
Un membre présumé d'Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) s'est fait sauter samedi dans le sud de la Mauritanie après avoir été encerclé par les forces de sécurité, selon des sources au sein de l'armée et de la garde nationale.
Un second suspect a été capturé vivant lors de cet incident survenu dans la région de Brakna, près de la frontière sénégalaise, a-t-on ajouté.
"Une fois qu'ils ont été complètement encerclés, l'un d'eux s'est fait exploser tandis que l'autre était capturé vivant et transféré dans la capitale", a indiqué un membre de la garde nationale en demandant à garder l'anonymat.
Les deux hommes semblent avoir fait partie d'un groupe de plusieurs membres d'Aqmi entrés en Mauritanie il y a une semaine à bord de trois véhicules en provenance du Mali, dans le but de lancer des attaques à Nouakchott.
L'un des véhicules avait explosé mercredi aux abords de la capitale mauritanienne au cours d'un accrochage avec des soldats, entraînant la mort de trois activistes présumés et blessant plusieurs militaires.
Les deux autres véhicules avaient été saisis plus tôt par les autorités. L'un contenait armes et explosifs et transportait des activistes qui ont été arrêtés pour interrogatoires.
Selon le représentant de la garde nationale, les deux activistes rattrapés samedi avaient été signalés par des habitants. Il a ajouté que les forces sénégalaises avaient renforcé les contrôles le long de la frontière pour les empêcher de s'échapper.
Deux jeunes Français, Antoine de Léocour et Vincent Delory, enlevés au Niger par Aqmi, ont trouvé la mort dans une opération militaire menée pour les délivrer début janvier.
Aqmi a annoncé en juillet dernier l'exécution d'un autre otage français, Michel Germaneau, 78 ans, enlevé trois mois plus tôt au Niger, après l'échec d'une opération militaire au Mali pour le libérer. La branche islamiste armée détient cinq autres ressortissants français enlevés le 16 septembre dernier sur le site d'extraction d'uranium d'Arlit, dans le nord du Niger.
Source: reuters
Un second suspect a été capturé vivant lors de cet incident survenu dans la région de Brakna, près de la frontière sénégalaise, a-t-on ajouté.
"Une fois qu'ils ont été complètement encerclés, l'un d'eux s'est fait exploser tandis que l'autre était capturé vivant et transféré dans la capitale", a indiqué un membre de la garde nationale en demandant à garder l'anonymat.
Les deux hommes semblent avoir fait partie d'un groupe de plusieurs membres d'Aqmi entrés en Mauritanie il y a une semaine à bord de trois véhicules en provenance du Mali, dans le but de lancer des attaques à Nouakchott.
L'un des véhicules avait explosé mercredi aux abords de la capitale mauritanienne au cours d'un accrochage avec des soldats, entraînant la mort de trois activistes présumés et blessant plusieurs militaires.
Les deux autres véhicules avaient été saisis plus tôt par les autorités. L'un contenait armes et explosifs et transportait des activistes qui ont été arrêtés pour interrogatoires.
Selon le représentant de la garde nationale, les deux activistes rattrapés samedi avaient été signalés par des habitants. Il a ajouté que les forces sénégalaises avaient renforcé les contrôles le long de la frontière pour les empêcher de s'échapper.
Deux jeunes Français, Antoine de Léocour et Vincent Delory, enlevés au Niger par Aqmi, ont trouvé la mort dans une opération militaire menée pour les délivrer début janvier.
Aqmi a annoncé en juillet dernier l'exécution d'un autre otage français, Michel Germaneau, 78 ans, enlevé trois mois plus tôt au Niger, après l'échec d'une opération militaire au Mali pour le libérer. La branche islamiste armée détient cinq autres ressortissants français enlevés le 16 septembre dernier sur le site d'extraction d'uranium d'Arlit, dans le nord du Niger.
Source: reuters