
APA-Nouakchott (Mauritanie) Le parti mauritanien Tawassoul (islamistes), a appelé à la mise en place d’un programme de « discrimination positive » en faveur des descendants d’esclaves, lors de la présentation de son document politique contenant son programme national de lutte contre l’esclavage et ses séquelles en Mauritanie.
Il a également préconisé des solutions adéquates pour éradiquer la pratique de l’esclavage, proposant une politique d’enseignement pour cette catégorie de citoyens.
Le parti qui évolue dans les rangs de l’opposition modérée, a critiqué le traitement réservé à cette question par l’Etat et par les courants politiques, soulignant que l’Islam s’oppose catégoriquement à la pratique de l’esclavage.
Le parti Tawassoul a également dénoncé la négligence et l’utilisation à des fins politiques des mesures prises à ce sujet, expliquant que la faiblesse de l’Etat et la fragilité du « nouveau contrat social » ont favorisé l’allégeance à la tribu ou à la région plutôt qu’à la mère patrie.
Le document en question a rappelé les quelques textes promulgués dans le sens de l’éradication de l’esclavage en Mauritanie respectivement en 1969, 1981 et 2007 en considérant qu’ils n’ont pas été suffisants.
La même formation politique a affirmé que les origines de l’esclavage en Mauritanie reviennent, selon la plupart des historiens du Sahara, à l’enlèvement et au commerce des personnes.
Source: APA
Il a également préconisé des solutions adéquates pour éradiquer la pratique de l’esclavage, proposant une politique d’enseignement pour cette catégorie de citoyens.
Le parti qui évolue dans les rangs de l’opposition modérée, a critiqué le traitement réservé à cette question par l’Etat et par les courants politiques, soulignant que l’Islam s’oppose catégoriquement à la pratique de l’esclavage.
Le parti Tawassoul a également dénoncé la négligence et l’utilisation à des fins politiques des mesures prises à ce sujet, expliquant que la faiblesse de l’Etat et la fragilité du « nouveau contrat social » ont favorisé l’allégeance à la tribu ou à la région plutôt qu’à la mère patrie.
Le document en question a rappelé les quelques textes promulgués dans le sens de l’éradication de l’esclavage en Mauritanie respectivement en 1969, 1981 et 2007 en considérant qu’ils n’ont pas été suffisants.
La même formation politique a affirmé que les origines de l’esclavage en Mauritanie reviennent, selon la plupart des historiens du Sahara, à l’enlèvement et au commerce des personnes.
Source: APA