
Cet attentat on le savait inévitable. On sait que depuis plus d'une décennie, des jeunes mauritaniens flirtent avec ces mouvements extrémistes. On a eu de leurs nouvelles en Afghanistan, en Algérie et, même, au Mali voisin.
On sait, aussi, que pour les autres pays les choses se sont produites de la même manière : une expérience à l'étranger puis un retour retentissant dans les pays d'origine. Maintenant, c'est notre tour. Et, pour nos kamikazes en herbes, ce malheureux retour au bercail, tant craint, est arrivé.
Devant cette réalité on doit agir. Et, cela va de soi, les condamnations ne suffisent pas. Il faut réagir d'une façon réfléchie et concordante. Autrement dit, pour la sécurité de notre pays, celle de nos citoyens et nos hôtes, il faut livrer bataille. Et celle-ci n'est pas que sécuritaire.
Toute approche exclusivement sécuritaire a, en effet, montré ses limites, voire ses insuffisances. Cette bataille est plutôt idéologique. Juridique. Textuelle. Verset contre verset. Parole contre parole. Hadith contre Hadith. Tradition contre Tradition. Bref argument contre argument. Et, de ces derniers, ces extrémistes en ont pas mal.
C'est ici que nos Oulémas, nos Imams, nos autorités religieuses doivent monter au créneau. La bataille, après tout, est la leur. Ils doivent affronter ce discours d'excommunication, d'exclusion et de permissivité. C'est ici, et uniquement ici, qu'ils sont les plus utiles à leur peuple, à leur pays ainsi qu'à leur religion.
Ils doivent, en fin, prendre exemple sur leurs collègues yéménites, égyptiens qui ont su s'organiser, pour affronter dans le texte, avec beaucoup de succès, les arguments de ces derniers nihilistes du temps moderne.
En un mot, la position, de combat, adéquate de lutte contre cette calamité est sous la forme d'un triangle isocèle dont la prévention et la sécurité représentent les deux cotés. Quant à sa base, elle est bien la lutte idéologique. C'est idéologiquement, en effet, que la bataille, la vraie, doit-être mené
source : cide
via cridem
On sait, aussi, que pour les autres pays les choses se sont produites de la même manière : une expérience à l'étranger puis un retour retentissant dans les pays d'origine. Maintenant, c'est notre tour. Et, pour nos kamikazes en herbes, ce malheureux retour au bercail, tant craint, est arrivé.
Devant cette réalité on doit agir. Et, cela va de soi, les condamnations ne suffisent pas. Il faut réagir d'une façon réfléchie et concordante. Autrement dit, pour la sécurité de notre pays, celle de nos citoyens et nos hôtes, il faut livrer bataille. Et celle-ci n'est pas que sécuritaire.
Toute approche exclusivement sécuritaire a, en effet, montré ses limites, voire ses insuffisances. Cette bataille est plutôt idéologique. Juridique. Textuelle. Verset contre verset. Parole contre parole. Hadith contre Hadith. Tradition contre Tradition. Bref argument contre argument. Et, de ces derniers, ces extrémistes en ont pas mal.
C'est ici que nos Oulémas, nos Imams, nos autorités religieuses doivent monter au créneau. La bataille, après tout, est la leur. Ils doivent affronter ce discours d'excommunication, d'exclusion et de permissivité. C'est ici, et uniquement ici, qu'ils sont les plus utiles à leur peuple, à leur pays ainsi qu'à leur religion.
Ils doivent, en fin, prendre exemple sur leurs collègues yéménites, égyptiens qui ont su s'organiser, pour affronter dans le texte, avec beaucoup de succès, les arguments de ces derniers nihilistes du temps moderne.
En un mot, la position, de combat, adéquate de lutte contre cette calamité est sous la forme d'un triangle isocèle dont la prévention et la sécurité représentent les deux cotés. Quant à sa base, elle est bien la lutte idéologique. C'est idéologiquement, en effet, que la bataille, la vraie, doit-être mené
source : cide
via cridem