
Suite aux accusations portées contre lui sur le site de AVOMM.com Sidibé Abou, secrétaire général de COVIRE apporte ces précisions
1°) Je n’ai jamais servi à Rosso, comme l’affirment les auteurs du document publié sur avomm.com. En janvier 1990, j’ai été envoyé, manu militari à Ouad Naga où je suis resté quelques mois avant d’être redéployé à Néma d’où j’ai été arrêté en novembre 1990. Dès lors comment puis-je prendre part à l’arrestation et aux expulsions des Peulhs du Trarza ?
Ceux qui ont proféré ces accusations font preuve de mauvaise foi ; ils auraient dû, pour habiller leurs mensonges, s’informer auprès de l’état-major de la gendarmerie pour connaître ma position.
Les auteurs de ces accusations, de ces calomnies sont connus, leurs méthodes et leurs styles trahissent leurs idées. Ils s’agit de gens ayant mal digéré la défaite qu’ils essuyé depuis le début du processus de règlement du passif humanitaire.
2°) Les auteurs de ces accusations diffamatoires émanent d’un groupe de gens opposés au règlement consensuel du passif humanitaire, de politiciens véreux, totalement déboussolés et des mécontents à la recherche d’éventuels positionnements. Ces colporteurs de mensonges sont donc manipulés et travaillent à la solde d’une clique qui sera bientôt démasquée.
3°) Au-delà de ma personne, les accusations visent à jeter du discrédit sur le collectif des victimes de la répression (COVIRE), la principale organisation qui co-gère le règlement consensuel du passif humanitaire. Il y a eu certes un retard dans le règlement du passif, nous ne le nions pas au COVIRE, mais cela n’ôte en rien la volonté du président de la République de tourner définitivement cette douloureuse page sombre de l’histoire de notre pays.
C’est faire preuve de mauvaise foi que de ne pas reconnaître le grand pas franchi dans le processus de règlement de lourd et complexe dossier.
4°) Je porterais plainte contre les auteurs de ces accusations diffamatoires pour que justice soit faite. J’invite messieurs Alassane Hamidou Diallo, Djiby Diallo et Modiba Sall, auteurs des accusations à sortir de l’ombre pour un débat contradictoire.
source: Le calame
1°) Je n’ai jamais servi à Rosso, comme l’affirment les auteurs du document publié sur avomm.com. En janvier 1990, j’ai été envoyé, manu militari à Ouad Naga où je suis resté quelques mois avant d’être redéployé à Néma d’où j’ai été arrêté en novembre 1990. Dès lors comment puis-je prendre part à l’arrestation et aux expulsions des Peulhs du Trarza ?
Ceux qui ont proféré ces accusations font preuve de mauvaise foi ; ils auraient dû, pour habiller leurs mensonges, s’informer auprès de l’état-major de la gendarmerie pour connaître ma position.
Les auteurs de ces accusations, de ces calomnies sont connus, leurs méthodes et leurs styles trahissent leurs idées. Ils s’agit de gens ayant mal digéré la défaite qu’ils essuyé depuis le début du processus de règlement du passif humanitaire.
2°) Les auteurs de ces accusations diffamatoires émanent d’un groupe de gens opposés au règlement consensuel du passif humanitaire, de politiciens véreux, totalement déboussolés et des mécontents à la recherche d’éventuels positionnements. Ces colporteurs de mensonges sont donc manipulés et travaillent à la solde d’une clique qui sera bientôt démasquée.
3°) Au-delà de ma personne, les accusations visent à jeter du discrédit sur le collectif des victimes de la répression (COVIRE), la principale organisation qui co-gère le règlement consensuel du passif humanitaire. Il y a eu certes un retard dans le règlement du passif, nous ne le nions pas au COVIRE, mais cela n’ôte en rien la volonté du président de la République de tourner définitivement cette douloureuse page sombre de l’histoire de notre pays.
C’est faire preuve de mauvaise foi que de ne pas reconnaître le grand pas franchi dans le processus de règlement de lourd et complexe dossier.
4°) Je porterais plainte contre les auteurs de ces accusations diffamatoires pour que justice soit faite. J’invite messieurs Alassane Hamidou Diallo, Djiby Diallo et Modiba Sall, auteurs des accusations à sortir de l’ombre pour un débat contradictoire.
source: Le calame