
Selon une information parvenue à Points Chauds depuis la capitale Bruxelles, le général Ould bdel Aziz a envoyé une lettre à l'UE dans laquelle il a annoncé qu'il démissionnera de ses fonctions de chef de l'État, 45 jours avant la date du scrutin présidentiel prévue le 06 juin prochain .Selon la même source, le général a indiqué que conformément aux dispositions constitutionnelles, le président du Sénat assurera, après sa démission, la période transitoire, en vue d'organiser des élections pour un retour rapide à l'ordre constitutionnel.
Cette sortie de Ould Abdel Aziz intervient au moment où la Mauritanie traverse une crise politique sans précédent et où le pays affiche quelques prémices de crise économiques que sous tend la raréfaction en devises mais également la mauvaise santé financière des banques nationales qui peinent à honorer leurs engagements vis à vis de leurs intermédiaires.
Le chef de la junte au pouvoir, dans son souci d'éviter à la Mauritanie des sanctions qui planaient jusque là et dont le CPS a décidé de mettre en pratique, conformément aux accords de Cotonou, a voulu prendre le taureau par les cornes, avant la date fatidique du 20 février, considérée comme étant un deadline, pour amener la communauté internationale à réviser sa position.
Pour rappel l'OIF dirigée par son Secrétaire général, l'ex président Sénégalais , Abdou Diouf, a initié une rencontre avec l'ONU, l'UA, l'UE et la Ligue arabe pour pencher sur le sort de la Mauritanie et des sanctions ciblées pourraient tomber si les efforts du HCE ne suffiront pas à convaincre les instances internationales.
Source: Pointschauds
Cette sortie de Ould Abdel Aziz intervient au moment où la Mauritanie traverse une crise politique sans précédent et où le pays affiche quelques prémices de crise économiques que sous tend la raréfaction en devises mais également la mauvaise santé financière des banques nationales qui peinent à honorer leurs engagements vis à vis de leurs intermédiaires.
Le chef de la junte au pouvoir, dans son souci d'éviter à la Mauritanie des sanctions qui planaient jusque là et dont le CPS a décidé de mettre en pratique, conformément aux accords de Cotonou, a voulu prendre le taureau par les cornes, avant la date fatidique du 20 février, considérée comme étant un deadline, pour amener la communauté internationale à réviser sa position.
Pour rappel l'OIF dirigée par son Secrétaire général, l'ex président Sénégalais , Abdou Diouf, a initié une rencontre avec l'ONU, l'UA, l'UE et la Ligue arabe pour pencher sur le sort de la Mauritanie et des sanctions ciblées pourraient tomber si les efforts du HCE ne suffiront pas à convaincre les instances internationales.
Source: Pointschauds