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Le bureau exécutif de l'AVOMM

"L'important n'est pas ce qu'on fait de nous, mais ce que nous faisons nous-mêmes de ce qu'on a fait de nous." Jean-Paul Sartre

"L'Association d'aides aux veuves et aux orphelins de mauritanie (AVOMM) qui nous rassemble, a été créée le 25/12/95 à PARIS par d'ex-militaires mauritaniens ayant fui la terreur, l'oppression, la barbarie du colonel Mawiya o/ sid'ahmed Taya ......
Ces rescapés des geôles de ould Taya, et de l'arbitraire, décidèrent, pour ne jamais oublier ce qui leur est arrivé, pour garder aussi la mémoire des centaines de martyrs, de venir en aide aux veuves, aux orphelins mais aussi d'engager le combat contre l'impunité décrétée par le pouvoir de Mauritanie."
E-mail : avommavomm@yahoo.fr

Bureau exécutif

*Ousmane SARR, président
*Demba Niang, secrétaire général
*Secrétaire général Adjt; Demba Fall
*Alousseyni SY, Chargé des relations extérieures
*Mme Rougui Dia, trésorière
*Chargé de l’organisation Mariame Diop
*adjoint Ngolo Diarra
*Mme Mireille Hamelin, chargée de la communication
*Chargé de mission Bathily Amadou Birama
Conseillers:
*Kane Harouna
*Hamdou Rabby SY










AVOMM

L’Institution de l’Opposition Démocratique



"Le 19 octobre 2008, après la nomination par le Haut Conseil d'Etat de cadres du RFD à de hauts postes de responsabilité, l'AJD/MR déclarait immédiatement ne plus être engagée par cette plateforme devenue caduque, non sans avoir écouté les explications données par le Président Ahmed de cette connivence avec la junte qui étaient loin d'être convaincantes"



L’Institution de l’Opposition Démocratique
Depuis sa création à nos jours, l’Institution de l’Opposition Démocratique (IOD), dirigée par le président du RFD, en tant que chef de file de l’Opposition à l’issue des présidentielles de 2007, n’a connu que des vies tumultueuses.

Il y a eu le bras de fer entre l’Union des Forces de Progrès (UFP) et l’Alliance pour la Justice et la Démocratique/ Mouvement de la Rénovation (AJD/MR) au sujet du poste de Secrétaire général.

Bras de fer gagné par l’UFP et qui entraînera même une modification des textes instituant l’Institution du Chef de file de l’Opposition Démocratique, avant que ce parti de Ould Maouloud ne rejoigne avec Tawassoul, le 3 juillet 2008, le camp de la Majorité présidentielle lors de la formation du premier gouvernement de Yahya Ould Ahmed El Waghef.

Quant au Parti Mauritanien de l’Union et du Changement (HATEM) et son président Saleh Ould Hanana, ils auront quitté le navire de l’Institution de l’Opposition pour se ranger dans le sens du «Mouvement de la rectification» avec la proclamation du premier gouvernement de Dr Moulaye Ould Mohamed Laghdaf.

Pour la COD, l’APP intègre l’IOD.

«L’unité de l’opposition est le bon choix, nous sommes conscients de l’ampleur du danger qui guette la Mauritanie. Pour cette raison, notre parti, l’APP a pris la décision d’intégrer l’Institution de l’Opposition Démocratique dirigée par le Président Ahmed Ould Daddah », avait déclaré, mercredi dernier, au siège de son parti, l’Alliance Populaire Progressiste (APP), le président Messaoud Ould Boulkheir lors de la cérémonie de mise en place des nouvelles structures dirigeantes de la Coordination de l’Opposition Démocratique (COD).

Mieux, il dira deux mots de réconfort au sujet de son rapport avec le chef de file de l’Opposition démocratique: «Entre le président Ahmed et moi, il n’y a pas l’ombre d’une mésentente. Nous sommes en parfaite symbiose. C’est d’ailleurs le Président du RFD lui-même qui a proposé de me confier la présidence de la COD ».

Si, désormais, «il n’y a pas l’ombre d’une mésentente» entre le président en exercice de la COD, Messaoud Ould Boulkheir et le Chef de file de l’Institution de l’Opposition Démocratique (IOD), Ahmed Ould Daddah à croire au premier, tel ne serait pas présentement le cas entre ce dernier et le président de l’Alliance pour la Justice et la Démocratie / Mouvement pour la Rénovation (AJD/MR), Ibrahima Moctar Sarr, par ailleurs, Secrétaire général de l’IOD.

C’est du moins ce qui ressort des propos du directeur de communication de l’AJD/MR, M. Ciré Kane qui rappellera en substance : «L’AJD/MR est encore membre de l’Institution du Chef de File de l’Opposition Démocratique (ICFOD). Et de préciser : «Je suis le responsable de la communication de l’Institution (L’Institution de l’Opposition Démocratique, ndlr) et on ne m’a pas encore officiellement congédié.

Mais c’est le froid glacial entre Ahmed Daddah, Président de l’IOD et Ibrahima Sarr, Secrétaire Général de l’IOD depuis la dénonciation par l’AJD/MR de la plate-forme, en 35 points de l’Opposition Démocratique (AJD/MR-HATEM-MDD-RFD), rendue publique le 25 août 2008 lors d’une conférence de presse où l’absence de HATEM qui, entre temps, s’était rallié au HCE, avait été remarquée».

