
Le Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz a souligné qu'il regrette qu'un homme tente de se suicider ou de se brûler relevant que le cas mauritanien est différent de ceux des autres pays parce qu'il s'agit d'un homme d'affaire et si cela signifie quelque chose cela signifie le découragement de certains hommes d'affaire par rapport à la fin définitive des pratiques malsaines.
Le Président de la République a indiqué dans une interview à l'AMI en marge de sa visite mercredi au centre de santé de Teyarett que l'opposition a le droit d'évaluer la situation et de présenter sa vision des choses dans le sens qui la sert.
Il a exprimé sa satisfaction par rapport à l'existence d'une opposition qui a un programme et une terminologie qui critique, qui parle de la lutte contre la gabegie, de la pauvreté ainsi que des droits du citoyen ce qui implique le progrès du pays remerciant l'opposition pour son souci des affaires du pays.
Le Président de la République a réaffirmé que la situation de la Mauritanie est différente de celle des autres pays parce qu'elle a vécu 50 ans dans la gabegie et le laisser aller dans le cadre d'une mauvaise vision dont nous voulons tirer le pays.
Il a fait remarquer que "personne ne peut ignorer les problèmes posés comme ni ne peut ignorer les mesures prises pour les régler et la conscience de notre peuple à cet effet. Nous sommes engagés dans la politique de réformes et rien ne pliera notre volonté de lutter contre la gabegie et contre tous les facteurs qui ont entravé, dans le passé, le développement du pays car il n'y a absolument pas possibilité de retour en arrière".
Le Chef de l'Etat a encore relevé qu'"en dépit du changement intervenu en 2005 où des tentatives de lui porter obstacle ont été signalées pour nous faire retourner en arrière, nous sommes déterminés aujourd'hui à aller de l'avant avec la Mauritanie et son peuple pour le meilleur.
Les choses s'améliorent et les conditions de notre peuple aussi. Le seul bénéficiaire du changement est la frange qui a souffert de la marginalisation, de l'exclusion et des privations au cours de longues décennies et s'il y a des gens qui ne sont pas satisfaits de cette situation, ils ne font pas partie des pauvres ni des marginalisés".
Evoquant les mesures prises pour atténuer les effets de la hausse mondiale des prix et l'appréciation qu'en fait l'opposition, le Président de la République a dit que l'opposition a le droit d'agir comme elle le fait en orientant l'opinion, en évaluant la vie nationale. Elle a également le droit d'avoir une vision et des positions par rapport à cela à la lumière de ses intérêts.
Mais ce qui a été réalisé en Mauritanie et l'appui qui a été fait aux prix des matières de première nécessité par le gouvernement au profit direct du citoyen et non du commerçant" ne peut être ignoré.
Le Président de la République a poursuivi en disant: "si l'on regarde n'importe quelle denrée comme par exemple le sucre, le riz ou l'huile, nous allons nous rendre compte que les prix de ces matières ont augmenté sur le plan international de l'ordre de 30 à 40%.
La tonne de sucre a évolué de 600 dollars à 950 dollars. Cela est connu. Ce n'est pas nous qui avons augmenté les prix. L'Etat a pris la décision de baisser les prix et de les appuyer dans l'ordre de 30% mais cet appui n'est pas destiné aux commerçants.
Dans ce cadre, des boutiques ont été ouvertes dans tous les coins du pays pour vendre directement aux citoyens et garantir de ne pas orienter cela vers d'autres objectifs.
Le gouvernement a étudié cette situation et agi en conséquence. L'expérience de ces derniers mois en témoigne et les mesures appropriées ont été mises en oeuvre dans le cadre d'un plan parfaitement réussi".
Source: AMI
Le Président de la République a indiqué dans une interview à l'AMI en marge de sa visite mercredi au centre de santé de Teyarett que l'opposition a le droit d'évaluer la situation et de présenter sa vision des choses dans le sens qui la sert.
Il a exprimé sa satisfaction par rapport à l'existence d'une opposition qui a un programme et une terminologie qui critique, qui parle de la lutte contre la gabegie, de la pauvreté ainsi que des droits du citoyen ce qui implique le progrès du pays remerciant l'opposition pour son souci des affaires du pays.
Le Président de la République a réaffirmé que la situation de la Mauritanie est différente de celle des autres pays parce qu'elle a vécu 50 ans dans la gabegie et le laisser aller dans le cadre d'une mauvaise vision dont nous voulons tirer le pays.
Il a fait remarquer que "personne ne peut ignorer les problèmes posés comme ni ne peut ignorer les mesures prises pour les régler et la conscience de notre peuple à cet effet. Nous sommes engagés dans la politique de réformes et rien ne pliera notre volonté de lutter contre la gabegie et contre tous les facteurs qui ont entravé, dans le passé, le développement du pays car il n'y a absolument pas possibilité de retour en arrière".
Le Chef de l'Etat a encore relevé qu'"en dépit du changement intervenu en 2005 où des tentatives de lui porter obstacle ont été signalées pour nous faire retourner en arrière, nous sommes déterminés aujourd'hui à aller de l'avant avec la Mauritanie et son peuple pour le meilleur.
Les choses s'améliorent et les conditions de notre peuple aussi. Le seul bénéficiaire du changement est la frange qui a souffert de la marginalisation, de l'exclusion et des privations au cours de longues décennies et s'il y a des gens qui ne sont pas satisfaits de cette situation, ils ne font pas partie des pauvres ni des marginalisés".
Evoquant les mesures prises pour atténuer les effets de la hausse mondiale des prix et l'appréciation qu'en fait l'opposition, le Président de la République a dit que l'opposition a le droit d'agir comme elle le fait en orientant l'opinion, en évaluant la vie nationale. Elle a également le droit d'avoir une vision et des positions par rapport à cela à la lumière de ses intérêts.
Mais ce qui a été réalisé en Mauritanie et l'appui qui a été fait aux prix des matières de première nécessité par le gouvernement au profit direct du citoyen et non du commerçant" ne peut être ignoré.
Le Président de la République a poursuivi en disant: "si l'on regarde n'importe quelle denrée comme par exemple le sucre, le riz ou l'huile, nous allons nous rendre compte que les prix de ces matières ont augmenté sur le plan international de l'ordre de 30 à 40%.
La tonne de sucre a évolué de 600 dollars à 950 dollars. Cela est connu. Ce n'est pas nous qui avons augmenté les prix. L'Etat a pris la décision de baisser les prix et de les appuyer dans l'ordre de 30% mais cet appui n'est pas destiné aux commerçants.
Dans ce cadre, des boutiques ont été ouvertes dans tous les coins du pays pour vendre directement aux citoyens et garantir de ne pas orienter cela vers d'autres objectifs.
Le gouvernement a étudié cette situation et agi en conséquence. L'expérience de ces derniers mois en témoigne et les mesures appropriées ont été mises en oeuvre dans le cadre d'un plan parfaitement réussi".
Source: AMI