
La présence d'un fourgon cellulaire, d'un commissaire de police, d'un juge de paix et d'un avocat embauché par Jean-Claude Duvalier, à l'hôtel Karibe, ce matin, à Pétionville, alimente les rumeurs de plus en plus persistantes voulant que l'ex-dictateur soit arrêté sous peu.
De nombreux policiers haïtiens, dont des membres de l'escouade tactique, ainsi que des policiers étrangers travaillant sous l'égide de l'ONU sont aussi sur place. Un fourgon cellulaire a été amené devant l'entrée vers 10h30.
«Je suis spectateur comme vous. Ce qui est sûr c'est qu'il faut respecter les règles du jeu démocratique», a dit vers 11h l'un des conseillers de l'ex-dictateur et ancien ambassadeur, Henri-Robert Sterlin.
Plus tôt ce matin, un avocat très connu en Haïti, Reynold Georges, a débarqué à l'hôtel à la demande de «Bébé Doc», 59 ans. «Jean-Claude vient de m'appeler. Il m'a demandé de venir pour lui prodiguer des conseils juridiques. Je ne peux pas vous en dire plus pour l'instant», a-t-il dit aux nombreux journalistes locaux et internationaux massés devant le lobby.
Le commissaire de police de Pétionville, Vanel Lacroix, était aussi sur place. Il a quitté vers 10h sans faire de commentaires.
Jean-Claude Duvalier, surnommé «Bébé Doc, est rentré au pays dimanche en début de soirée, après 25 ans d'exil.
Le premier ministre d'Haïti, Jean-Max Bellerive, s'est dit mal à l'aise de la présence de l'ex-dictateur, lundi soir, en marge d'une conférence de presse. «Il y a des processus judiciaires qui impliquent l'État haïtien et M. Duvalier pour une histoire d'argent. Il y a des processus internationaux, il y a des processus en Haïti. Je répète, nous ne sommes pas à l'aise», a-t-il dit au Nouvelliste, quotidien d'Haïti.
Source: cyberpresse
De nombreux policiers haïtiens, dont des membres de l'escouade tactique, ainsi que des policiers étrangers travaillant sous l'égide de l'ONU sont aussi sur place. Un fourgon cellulaire a été amené devant l'entrée vers 10h30.
«Je suis spectateur comme vous. Ce qui est sûr c'est qu'il faut respecter les règles du jeu démocratique», a dit vers 11h l'un des conseillers de l'ex-dictateur et ancien ambassadeur, Henri-Robert Sterlin.
Plus tôt ce matin, un avocat très connu en Haïti, Reynold Georges, a débarqué à l'hôtel à la demande de «Bébé Doc», 59 ans. «Jean-Claude vient de m'appeler. Il m'a demandé de venir pour lui prodiguer des conseils juridiques. Je ne peux pas vous en dire plus pour l'instant», a-t-il dit aux nombreux journalistes locaux et internationaux massés devant le lobby.
Le commissaire de police de Pétionville, Vanel Lacroix, était aussi sur place. Il a quitté vers 10h sans faire de commentaires.
Jean-Claude Duvalier, surnommé «Bébé Doc, est rentré au pays dimanche en début de soirée, après 25 ans d'exil.
Le premier ministre d'Haïti, Jean-Max Bellerive, s'est dit mal à l'aise de la présence de l'ex-dictateur, lundi soir, en marge d'une conférence de presse. «Il y a des processus judiciaires qui impliquent l'État haïtien et M. Duvalier pour une histoire d'argent. Il y a des processus internationaux, il y a des processus en Haïti. Je répète, nous ne sommes pas à l'aise», a-t-il dit au Nouvelliste, quotidien d'Haïti.
Source: cyberpresse