
Le leader du RFD qui était ce soir l’invité de France24 a affirmé qu’il "est permis de dire qu’il y a actuellement une sorte de trêve politique en Mauritanie". Et que l’opposition s’exprime en toute liberté et qu’il n’y a pas de détenus politiques dans le pays.
Sur les raisons de sa récente reconnaissance de Mohamed Ould Abdel Aziz comme président de la République, le patron du RFD dira qu’elle est dictée par la situation particulière que vit le pays - confrontation avec des bandes organisées et problèmes socio-économiques que traversent la Mauritanie.
Aussi son parti a-t-il décidé de dépasser cette étape de non-reconnaissance du président et d’entamer une nouvelle ère plus active pour l’ancrage de la démocratie et l’instauration du dialogue sur les questions nationales essentielles (unité nationale, bonne gouvernance, sécurité et bon voisinage).
A propos des critiques que le président de l’APP Messaoud Ould Boulkheir aurait formulées à son égard pour ses positions concernant la lutte contre le terrorisme, Ould Daddah occulta la question et se contenta de dire que par principe il esquive toujours les confrontations personnelles.
Sur le destin du RFD au sein de la Coordination de l’opposition démocratique (COD), il resta plutôt flou et un peu langue de bois sur le rôle de la France aux côtés du pays. Par ailleurs, durant toute l’interview, il réussit la prouesse de ne jamais prononcer trois mots pourtant récurrents dans les questions du journaliste : Aqmi, Al-Qaïda et terrorisme.
Source: rim24.info via CRIDEM
Sur les raisons de sa récente reconnaissance de Mohamed Ould Abdel Aziz comme président de la République, le patron du RFD dira qu’elle est dictée par la situation particulière que vit le pays - confrontation avec des bandes organisées et problèmes socio-économiques que traversent la Mauritanie.
Aussi son parti a-t-il décidé de dépasser cette étape de non-reconnaissance du président et d’entamer une nouvelle ère plus active pour l’ancrage de la démocratie et l’instauration du dialogue sur les questions nationales essentielles (unité nationale, bonne gouvernance, sécurité et bon voisinage).
A propos des critiques que le président de l’APP Messaoud Ould Boulkheir aurait formulées à son égard pour ses positions concernant la lutte contre le terrorisme, Ould Daddah occulta la question et se contenta de dire que par principe il esquive toujours les confrontations personnelles.
Sur le destin du RFD au sein de la Coordination de l’opposition démocratique (COD), il resta plutôt flou et un peu langue de bois sur le rôle de la France aux côtés du pays. Par ailleurs, durant toute l’interview, il réussit la prouesse de ne jamais prononcer trois mots pourtant récurrents dans les questions du journaliste : Aqmi, Al-Qaïda et terrorisme.
Source: rim24.info via CRIDEM