »
En démocratie véritable, le ministre n’a pas à s’adapter à la personnalité du président de la république, il doit appliquer une feuille de route, un programme politique en toute confiance sous le contrôle du chef de gouvernement et du parlement.
Vous avez tous compris, pour longtemps les ministres et nos cadres devront continuer à être les griots du président s’ils veulent garder leurs postes, l’interview de Aziz ne nous a rien apporté, mention faible, même s’il faut l’encourager à continuer à parler pour l’aider à progresser car chez nous les conseillers officiels ne sont pas souvent écoutés.
** Règlement du passif humanitaire ! Le passif humanitaire ! Le passif humanitaire !
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