
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a offert un laboratoire mobile de contrôle de qualité de l’eau potable à l’Institut national de recherche en santé publique en Mauritanie (INRSP), a constaté APA mercredi à Nouakchott.
Ce laboratoire porté sur un véhicule 4/4 de marque Land-Rover Defender 110 (Station Spécifications adaptées à des conditions extrêmes Moteur diesel 2.4 litres (111 bhp)) est capable de faire des analyses microbiologiques et physico-chimiques sur le terrain, selon les descriptions fournies par l’OMS.
D’une autonomie de 250 tests qu’il peut réaliser sur le terrain avec des résultats immédiats pour les analyses chimiques et 24 heures pour les analyses microbiologiques, le laboratoire est facile d’entretien et permet aux autorités sanitaires d’intervenir dans les situations d’urgence et en cas de catastrophe.
Il est acquis dans le cadre des fonds MGD-Fonds financés par le Royaume d’Espagne pour accélérer l’atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD), pour un coût de 90.000 dollars des USA.
Le labo a été remis mercredi à Nouakchott par le Dr. Lamine-Cissé Sarr, représentant de l’OMS en Mauritanie.
Il permettra de limiter les dégâts sanitaires découlant de la consommation des eaux impropres, a indiqué M. Sarr à cette occasion. Il a ajouté que 884 millions de personnes dans le monde n’ont pas accès à l’eau potable et que 1,5 million d’enfants meurent chaque année suite à des maladies transmises par l’eau.
Parmi les maladies liées à l’eau impropre, on peut citer les diarrhées, le choléra et la bilharziose en plus de nombreuses infections dermiques.
Source: APA
Ce laboratoire porté sur un véhicule 4/4 de marque Land-Rover Defender 110 (Station Spécifications adaptées à des conditions extrêmes Moteur diesel 2.4 litres (111 bhp)) est capable de faire des analyses microbiologiques et physico-chimiques sur le terrain, selon les descriptions fournies par l’OMS.
D’une autonomie de 250 tests qu’il peut réaliser sur le terrain avec des résultats immédiats pour les analyses chimiques et 24 heures pour les analyses microbiologiques, le laboratoire est facile d’entretien et permet aux autorités sanitaires d’intervenir dans les situations d’urgence et en cas de catastrophe.
Il est acquis dans le cadre des fonds MGD-Fonds financés par le Royaume d’Espagne pour accélérer l’atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD), pour un coût de 90.000 dollars des USA.
Le labo a été remis mercredi à Nouakchott par le Dr. Lamine-Cissé Sarr, représentant de l’OMS en Mauritanie.
Il permettra de limiter les dégâts sanitaires découlant de la consommation des eaux impropres, a indiqué M. Sarr à cette occasion. Il a ajouté que 884 millions de personnes dans le monde n’ont pas accès à l’eau potable et que 1,5 million d’enfants meurent chaque année suite à des maladies transmises par l’eau.
Parmi les maladies liées à l’eau impropre, on peut citer les diarrhées, le choléra et la bilharziose en plus de nombreuses infections dermiques.
Source: APA