
Les impressions que nos reporters ont recueilli auprès de plusieurs personnes qui ont assisté à la conférence de presse donnée par le président de la République s’accordent à dire que l’organisation de cette importante rencontre, a tourné au fiasco.,
Si Ould Abdel Aziz dans une approche novatrice tenait à prendre le pouls du petit peuple, en écoutant ses doléances et à l’informer des grandes réformes menées par le pouvoir, les personnes en charge de l’organisation ont complètement détourné cette émission de son objectif initial.
Les couacs constatés ont commencé dès le début des préparatifs avec le choix des journalistes invités. Ce choix fait par le ministère de la Communication a soulevé l’ire de toutes les organisations syndicales de la presse. Motif de ce grincement de dent : les critères sur lesquels ont été choisi les confrères sont on ne plus opaques.
Les organisations de la presse n’ont pas été associées à ce choix comme cela devait se faire. Les responsables de la Communication, à commencer par le ministre en personne, se sont contentés de dépoussiérer une vielle liste et de convoquer les journalistes dont les noms y figuraient.
Les observateurs avertis ont noté qu’il s’agit des mêmes personnes qui avaient interviewé l’ancien président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi. Si c’est une coïncidence, le moins qu’on puisse dire, est qu’elle est troublante.
Pour se rattraper, les responsables du ministère de la Communication ont voulu compléter la liste des journalistes en invitant deux journalistes de la presse électronique. Le premier Ahmed Baba Ould Eylall, du site Mauritanides.net a catégoriquement refusé en signe de solidarité avec ses confrères et le second Hanevi est venu en retard.
La TVM, toujours égale à elle-même, n’est pas en reste. Elle a été incapable de faire preuve de professionnalisme. Au lieu de tendre le micro au petit peuple, celui pour lequel cette conférence de presse est organisée, les reporters ont donné la parole à de riches hommes d’affaires comme à Nouadhibou ou encore à des « applaudisseurs » maladroits comme à Kaédi.
Des voix que le président de la République ne voulait sans doute pas attendre puisqu’en aucun cas, elles ne reflètent les préoccupations du petit peuple. D’après les informations que Le Véridique a pu glaner, c’est le ministre de la Communication qui aurait donné les noms des personnes à sélectionner dans la capitale économique.
Autre couac, les personnes qui ont téléphoné, seraient préalablement connues. La seule voix qui s’est inscrit en faux contre le politiquement correct, est celle d’une femme qui dès qu’elle a parlé de son fils qui est un soldat de l’armée, s’est vu couper au nez. Par ailleurs, plusieurs personnes qui s’étaient inscrites au Palais des Congrès pour poser des questions, n’en ont pas eu l’opportunité.
Malgré ces nombreux ratés, l’opinion nationale est satisfaite de la prestation du président de la République. Un président qui a donné l’image d’un homme plein d’assurance, confiant en ce qu’il compte faire pour la Mauritanie, maitrisant parfaitement ses dossiers, défendant fermement ses convictions, prêt à tout ce qui peut contribuer au développement du pays. Bref, un Chef d’Etat qui a une vision claire. Dommage que son attelage ne suive pas toujours !
Source: leveridique VIA cridem
Si Ould Abdel Aziz dans une approche novatrice tenait à prendre le pouls du petit peuple, en écoutant ses doléances et à l’informer des grandes réformes menées par le pouvoir, les personnes en charge de l’organisation ont complètement détourné cette émission de son objectif initial.
Les couacs constatés ont commencé dès le début des préparatifs avec le choix des journalistes invités. Ce choix fait par le ministère de la Communication a soulevé l’ire de toutes les organisations syndicales de la presse. Motif de ce grincement de dent : les critères sur lesquels ont été choisi les confrères sont on ne plus opaques.
Les organisations de la presse n’ont pas été associées à ce choix comme cela devait se faire. Les responsables de la Communication, à commencer par le ministre en personne, se sont contentés de dépoussiérer une vielle liste et de convoquer les journalistes dont les noms y figuraient.
Les observateurs avertis ont noté qu’il s’agit des mêmes personnes qui avaient interviewé l’ancien président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi. Si c’est une coïncidence, le moins qu’on puisse dire, est qu’elle est troublante.
Pour se rattraper, les responsables du ministère de la Communication ont voulu compléter la liste des journalistes en invitant deux journalistes de la presse électronique. Le premier Ahmed Baba Ould Eylall, du site Mauritanides.net a catégoriquement refusé en signe de solidarité avec ses confrères et le second Hanevi est venu en retard.
La TVM, toujours égale à elle-même, n’est pas en reste. Elle a été incapable de faire preuve de professionnalisme. Au lieu de tendre le micro au petit peuple, celui pour lequel cette conférence de presse est organisée, les reporters ont donné la parole à de riches hommes d’affaires comme à Nouadhibou ou encore à des « applaudisseurs » maladroits comme à Kaédi.
Des voix que le président de la République ne voulait sans doute pas attendre puisqu’en aucun cas, elles ne reflètent les préoccupations du petit peuple. D’après les informations que Le Véridique a pu glaner, c’est le ministre de la Communication qui aurait donné les noms des personnes à sélectionner dans la capitale économique.
Autre couac, les personnes qui ont téléphoné, seraient préalablement connues. La seule voix qui s’est inscrit en faux contre le politiquement correct, est celle d’une femme qui dès qu’elle a parlé de son fils qui est un soldat de l’armée, s’est vu couper au nez. Par ailleurs, plusieurs personnes qui s’étaient inscrites au Palais des Congrès pour poser des questions, n’en ont pas eu l’opportunité.
Malgré ces nombreux ratés, l’opinion nationale est satisfaite de la prestation du président de la République. Un président qui a donné l’image d’un homme plein d’assurance, confiant en ce qu’il compte faire pour la Mauritanie, maitrisant parfaitement ses dossiers, défendant fermement ses convictions, prêt à tout ce qui peut contribuer au développement du pays. Bref, un Chef d’Etat qui a une vision claire. Dommage que son attelage ne suive pas toujours !
Source: leveridique VIA cridem