
Un document stratégique organisant l’action des partis de la majorité a été signé dimanche soir à Nouakchott par les 11 formations soutenant la politique du Président Mohamed Ould Abdel Aziz, selon un communiqué de presse parvenu à l’APA à Nouakchott.
Les partis concernés sont : l’Union pour la République, l’Union pour la Démocratie et le Progrès, l’Union pour le Changement en Mauritanie (Hatem), le Parti du regroupement national des jeunes, le Parti républicain pour la démocratie et le renouveau, le Renouveau Démocratique, le parti El Vadila, le parti de la Concertation démocratique, le Parti pour la justice et le développement, le mouvement pour la Refondation et le Parti démocratique populaire.
Le document se compose de deux axes dont le premier concerne la contribution à l’exécution du programme électoral du Président Mohamed Ould Abdel Aziz, le second ayant trait à l’élargissement de la base de la coalition par le biais de nouvelles consultations avec les partis n’appartenant pas à celle-ci.
Le bureau de la coalition indique avoir examiné l’état de la scène politique nationale", précisant que dans ce contexte il déclare son attachement au dialogue comme méthode et comportement avec toutes les forces de l’action politique en conformité avec l’esprit de la Constitution et les normes politiques, relève le communiqué.
Il souligne, par ailleurs, que "l’unité nationale doit être maintenue au dessus des tiraillements politiques", déclarant condamner "la tentative désespérée de certains partis d’opposition qui interprètent faussement les déclarations faites par le gouvernement et qui ravivent les considérations des appartenances ethniques".
Il félicite, en outre, "le peuple mauritanien pour sa maturité et les étudiants en particulier pour leur sens de la retenue ".
L’Université de Nouakchott avait été le théâtre de manifestations en fin mars dernier suite aux propos du Premier ministre Moulaye Ould Mohamed Laghdaf, sur l’objectif gouvernemental de « généralisation de l’arabe comme langue de travail, d’échanges administratifs et de recherche scientifique ».
Ces déclarations avaient suscité l’inquiétude des étudiants francophones qui voyaient en ce projet leur future exclusion du marché étatique de l’emploi.
Source: APA
Les partis concernés sont : l’Union pour la République, l’Union pour la Démocratie et le Progrès, l’Union pour le Changement en Mauritanie (Hatem), le Parti du regroupement national des jeunes, le Parti républicain pour la démocratie et le renouveau, le Renouveau Démocratique, le parti El Vadila, le parti de la Concertation démocratique, le Parti pour la justice et le développement, le mouvement pour la Refondation et le Parti démocratique populaire.
Le document se compose de deux axes dont le premier concerne la contribution à l’exécution du programme électoral du Président Mohamed Ould Abdel Aziz, le second ayant trait à l’élargissement de la base de la coalition par le biais de nouvelles consultations avec les partis n’appartenant pas à celle-ci.
Le bureau de la coalition indique avoir examiné l’état de la scène politique nationale", précisant que dans ce contexte il déclare son attachement au dialogue comme méthode et comportement avec toutes les forces de l’action politique en conformité avec l’esprit de la Constitution et les normes politiques, relève le communiqué.
Il souligne, par ailleurs, que "l’unité nationale doit être maintenue au dessus des tiraillements politiques", déclarant condamner "la tentative désespérée de certains partis d’opposition qui interprètent faussement les déclarations faites par le gouvernement et qui ravivent les considérations des appartenances ethniques".
Il félicite, en outre, "le peuple mauritanien pour sa maturité et les étudiants en particulier pour leur sens de la retenue ".
L’Université de Nouakchott avait été le théâtre de manifestations en fin mars dernier suite aux propos du Premier ministre Moulaye Ould Mohamed Laghdaf, sur l’objectif gouvernemental de « généralisation de l’arabe comme langue de travail, d’échanges administratifs et de recherche scientifique ».
Ces déclarations avaient suscité l’inquiétude des étudiants francophones qui voyaient en ce projet leur future exclusion du marché étatique de l’emploi.
Source: APA