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Le bureau exécutif de l'AVOMM

"L'important n'est pas ce qu'on fait de nous, mais ce que nous faisons nous-mêmes de ce qu'on a fait de nous." Jean-Paul Sartre

"L'Association d'aides aux veuves et aux orphelins de mauritanie (AVOMM) qui nous rassemble, a été créée le 25/12/95 à PARIS par d'ex-militaires mauritaniens ayant fui la terreur, l'oppression, la barbarie du colonel Mawiya o/ sid'ahmed Taya ......
Ces rescapés des geôles de ould Taya, et de l'arbitraire, décidèrent, pour ne jamais oublier ce qui leur est arrivé, pour garder aussi la mémoire des centaines de martyrs, de venir en aide aux veuves, aux orphelins mais aussi d'engager le combat contre l'impunité décrétée par le pouvoir de Mauritanie."
E-mail : avommavomm@yahoo.fr

Bureau exécutif

*Ousmane SARR, président
*Demba Niang, secrétaire général
*Secrétaire général Adjt; Demba Fall
*Alousseyni SY, Chargé des relations extérieures
*Mme Rougui Dia, trésorière
*Chargé de l’organisation Mariame Diop
*adjoint Ngolo Diarra
*Mme Mireille Hamelin, chargée de la communication
*Chargé de mission Bathily Amadou Birama
Conseillers:
*Kane Harouna
*Hamdou Rabby SY










AVOMM

La guerre est déclarée


Messaoud Ould Boulkheir le 17 avril 2010
Messaoud Ould Boulkheir le 17 avril 2010
Presque un an après l’accord de Dakar, les crispations entre le camp du chef de l’État et l’opposition resurgissent et paralysent la vie politique. Les premiers accusent les seconds de "mener une campagne mensongère" et de "raviver la question ethnique".

Les Mauritaniens savaient déjà que Messaoud Ould Boulkheir est une grande gueule, mais ils n’imaginaient pas qu’il irait jusque-là. « Notre programme n’est plus le dialogue, notre programme n’est rien d’autre que le départ de Ould Abdelaziz, la chute de son régime », s’est emporté le président de l’Assemblée nationale, le 17 avril. Un anathème contre le chef de l’État lancé en public, à Nouakchott, au cours d’un meeting au programme explicite : « Échecs et duperies du régime. » Ce rassemblement était organisé par la Coordination de l’opposition démocratique (COD), dont « Messaoud » a assuré la présidence tournante jusqu’au 19 avril, date à laquelle il a laissé la place à Ahmed Ould Daddah.

Saute d’humeur du leader de l’Alliance populaire progressiste (APP), connu pour sa verve souvent acide ? Autres membres phares de la COD, le Rassemblement des forces démocratiques (RFD) d’Ahmed Ould Daddah et l’Union des forces de progrès (UFP) de Mohamed Ould Maouloud cautionnent la déclaration de guerre.

En fait, Messaoud Ould Boulkheir a réagi à un discours prononcé par le chef de l’État un mois plus tôt: « Nous n’allons pas partager le pouvoir avec qui que ce soit et nous n’allons céder sur rien à ce sujet », avait-il lancé, avant d’accabler l’opposition de tous les maux. Pour cette dernière, c’est une provocation.

L’affrontement politique par diatribes interposées ramène la Mauritanie en arrière. Il y a un an, les deux camps luttaient déjà l’un contre l’autre : celui de la COD – baptisé, à l’époque, Front national de défense de la démocratie – exigeait le retour à l’ordre démocratique et le départ d’« Aziz », arrivé au pouvoir par un coup d’État en août 2008 ; celui d’Aziz travaillait sa légitimité auprès des masses, tout en décriant l’opposition.

Mais, depuis, un accord signé à Dakar en juin 2009 est censé avoir réconcilié les deux parties autour de la tenue d’une élection présidentielle – organisée en juillet 2009 et remportée par Aziz – et du principe d’un « dialogue national inclusif ».

L’opposition a toujours contesté la mise en œuvre de la première clause, ayant boycotté la cérémonie d’investiture du chef de l’État après avoir dénoncé des fraudes électorales. Quant à la seconde, elle considère qu’elle n’est pas appliquée. Elle argue notamment qu’Aziz ne l’a jamais reçue, alors que la loi sur le statut de l’opposition prévoit des consultations régulières avec le président de la République. Programmer la chute d’un régime qu’elle juge non démocratique est-il la solution ? C’est sur ce prétexte qu’Aziz avait renversé son prédécesseur il y a bientôt deux ans. Stratégie ou autisme, trois jours après, son gouvernement n’avait toujours pas réagi à l’annonce de Messaoud.



Source: jeuneafrique
Mardi 27 Avril 2010 - 15:43
Mardi 27 Avril 2010 - 16:03
INFOS AVOMM
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1.Posté par hdthiam le 27/04/2010 18:38
Censuré pour paroles très très vulgaires en anglais.

2.Posté par gopen kecce le 27/04/2010 18:39
les mauritaniens nnt rien compris a la democratie laisser les au moins le temps de travailler ou dans le cas contraire de bouffer a koi servirai un depart de aziz a la mauritanie je ne suis pas suporter de aziz mais je veux linteret de ce pays basta y en a marre de ces apposants ki nappellent ka la destabilisition pour leur propre soif de pouvoir

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