
Nouakchott, 31 mars (AMI) - Le Parquet de Nouakchott a supervisé, mercredi en début d'après midi à 45 kilomètres au nord de la capitale, l'incinération de 9,5 tonnes de chanvre indien.
L'incinération a eu lieu en présence des ministres de la justice, de l'intérieur et de la décentralisation, de la défense nationale et de la communication et des relations avec le Parlement, du procureur général près la Cour suprême, du procureur général près la Cour d'appel de Nouakchott et du directeur du Génie militaire.
Selon M. Ahmed Ould Abdellahi Ould Mustapha, adjoint du procureur de la république, cette opération vient en application de l'ordonnance 46/010 du 30 mars 2010 du juge instruction au premier cabinet d'instruction au Tribunal régional de Nouakchott chargé des crimes du terrorisme, de la sûreté d'Etat et des crimes militaires. Elle a été effectuée " après l'achèvement des dispositions juridiques nécessaires, à savoir la conservation de la quantité de drogue sous une garde serrée jusqu'à la fin de l'enquête préliminaire avec les personnes arrêtées puis son transfert au juge compétent qui a ordonné sa destruction après avoir saisi un échantillon en guise de preuve ", a-t-il précisé.
L'adjoint du procureur de la république a ajouté que cette quantité a été soumise à l'examen stipulé par la loi dans les laboratoires du Bureau central de lutte contre les stupéfiants et les substances psychotropes pour l'identification du type de drogue.
La valeur financière de la quantité incinérée est estimée à 9,5 milliards d'ouguiyas.
L'incinération a eu lieu en présence du commandant du deuxième bureau à l'état major de l'Armée nationale, du wali de Nouakchott, du directeur de la Police judiciaire et de la sécurité publique, du commandant de la Brigade de gendarmerie nationale, du directeur du Bureau central de lutte contre les stupéfiants et les substances psychotropes, de parlementaires et de présidents de certains partis politiques et d'un certain nombre de représentants de media nationaux et internationaux.
AMI
L'incinération a eu lieu en présence des ministres de la justice, de l'intérieur et de la décentralisation, de la défense nationale et de la communication et des relations avec le Parlement, du procureur général près la Cour suprême, du procureur général près la Cour d'appel de Nouakchott et du directeur du Génie militaire.
Selon M. Ahmed Ould Abdellahi Ould Mustapha, adjoint du procureur de la république, cette opération vient en application de l'ordonnance 46/010 du 30 mars 2010 du juge instruction au premier cabinet d'instruction au Tribunal régional de Nouakchott chargé des crimes du terrorisme, de la sûreté d'Etat et des crimes militaires. Elle a été effectuée " après l'achèvement des dispositions juridiques nécessaires, à savoir la conservation de la quantité de drogue sous une garde serrée jusqu'à la fin de l'enquête préliminaire avec les personnes arrêtées puis son transfert au juge compétent qui a ordonné sa destruction après avoir saisi un échantillon en guise de preuve ", a-t-il précisé.
L'adjoint du procureur de la république a ajouté que cette quantité a été soumise à l'examen stipulé par la loi dans les laboratoires du Bureau central de lutte contre les stupéfiants et les substances psychotropes pour l'identification du type de drogue.
La valeur financière de la quantité incinérée est estimée à 9,5 milliards d'ouguiyas.
L'incinération a eu lieu en présence du commandant du deuxième bureau à l'état major de l'Armée nationale, du wali de Nouakchott, du directeur de la Police judiciaire et de la sécurité publique, du commandant de la Brigade de gendarmerie nationale, du directeur du Bureau central de lutte contre les stupéfiants et les substances psychotropes, de parlementaires et de présidents de certains partis politiques et d'un certain nombre de représentants de media nationaux et internationaux.
AMI