
Le taux de chômage en Mauritanie a atteint 32% en 2009, pour revenir à 31,2% en 2010, a indiqué, lundi à Nouakchott, le député Yaghoub Ould Moïne ( opposition), citant un rapport du gouvernement.
Cela signifie que 414 648 Mauritaniens, pour la plupart des jeunes, sont sans emplois, a déclaré le député qui intervenait en séance plénière de l’Assemblée nationale, en présence du ministre de l’Emploi.
Il a rappelé que le taux de chômage était "seulement de 9,7% en 1977".
Le député Ould Moine a indiqué que le secteur informel emploie 85% de la main d’oeuvre active, ce qui avoisine le nombre 914 352, dont 777 000 sont sans contrats de travail, sans protection sociale, ni droit à la retraite.
En outre, le député a fait ressortir que les non permanents dans le secteur public représentent 12 000 employés.
Il a affirmé que le secteur privé, "le seul capable de générer des opportunités d’emplois", demeure pour le moment en retrait par rapport à la politique de l’emploi dans le pays, en raison de l’ absence d’une "inspection permanente du travail et l’application de la législation du travail".
"Les secteurs du bâtiment, du transport, de la santé et du commerce, peuvent, une fois réorganisés, absorber la main d’oeuvre nationale et permettre l’atteinte des Objectifs du Millénaire pour le développement en matière d’emploi à l’orée de 2015", a conclu le député.
Source: Xinhua
Cela signifie que 414 648 Mauritaniens, pour la plupart des jeunes, sont sans emplois, a déclaré le député qui intervenait en séance plénière de l’Assemblée nationale, en présence du ministre de l’Emploi.
Il a rappelé que le taux de chômage était "seulement de 9,7% en 1977".
Le député Ould Moine a indiqué que le secteur informel emploie 85% de la main d’oeuvre active, ce qui avoisine le nombre 914 352, dont 777 000 sont sans contrats de travail, sans protection sociale, ni droit à la retraite.
En outre, le député a fait ressortir que les non permanents dans le secteur public représentent 12 000 employés.
Il a affirmé que le secteur privé, "le seul capable de générer des opportunités d’emplois", demeure pour le moment en retrait par rapport à la politique de l’emploi dans le pays, en raison de l’ absence d’une "inspection permanente du travail et l’application de la législation du travail".
"Les secteurs du bâtiment, du transport, de la santé et du commerce, peuvent, une fois réorganisés, absorber la main d’oeuvre nationale et permettre l’atteinte des Objectifs du Millénaire pour le développement en matière d’emploi à l’orée de 2015", a conclu le député.
Source: Xinhua