
Des voix s’élèvent depuis quelques temps à Nouadhibou, capitale économique de la Mauritanie, contre la présence et l’emploi massif de la main d’œuvre étrangère au détriment des nationaux par les hommes d’affaires.
Pour apaiser cette situation, la ministre mauritanienne de la fonction publique et de la modernisation de l’administration, Mme Maty Mint Hamady a fait le déplacement samedi à Nouadhibou pour s’entretenir avec les hommes d’affaires et leur notifier la volonté du gouvernement de privilégier les nationaux dans le travail et de n’embaucher aucun étranger en situation irrégulière.
Cette démarche fait suite à des inspections opérées au sein des sociétés minières internationales opérant en Mauritanie, indexées pour le recrutement des étrangers dans des postes pour lesquelles des demandeurs mauritaniens postulent tous les jours.
Pour les employeurs, la main d’œuvre locale est la moins qualifiée et la plus chère par rapport à celle de l’extérieur, ce qui à leurs yeux justifient ce choix.
Pour certains habitants de Nouadhibou relayée par les syndicats et certains médias locaux, les émigrés, qui transitaient auparavant par Nouadhibou à destination de l’Europe s’installent maintenant dans cette ville, créant en quelques sorte une force concurrence sur l’emploi et une pression sur les autres services publics.
Source: APA
Pour apaiser cette situation, la ministre mauritanienne de la fonction publique et de la modernisation de l’administration, Mme Maty Mint Hamady a fait le déplacement samedi à Nouadhibou pour s’entretenir avec les hommes d’affaires et leur notifier la volonté du gouvernement de privilégier les nationaux dans le travail et de n’embaucher aucun étranger en situation irrégulière.
Cette démarche fait suite à des inspections opérées au sein des sociétés minières internationales opérant en Mauritanie, indexées pour le recrutement des étrangers dans des postes pour lesquelles des demandeurs mauritaniens postulent tous les jours.
Pour les employeurs, la main d’œuvre locale est la moins qualifiée et la plus chère par rapport à celle de l’extérieur, ce qui à leurs yeux justifient ce choix.
Pour certains habitants de Nouadhibou relayée par les syndicats et certains médias locaux, les émigrés, qui transitaient auparavant par Nouadhibou à destination de l’Europe s’installent maintenant dans cette ville, créant en quelques sorte une force concurrence sur l’emploi et une pression sur les autres services publics.
Source: APA