Le désaccord du Chef de file avec ‘’son’’ Secrétaire général de l’IOD L’on se souvient, en effet que la toute première conférence de presse de l’Institution de l’Opposition Démocratique s’était tenue, le 25 août 2008, à son siège sis à Tevragh-Zeina. Ce jour-là, le président du Parti Mauritanien de l’Union et du Changement (HATEM), Saleh Ould Mohamedou Ould Hanana avait brillé par son absence et le chef de file, Ahmed Ould Daddah n’était entouré que de son secrétaire général, Ibrahima Moctar Sarr et du président du Mouvement de Démocratie Directe (MDD).

Les trois leaders politiques avaient unanimement laissé entendre au sujet de leur participation au premier gouvernement de Dr Moulaye Ould Mohamed Laghdaf que «leurs conditions, pour accompagne la 2ème transition démocratique, n’avaient pas été satisfaites par le Général Aziz ». Ainsi, le gouvernement a été formé sans les formations politiques de l’AJD/MR, du MDD et du RFD. Jusque-là, le chef de file de l’Institution de l’Opposition Démocratique entretenait de très bonnes relations avec son secrétaire général.

Mais, leur rapport a commencé à se gâter après la nomination, le 19 octobre 2008, par le Haut Conseil d’Etat (HCE), des cadres du RFD à de hauts postes de responsabilité.

Comme en témoigne une source proche de l’AJD/MR : «Le 19 octobre 2008, après la nomination par le Haut Conseil d'Etat de cadres du RFD à de hauts postes de responsabilité, l'AJD/MR déclarait immédiatement ne plus être engagée par cette plate-forme devenue caduque, non sans avoir écouté les explications données par le Président Ahmed de cette connivence avec la junte qui étaient loin d'être convaincantes».

Pour creuser encore le fossé de la discorde, l’AJD/MR et son leader se sont lancés dans la course à l’élection présidentielle du 6 juin 2009, finalement reportée au 18 juillet 2009 après la signature de l’Accord Cadre de Dakar par les trois parties protagonistes (FNDD, RFD et HCE).

Pour Ciré Kane, «la candidature de son mentor politique à la présidentielle du 6/6/2009 a crispé davantage les relations déjà difficiles entre les présidents Sarr et Daddah, paralysant du coup le fonctionnement de l’IOD (Institution du chef de file de l’Opposition Démocratique).

Ahmed Ould Daddah, «dans le meilleur des mondes possibles» ?

Quant au président du Rassemblement des Forces Démocratiques (RFD), Ahmed Ould Daddah, «il n’y a pas de problème entre les leaders de l’opposition en général et en particulier entre les responsables politiques de l’Institution de l’Opposition Démocratique». Par ailleurs, il s’est réjoui de la venue du président de l’Assemblée nationale au sein de «son» institution. Mieux, il a dit : «La présence du président Messaoud Ould Boulkheir permettra à l’Institution de l’Opposition Démocratique de prendre sa vitesse de croisière».

Il faut noter que depuis le renversement du président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi et le score d’Ahmed devancé par Messaoud à l’issue de la présidentielle de juillet 2009, nombreux sont nos compatriotes qui s’interrogent si l’Institution de l’Opposition Démocratique a toujours sa raison d’être encore?

Camara Mamady


Source: Nouakchott Info
Jeudi 25 Février 2010 - 03:34
Jeudi 25 Février 2010 - 04:12
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1.Posté par Taarikh le 25/02/2010 11:12
Le peuple Mauritanien ne croit plus à Ahmed et Messoud depuis leur soutien des plus grands voleurs et ceux qui ont empêché le développement de notre pays. Je me demande qu'est-ce que AJD peut faire avec ces caméléons. Messoud avait trahi l'opposition en 2007 auprès de SIDI Ould Cheikh, Ahmed pour sa soif de vouloir d'être président , nous remarqué que sa campagne du 18 juillet a été financé par ces mêmes voleurs qu'il défend corps et âme, Hatem n'existe plus, UFP qui comporte 5 membres n'ont jamais été clair pour leur prise de position? Qui pourrons-nous croire ? Il n ya que AJD qui est resté digne depuis le faux Président Sidi O Cheikh qui a été amené par les militaires et qui l'ont déposé comme un sac de riz avarié. COD c'est du bidon, il ne pourra plus trompé personne, ce n'est que des opportunistes affamés.

Ahmed et Messoud se détestent cordialement, leur fausse reconciliation n'ira pas loin et nous savons pourquoi. Ahmed le raciste n'acceptera pas Messoud comme Président , la preuve ce sont les élections du 18 Juillet. Pourquoi Ahmed s'est présenté ? S'il se soucie de l'avenir de notre paus, pourquoi l'opposition n'avait laissé Messoud seul se présenter ? Nous ne sommes pas dupes Ahmed le raciste et esclavagiste ne veut pas de Messoud et ça ne marchera jamais, ils sont les meilleurs ennemis du monde. Ils sont vraiment honnêtes , ils doivent s'effacer de la scène politique qu'ils ont pourri à cause de leur opportunisme.

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