
Le gouvernement espagnol, réuni le vendredi 04 septembre 2010, sous la présidence de José Luis Rodriguez Zapatero, a accepté de céder au gouvernement de notre pays, un avion de reconnaissance à un prix symbolique de 100 euros. L’aéronef est de type S212 et appartenait à un régiment de l’armée de l’air espagnole basé à Swan San Juan dans les îles Baléares.
Cette concession entre dans le cadre de l’application des conventions bilatérales ratifiées entre les deux pays. Elle s’inscrit, également, dans le cadre du protocole ratifié entre les deux ministères de la défense. D’ailleurs, depuis mars dernier, plusieurs pilotes mauritaniens de la DIRAIR, ont séjourné en Espagne, le but étant de les familiariser avec ce nouveau type d’appareil.
Et le Président de la République, Mohamed Ould Abdel Aziz, qui a fait du développement et de la modernisation de l’armée mauritanienne une priorité des priorités dès son arrivée au pouvoir, a tenu avant tout à “muscler” l’armée de l’air face à la montée du terrorisme.
Mais cette concession a été l’occasion pour le quotidien algérien « Al-Khabar » , proche d’une officine des renseignements, de s’en prendre à la Mauritanie et à son Président, dans son édition du samedi 04 septembre 2010. Selon ce journal, "Nouakchott est récompensée pour son aide dans la libération des otages espagnols". Cette « information » pourrait être mise sur le compte des nombreuses dérives de la presse algérienne.
Que dirait « Al-Khabar » des rumeurs persistantes faisant état de manipulations d’Al Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi) par les services spéciaux algériens, qui bénéficiaient d'agents infiltrés au sein du mouvement. La présence d'anciens militaires et de gendarmes algériens déserteurs au sein des cercles dirigeants d’Aqmi est de nature à entretenir de telles rumeurs.
Et puis le GSPC n'a jamais, à titre d’exemple, perturbé en rien la ruée vers l'or noir en Algérie: jamais un mètre de pipeline de la SONATRAC n'a explosé, jamais un expatrié n'a été effrayé, jamais un attentat n'a été perpétré contre une installation, ni une menace proférée contre la sécurité du personnel étranger de la société pétrolière algérienne.
Bien que le lien entre le GSPC et les services spéciaux algériens fût depuis longtemps soupçonné, l’attaque de Lemgheyti a réaffirmé ce lien. Ajoutant à cela, le fait qu’une centaine d’hommes armés puissent disparaître au milieu du Sahara sans que les autorités algériennes ne puissent les localiser est un autre indice du lien étroit entre le régime algérien et le GSPC qui n’est autre qu’une pure création du pouvoir algérien qui voulait isoler le GIA en y créant une dissidence.
Aujourd'hui ce qu'on appelle AQMI qui est lui même une émulation du GSPC lui même une autre émulation du GIA Algérien est aujourd’hui subdivisé en 4 groupes : "El Moulethemine", "Taregh ibn Ziyad", "El Vourghane" ,"Al Ansar ” et "El Vourghane" C’est à cette dernière qu’appartenait le peloton d’élite d’Aqmi qui a été détruit par l’armée mauritanienne dans son raid fin juillet au nord du Mali. Cela a, parait-il, fait mal à certains…
Mauritanie24
via cridem
Cette concession entre dans le cadre de l’application des conventions bilatérales ratifiées entre les deux pays. Elle s’inscrit, également, dans le cadre du protocole ratifié entre les deux ministères de la défense. D’ailleurs, depuis mars dernier, plusieurs pilotes mauritaniens de la DIRAIR, ont séjourné en Espagne, le but étant de les familiariser avec ce nouveau type d’appareil.
Et le Président de la République, Mohamed Ould Abdel Aziz, qui a fait du développement et de la modernisation de l’armée mauritanienne une priorité des priorités dès son arrivée au pouvoir, a tenu avant tout à “muscler” l’armée de l’air face à la montée du terrorisme.
Mais cette concession a été l’occasion pour le quotidien algérien « Al-Khabar » , proche d’une officine des renseignements, de s’en prendre à la Mauritanie et à son Président, dans son édition du samedi 04 septembre 2010. Selon ce journal, "Nouakchott est récompensée pour son aide dans la libération des otages espagnols". Cette « information » pourrait être mise sur le compte des nombreuses dérives de la presse algérienne.
Que dirait « Al-Khabar » des rumeurs persistantes faisant état de manipulations d’Al Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi) par les services spéciaux algériens, qui bénéficiaient d'agents infiltrés au sein du mouvement. La présence d'anciens militaires et de gendarmes algériens déserteurs au sein des cercles dirigeants d’Aqmi est de nature à entretenir de telles rumeurs.
Et puis le GSPC n'a jamais, à titre d’exemple, perturbé en rien la ruée vers l'or noir en Algérie: jamais un mètre de pipeline de la SONATRAC n'a explosé, jamais un expatrié n'a été effrayé, jamais un attentat n'a été perpétré contre une installation, ni une menace proférée contre la sécurité du personnel étranger de la société pétrolière algérienne.
Bien que le lien entre le GSPC et les services spéciaux algériens fût depuis longtemps soupçonné, l’attaque de Lemgheyti a réaffirmé ce lien. Ajoutant à cela, le fait qu’une centaine d’hommes armés puissent disparaître au milieu du Sahara sans que les autorités algériennes ne puissent les localiser est un autre indice du lien étroit entre le régime algérien et le GSPC qui n’est autre qu’une pure création du pouvoir algérien qui voulait isoler le GIA en y créant une dissidence.
Aujourd'hui ce qu'on appelle AQMI qui est lui même une émulation du GSPC lui même une autre émulation du GIA Algérien est aujourd’hui subdivisé en 4 groupes : "El Moulethemine", "Taregh ibn Ziyad", "El Vourghane" ,"Al Ansar ” et "El Vourghane" C’est à cette dernière qu’appartenait le peloton d’élite d’Aqmi qui a été détruit par l’armée mauritanienne dans son raid fin juillet au nord du Mali. Cela a, parait-il, fait mal à certains…
Mauritanie24
via cridem