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Le bureau exécutif de l'AVOMM

"L'important n'est pas ce qu'on fait de nous, mais ce que nous faisons nous-mêmes de ce qu'on a fait de nous." Jean-Paul Sartre

"L'Association d'aides aux veuves et aux orphelins de mauritanie (AVOMM) qui nous rassemble, a été créée le 25/12/95 à PARIS par d'ex-militaires mauritaniens ayant fui la terreur, l'oppression, la barbarie du colonel Mawiya o/ sid'ahmed Taya ......
Ces rescapés des geôles de ould Taya, et de l'arbitraire, décidèrent, pour ne jamais oublier ce qui leur est arrivé, pour garder aussi la mémoire des centaines de martyrs, de venir en aide aux veuves, aux orphelins mais aussi d'engager le combat contre l'impunité décrétée par le pouvoir de Mauritanie."
E-mail : avommavomm@yahoo.fr

Bureau exécutif

*Ousmane SARR, président
*Demba Niang, secrétaire général
*Secrétaire général Adjt; Demba Fall
*Alousseyni SY, Chargé des relations extérieures
*Mme Rougui Dia, trésorière
*Chargé de l’organisation Mariame Diop
*adjoint Ngolo Diarra
*Mme Mireille Hamelin, chargée de la communication
*Chargé de mission Bathily Amadou Birama
Conseillers:
*Kane Harouna
*Hamdou Rabby SY










AVOMM

ONU: résolution pour plus de respect des droits de l'Homme des migrants


ONU: résolution pour plus de respect des droits de l'Homme des migrants
Le Conseil des droits de l'homme de l'ONU a adopté jeudi par consensus une résolution appelant les pays d'accueil des migrants à respecter davantage les droits de ces personnes, en ratifiant la Convention internationale pour la protection des travailleurs migrants.

La résolution ne spécifie pas le nom des pays qui violeraient les droits des migrants alors que la Haut commissaire aux droits de l'homme, Navi Pillay avait directement dénoncé la politique française envers les Roms en ouverture de la 15ème session du Conseil le 13 octobre.

Les pays d'accueil, "en exerçant leur droit souverain à mettre en place des mesures migratoires, doivent (...) garantir le respect des droits de l'homme des migrants", a expliqué l'ambassadeur mexicain, Juan José Gomez Camacho, en présentant la résolution déposée par son pays au nom de plusieurs pays latino-américains, dont le Brésil, l'Argentine, le Venezuela et la Colombie.

"Il est bien connu que les politiques migratoires restrictives n'empêchent pas l'immigration illégale, mais ont conduit à une plus grande vulnérabilité des migrants en situation irrégulière qui sont de plus en plus menacés par des groupes criminels transnationaux", a-t-il ajouté.

La résolution adoptée par les 47 membres du Conseil des droits de l'homme était également soutenue par la Bosnie, la Turquie, le Liban, les Philippines et la Serbie.

Les pays se disent "préoccupés par le nombre croissant et important de migrants, qui tentent de traverser les frontières internationales sans papiers".

La résolution demande à la communauté internationale, notamment aux pays d'accueil, de ratifier la Convention internationale pour la protection des travailleurs migrants.

Entrée en vigueur en 2003, cette Convention des Nations unies vise à protéger les travailleurs migrants de l'exploitation en veillant à ce qu'ils soient traités comme les ressortissants du pays d'accueil, notamment en matière de rémunérations et de conditions de travail.

Aucun pays occidental (hormis l'Albanie et la Bosnie) n'a signé ce document à ce jour, l'Espagne ayant réitéré le 21 septembre devant le Conseil des droits de l'homme que sa propre législation était suffisante pour faire respecter les droits des migrants.

Dans une déclaration commune adoptée mercredi, 14 organismes internationaux ont également averti des dangers encourus par les travailleurs migrants, citant la discrimination, l'exploitation ou les attaques xénophobes, critiquant certaines politiques migratoires.

Le document a été signé notamment par la Banque mondiale, l'Organisation internationale pour les migrations et la Haut commissaire aux droits de l'homme, pour qui, "trop souvent, les Etats se sont occupés de l'immigration irrégulière à travers le seul prisme de la souveraineté, de la sécurité aux frontières ou de l'exécution des lois".

Mais de telles "préoccupations ne doivent pas (...) l'emporter sur les obligations des Etats à respecter les droits des personnes garantis par la législation internationale", poursuit la déclaration.



Source: AFP
Vendredi 1 Octobre 2010 - 14:44
Vendredi 1 Octobre 2010 - 14:50
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